Poète Supérieur Homme

restitution d’un monde onirique, fantastique comme nouvelle réalité est à l’origine de l’Univers poétique. Le poète ainsi que le lecteur cherche à récréer ce qui naît de son imagination et qui provient du fond de son être: ses désirs, ses peurs, ses rages, son amour. Ainsi dans « Mon rêve familier », Paul Verlaine, par la poésie du rêve, imagine une femme qui peut le consoler dans sa condition réelle de poète sensible et souffrant. La transformation de la réalité passe par l’utilisation des mots poétiques,

ne peut être vécue que par les hommes, et l'amour. Un amour idéalisé. Selon le poète, ce sentiment semble être le seul sentiment nécessaire pour pouvoir vivre heureux. Dans un premier temps, nous étudierons l'opposition entre le poète et les autres homme, puis, dans un seconde temps, nous chercherons les éléments qui donnent à ce poème, la dimension d'un hymne a l'amour. Au contraire des autres hommes, le poète pense pouvoir vivre seulement de l'amour. Petrus Borel ne cesse de réitérer dans

PETIT HISTORIQUE DE LA POESIE EN France |Période |Statut et fonction du poète |Mouvements |Formes et thèmes | | | |et fonctions de la poésie | | |ANTIQUITE | |

PETIT HISTORIQUE DE LA POESIE EN FRANCE Période Statut et fonction du poète Mouvements et fonctions de la poésie Formes et thèmes ANTIQUITE Le poète-vates (= devin), dont l’inspiration est incarnée par une Muse, parle une langue à part, don de Dieu. LA POESIE ANTIQUE Liée aux mythes : - d’ORPHEE : il chantait et jouait si bien que nul ne pouvait lui résister. Mais la double perte de son épouse Eurydice, le voua à exprimer sa peine et sa solitude. Þ émouvoir, séduire, confesser, exprimer ses

critique d'art, et poète. C'est ainsi qu'il publia son recueil, Les Fleurs du mal, en 1857. Ce recueil est composé de six sections dont la première, "Spleen et idéal" évoque l'homme déchiré entre l'aspiration à l'élévation et l'attirance pour la chute, déchirement à l'origine de l'ennui, nommé "spleen". Parmi les nombreux poèmes de cette section, on trouve .... Lecture analytique n°1 : "L'albatros" => Poème symboliste et réaliste ? Poème fondée sur double comparaison albatros/poète : Quatrain en

livres ne forment qu'un seul livre, livre vivant, lumineux, profond, où l'on voit aller et venir et marcher et se mouvoir, avec je ne sais quoi d’effaré et de terrible mêlé au réel, toute notre civilisation contemporaine ; livre merveilleux que le poète a intitulé comédie(1) et qu'il aurait pu intituler histoire, qui prend toutes les formes et tous les styles, qui dépasse Tacite et qui va jusqu'à Suétone(2), qui traverse Beaumarchais et qui va jusqu'à Rabelais(3) ; livre qui est l'observation et qui

leur expressivité. Ses formes variées et rythmées ont pour rôle d'imager les idées de ces écrivains. Mais il est difficile d'en tirer une définition précise, car la poésie a sa propre signification pour chaque auteur. D'après Jean Cocteau, grand poète français qui marqua le 20ème siècle pour son originalité, « La poésie montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. ». Pour lui, l'environnement familier

Baudelaire Charles Baudelaire, poète du 19e siècle, a surement du rédigé le poème L’Albatros au cours de son voyage dans l'Océan Indien. Ce poème extrait du recueil «Les Fleurs du mal» s’inscrit dans le courant romantique de l’époque. L’analogie utilisée dans ce poème nous montre que l'albatros représente en fait un poète incompris, mélancolique et exclu de la société. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Par ce commentaire, nous nous interrogerons

domaines s’étendront ensuite à l’histoire, à la philosophie ainsi qu’à l’astronomie. De cette manière, les poètes leur attribueront leur inspiration et invoqueront leur aide. Leurs dons leurs permettent de se venger de quiconque se vantera de leur être supérieur. C’est ainsi qu’elles aveugleront Thamyris, un musicien antique, et le priveront ensuite de sa mémoire. Le nom de la muse Mnémé (la Mémoire) donne sons sens au fait que les premiers poètes ne possédaient pas de livres. Mnémosyne est issue

usage de la langue ou l’invention d’une nouvelle langue. En effet, le poète associe des lettres à des couleurs et emploie des formulations hermétiques « A, noir corset velu des mouches éclatantes » « E, candeur des vapeurs et des tentes ». Sous la plume du poète, les lettres s’animent, deviennent objets, idées, couleurs : « O, suprême Clairon plein des strideurs étranges ». La priorité est donnée à la forme plutôt qu’au fond, le poète choisit aussi de mettre des majuscules au début de certains mots ce