Pratiques Médicales Pour Sauver Des Vies

une nécessité B/ Le trafic d’organes Conclusion Introduction Au cours de la deuxième moitié du XXème siècle, c'est en médecine de transplantation que les équipes médicales ont connu les victoires les plus impressionnantes sur la mort. Des milliers de patients condamnés à mourir ont pu être sauvés et continuent à vivre avec des organes de remplacement et leur nombre augmente d'année en année. En effet, le meilleur remplacement d'un organe malade est un organe en provenance d'un

contre la vitesse ? La course effrénée à la poursuite du temps cherche à satisfaire personnellement nos vies. Chacun souhaite du temps. La société nous y conditionne ; nous sommes dans une société de consommation, et on nous pousse à accélérer. Nous sommes donc dans une agitation constante, une effervescence, nous cherchons à faire le maximum d’activités en un temps record. Nous souhaitons pratiquer du sport, faire notre travail, voir nos amis et notre famille, sortir, voir le plus de choses possibles

Le droit civil met en avant le respect de la dignité. Pas de droit à la mort mais un droit de la mort. Déontologie médicale. - Obstacles juridiques à la légalisation. II) Le débat. 1° Les contre : A) Quels sont les arguments des opposants ? Existence de paralogismes. Argument du double effet. Disparition des soins palliatifs. Le médecin doit sauver des vies B) Sur quelles valeurs s’appuient-ils ? a. valeurs religieuses Juifs, Musulmans, Catholique et

fait d’autoriser une opération de son vivant ou après sa mort pour prélever un ou plusieurs organes qui seront le plus rapidement possible transplantés à une personne malade. Un grand nombre d’organes peuvent être donnés et permettre ainsi de sauver des vies ou d’en améliorer grandement la qualité. En moyenne un donneur permet de greffer 4 personnes. En 2008, 4620 malades ont été greffés et 222 malades sont morts faute de greffe. I- Le don Il n’y a pas d’âge limite pour le don d’organes, adolescents

: En France la pratique de l'euthanasie n'est pas légale, elle est même passible de plusieurs chefs d'accusation qui sont : le meurtre : le code pénal français ne contient pas de texte direct incriminant l'euthanasie. Aussi, les juges considèrent que l'acte d'euthanasie qu'il soit actif ou passif correspond à un homicide. Peu de pays ont reconnu la pratique de l'euthanasie comme légale, ou du moins en partie, dans certains cas il existe des lois qui confortent la pratique de l'euthanasie

relève de la vivisection sur l’Homme. Bernard prend en exemple le médecin et le chirurgien qui la pratique et insiste sur la récurrence et la banalité de l’acte par la répétition de « tout les jours ». Il en conclut que la pratique est acceptable mais questionne ses limites comme pour montrer au lecteur la modération de son propos ou la façon méthodique qu’il a de traiter le sujet. Il évoque la morale médicale, implicitement le serment d’Hippocrate, par le devoir d’expérimenter sur l’Homme tant que cela

? Et pourquoi ? Se sont essentiellement les malades dont la moelle ne fonctionne plus ou est envahie par des cellules cancéreuses. Conclusion : Les moyens médicaux évoqués lors de cette exposé (Greffe et Transfusion) on permis de sauver de nombreuses vies. Certaines maladie peuvent à présent être soignée grâce à ces pratiques médicales.

d'une greffe en 2012,Ce chiffre augmente de jours en jours, voyant ainsi l'attente des patients s'allonger également ( celle-ci peut durer des mois, voire des années). Cette augmentation des besoins témoigne du succès de la greffe. Cette technique médicale est en effet de mieux en mieux maîtrisée, avec des résultats en termes de durée et de qualité de vie en constante progression. Par ailleurs, le vieillissement de la population favorise les problèmes de santé, nécessitant de plus en plus la greffe

citoyens. Rares sont les pays comme les Pays-Bas qui viennent de légaliser l'euthanasie, si elle est pratiquée sous surveillance médicale et sous la responsabilité du médecin. Mais ce sont souvent justement les médecins qui refusent l'euthanasie en s'appuyant sur le serment d'Hippocrate, le code moral de la médecine, qui met le médecin dans l'obligation de sauver des vies humaines et non de les abréger. Précisons que cette déontologie peut être pour le médecin une espèce de garde-fou, nécessaire dans

greffons ne cesse de croître et le niveau de l’activité ne suffit pas à le couvrir. En 2009, 250 patients sont décédés faute de recevoir un greffon à temps. L’augmentation des besoins découle en premier lieu du succès de la greffe. Cette technique médicale est en effet de mieux en mieux maîtrisée, avec des résultats en termes de durée et de qualité de vie en constante progression. Les situations dans lesquelles une greffe est recommandée sont de plus en plus nombreuses et diversifiées. Par ailleurs