Presqu'île de Quiberon

dans le journal La Croix le 7 mars 2010 La Belle-Iloise conserve sa fidélité à Quiberon. Cette célèbre conserverie du Morbihan cultive sa spécificité. En développant son propre réseau de distribution, elle a pu maintenir un haut niveau de qualité. Le 1er janvier prochain, Caroline Le Branchu, 35 ans, prendra les commandes de La Belle-Iloise, la conserverie de produits de la mer née à proximité de Port-Maria, à Quiberon (Morbihan). Une passation de pouvoir prévue « depuis 2006 » avec son père,

un BZH est collé à l’arrière de la voiture, un triskell orne les tee-shirts… Quelques sites incontournables : L’île d’Hoëdic, L’île d’Houat, L’île aux Moines (un petit coin de Paradis), L’île d’Arz, l’île des capitaines, Sarzeau en presqu’île de Rhuys, Saint-Malo (Corsaires et remparts), Audierne et sa Baie, Perros-Guirec (le cap aux oiseaux), Belle-île-en-mer, la Baie du Mont St Michel, la forêt de Brocéliande, le golfe du Morbihan. Les personnages marquants de l'histoire de

en Bretagne et en Normandie une guerre de guérillas se met en place. La tentative de débarquement à Quiberon Le 8 juin 1795 (20 prairial an III), Louis XVII meurt au Temple, son oncle, le Comte de Provence, devient Louis XVIII ne cachant rien de ses animosités et de son intransigeance vis à vis des révolutionnaires. Le 23 juin une armée de 14.000 chouans se rassemblait dans la région de Quiberon alors que le 25 juin Charette reprenait les hostilités en Vendée et que le 26 juin une armée de 4.000

avec de belles et grandes plages et un large choix d’activités, est une magnifique station balnéaire dotée d’un climat étonnement doux, pour preuve la présence de palmiers ou d’autres arbres exotiques y est très fréquente ; la station thalasso de Quiberon est également très attractive par ses nombreuses activités sportives et culturelles, elle offre des prestations de qualité associées à l’air de l’océan Atlantique ; mais encore les stations balnéaires de Cancale, Carnac, Roscoff, Carantec… font de

du Finistère. Au sud, de plus larges baies s’ouvrent, annonçant parfois les longues plages de sable qui caractérisent le sud de la Loire. De multiples îles bordent ce littoral, dont la plus vaste est celle de Belle-Île, située au sud de la presqu’île de Quiberon. L’île d’Ouessant est dominée par le phare de Créac’h, l’un des plus puissants du monde. Les multiples îlots et écueils sont, par ailleurs, dangereux pour la navigation, ce qui se reflète dans les appellations : passage de la Grande Peur,

veulent continuer la guerre et cette paix servira principalement aux chouans de s'organiser, se renforcer en hommes et en munitions, pour préparer un débarquement. La deuxième phase de la guerre est essentiellement marquée par le débarquement à Quiberon, le 27 juin, 1795, d'une armée d'environ 5000 hommes soldés, équipés et transportés par les Anglais. La jonction est établie avec les Chouans du Morbihan qui accourent en masse vers la plage du débarquement à Carnac, où ils sont pris en charge, encadrés

--> putain et putain (traduisez par putain de merde) ya skif --> il y a ce qu'il faut que nenni : souvent dit en bretagne surement ailleurs... = nonon c'est pas ca Du reuz = le bordel Pen carn = tete dure ------------------- Patois presqu'ile de Quiberon... vu que je ne suis pas originaire de la-bas je fais confiance à l’internaute qui a suggérer ces expressions ! à drou : de travers gouniel : petit chemin escarpé brotch : chemin broussailleux difouagelle : se dit de quelque chose chiffonné

suite des violences des " bleus ". Elles touchent le Morbihan, les Côtes-du-Nord, l'Ille-et-Vilaine, la Mayenne et l'ouest de la Sarthe. Le chef chouan qui s'impose est alors Cadoudal. • 1795-1796. La seconde chouannerie débute après l'échec de Quiberon dont les chouans, des " patauds " selon les émigrés et le comte d'Artois, sont responsables. Pour prouver leur valeur, Cadoudal et de nombreux chefs locaux (Guillemot, Jean Jan...) lancent une guérilla intense qui connaît une ampleur territoriale

Dreyfus est prévenu de la décision de cassation du jugement de 1894. Le 9 juin, il quitte l'île du Diable, cap vers la France, enfermé dans une cabine comme un coupable qu'il n'est pourtant plus. Il débarque le 30 juin à Port Haliguen, sur la presqu'île de Quiberon, dans le plus grand secret, « par une rentrée clandestine et nocturne »[218]. Après cinq années de martyre, il retrouve le sol natal, mais il est immédiatement enfermé dès le 1er juillet à la prison militaire de Rennes. Il est déféré le 7

toutes éteintes, sauf dans l’Ouest où en juillet 1795, une petite armée d’émigrés, aidé par une flotte anglaise tente de se joindre aux contre-révolutionnaires du Morbihan. Le débarquement ne réussit pas. Bloqués par le général Hoche dans la presqu’île de Quiberon, les rebelles doivent capituler. Près de 800 d’entre eux furent fusillés à Auray et à Vannes. Mais ce désastre ne met pas fin à la chouannerie. Le calme et la paix religieuse ne revinrent qu’après la prise du pouvoir par Bonaparte. Encore