Poésie Et Blâme

.................................................................................................... 222 Séquence 1 – Voyages des Lumières : argumenter pour le progrès.................................. 222 Séquence 2 – Figures du roi : éloge ou blâme ?................................................................ 238 Séquence 3 – Un conte : Charles Perrault, Le Petit Poucet (1697).................................... 250 Séquence 4 – Parler d’amour : lettres et discours argumentatifs.......

(De quoi parle le texte ? Que raconte-t-il à première vue ? (le final de Dom Juan met en scène la mort d’un libertin intraitable par exemple). S’il ne « raconte » pas de façon évidente, quel est son propos : une description par exemple, un éloge, un blâme… (Quelle(s) déformation(s) l’auteur y imprime-t-il ? Ces déformations permettent de tiré l’énoncé dans un sens particulier (charge connotative => quelle impression générale se dégage du texte : enthousiasme, ennui, peur, tension, malaise, contentement

organe de la parole, celle qui transmet. Le poème serait mort s’il n’était transmis. Le lecteur doit se l’approprier. - Ode à la combinaison de tous les signes. Il faut jouer de tout. Conclusion : Côté épi didactique (= registre de l’éloge ou du blâme). On est dans l’éloge. Il a pris le parti de voir, de revoir les choses avec application, d’où le vertige de l’imagination. C’est une question de regard. Derrière l’éloge du pain, c’est l’éloge de toute la création. Chaque chose existe car on l’a fait

la force (cyclones, défient)
- ville minérale     II- De l'admiration au dégout a- une construction dychotomique (2 parties) poème marqué par un mouvement dyptique : 1ere partie > mais. 1ère partie semble élogieuse, présente Manh. Puis 2eme blâme de Ny. b- un éloge ambigu (si timide, d abord... ai été : fini) inquiétant. Yeux de chouette, lumiere étrange, éclipse du soleil.... c- le dégout (vision infernale) : une ville qui est marquée par la négation répétée avec une insistance obsessionnelle

et minéral + l.14 : métaphore du peintre Le côté féminin : paysage associé aux habitantes : le doigt pointé -> attraction charnelle C. Une ville héroïque genre poétique = association architecture / éléments naturels puissants et destructeurs III. Blâme de New York A. Une ville effrayante Paysages apocalyptiques : traversée du désert pour l’auteur Phénomène inquiétant : phrases nominales, négations, diphtongue en « en » + «ou » -> impression désagréable Feu Follets 15 + métaphore finale B. Une ville

qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.  » - Victor Hugo ; extrait des Odes et ballades La poésie est l’expression littéraire la plus libre et la plus pure qui existe car elle peut exprimer un engagement ou des sentiments ; la poésie en vers est une musique rythmée par le nombre de syllabes et les rimes ; la poésie en prose quand à elle est totalement libre du choix des mots. La poésie est un genre littéraire existant depuis des millénaires, faisant partie totalement de l’histoire du monde

sollicitées par l'amour, et la place a été donnée au mari de la plus belle. « Vous êtes dans une situation bien plus intéressante : il s'agit de rendre votre amant au jour et de l'épouser ; c'est un devoir sacré qu'il vous faut remplir. On n'a point blâmé les belles et grandes dames dont je vous parle ; on vous applaudira, on dira que vous ne vous êtes permis une faiblesse que par un excès de vertu. - Ah! quelle vertu ! s'écria la belle Saint-Yves ; quel labyrinthe d'iniquités ! quel pays ! et que

procédés rhétoriques aptes à persuader et/ou convaincre l’auditoire, et l’usage mesuré et pertinent de figures en fonction des buts recherchés. La capacité à imaginer et à impliquer un lecteur avec qui une connivence doit se créer (nous aimons tous la poésie), ou bien qui doit être interpellé et convaincu. L’unité énonciative : personnes, inscription temporelle et spatiale, unité et pertinence du lexique utilisé. L’unité générique et/ou discursive et l’aptitude à tenir compte du genre imposé, à en respecter

effet artistique. Présent à toutes les époques sous des aspects divers comme dans les fabliaux (ex. la vie quotidienne dans Le vilain mire), les comédies (ex. la scène d'ouverture du Malade Imaginaire sur les pratiques médicales du XVIIe siècle), en poésie (ex. Une charogne dans Les Fleurs du mal de Baudelaire), le Réalisme a pris une place croissante dans les textes narratifs du XVIIIe et du XIXe siècles. Il a d'ailleurs été revendiqué par le mouvement réaliste au XIXe siècle, en art (Courbet) et en

narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation. • La ponctuation expressive : questions oratoires, exclamations… > Le registre tragique Il est lié au genre théâtral de la tragédie, mais on peut également le rencontrer dans le roman ou la poésie. Proche du registre pathétique, il met en scène des situations où l'homme est écrasé par une instance supérieure à lui (Dieu, l’État, la morale…). On peut le reconnaître par : • Un niveau de langage soutenu. • Les champs lexicaux de la fatalité