Poésie Esthétique

hommes. Il a pour certains un rôle de visionnaire. Son mode de vie décalé peut aussi être considéré comme un facteur de sa différence. Enfin, les poètes dépeignent leur univers et leurs impressions en travaillant un langage particulier, de façon esthétique et inaccessible à beaucoup d'autres hommes. Les poètes possèdent une sensibilité différente, ils ressentent intensément la vie, l'amitié, et surtout l'amour, que ce soit un amour passionnel et réciproque, qu'un amour destructeur. Ce sont notamment

l’auteur, du lecteur susceptible de « libérer l’auteur » de sa « captivité ». Ces métaphores bakhtiniennes sont en effet assez extraordinaires, vu l’année de parution de l’article : 1970. Il s’agit de l’année où furent annoncés les premiers travaux en esthétique de la réception, notamment ceux de l’Ecole de Constance. Nul doute qu’on trouve, dans la position du Bakhtine de 1970, des éléments proches à la fois des « horizons d’attente » de Hans Robert Jauss et du « lecteur implicite » de Wolfgang Iser. On

transparentes ("L'époque actuelle est plutôt celle du numéro matricule" écrit Robbe-Grillet). III - LE ROMAN N'ADMET LA MÉDIOCRITÉ QU'A CERTAINES CONDITIONS : si le personnage peut être un médiocre, il convient de faire la part de l'époque : cette esthétique n'est que celle du XX° siècle et certains théoriciens du nouveau roman l'ont abandonnée  (romans de Le Clézio). il ne faut pas ignorer le goût légitime du public pour des œuvres où la création artistique lui évite de rencontrer des voisins de palier

réflexion pour savoir ce qui nous est dit ou montré ou signifié. L’œuvre ne dénote pas un sentiment comme un mot ou un signe. Elle est avant tout sensation, rencontre “entre sentant et sensible” dira Merleau-Ponty. Une œuvre d’art a une dimension esthétique. L’œuvre se donne aux sens, elle se donne dans une présence immédiate. Le langage suppose un décodage, une discursivité, une articulation bien mise en évidence par Aristote. Il n’est jamais immédiat. C’est dans sa présence immédiate que l’œuvre

 Premièrement, son écriture ici est intragénérique puisqu'il parle en tant que peintre de la peinture. Deuxièmement, il y a deux types de destinateurs de ses écrits ici. D'une part, il s'attaque évidemment à un certain école, l'Allemagne goéthéenne et son esthétique néo-classique, qui préconise les imitations des modèles italiens, le recours au couleurs et aux techniques des primitifs anciens mais pas à la natures pour leur pratiques d'art. Comme il ironise, je cite, « tout doit être italien pour pouvoir prétendre

Option : Cinéma Sujet : « La littérature donne du sens, le cinéma des images ». Pour bien comprendre le sujet il est important de bien définir les termes de celui-ci. La littérature est art et langage : c'est un système esthétique. Par sa riche diversité et sans limite autant que de ses sujets sans cesse revivifiés qui disent l'humaine condition, la littérature est d'abord la rencontre entre celui qui, par ses mots, se dit lui-même et son monde, et celui qui reçoit et partage ce dévoilement.

en relief le plan). Le mot art s’entend de diverses manières. En un sens très général il désigne toute œuvre exécutée de main d’homme, en un sens plus restreint, l’art sert à qualifier les beaux arts (architecture, sculpture, peinture, musique, poésie) par opposition à l’artisanat et à l’industrie qui ont pour but principal la production des choses utiles. Plaire c’est être agréable, exercer un attrait, un charme ou provoquer de l’intérêt. La question de savoir si l’œuvre d’art doit plaire nous

une signification plus restreinte en s’appliquant seulement aux productions des Beaux-arts, qui sont pour Hegel au nombre de six (l’architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la danse et la poésie), le cinéma devenant au cours du XX° siècle le « septième art ». Hegel appelle ainsi Esthétique la science du beau ou « philosophie des beaux-arts », que l’on considère plus généralement aujourd’hui comme la philosophie de l’art. Face au terme de l’art, la Réalité. Le mot réalité (du latin res

L’objet n°1 est l’aspect esthétique. Faire quelque chose de beau. Ce n’est qu’une définition partielle. Le deuxième aspect, c’est l’aspect imaginaire. Un écrit qui a une valeur esthétique et une portée, qui vient de l’imaginaire. Toute production écrite qui aurait une vocation esthétique, et qui puiserait ses éléments de l’imaginaire comme la lessive (définition générique qui s’appuie sur les produits). Donc, il s’agit de produits qui s’appuient sur une valeur esthétique qui se fonde sur l’imaginaire

particulièrement, dans son livre Palimpsestes. Grossièrement, la transtextualité se définit par « tout ce qui met un texte en relation, manifeste ou secrète, avec un autre texte » -J-M Schaeffer (né en 1952), est un philosophe de la réception esthétique et de la def de l'art. Il est chercheur au CNRS (centre national de la recherche scientifique), et directeur d'études à l'EHESS (école des hautes études en sciences sociales). Tout en étant très sceptiques, ces auteurs ne sont pas