Pression de vapeur

Régulateur pression huile 5 Pressostat d’huile Régule la pression d’huile dans le réservoir : ph > pasp. Régule le niveau d’huile dans le carter du compresseur 3. 1 0 NB NH Fonction Pressostat de sécurité HP. Arrêt compresseur 3 quand HP > pression consigne déclenchement. 1 0 Graphe pe pc Pressostat de sécurité BP. Arrêt compresseur 3 quand BP < pression consigne déclenchement. 1 0 pc pe 1 0 Psup pinf Pressostat de sécurité. Arrêt du compresseur 2 quand pression différentielle

GENERALE TECHNIQUE DU FROID COURS DE BASE Edition : juillet07 YSH04054 1 Sommaire 1 GENERALITES 1.1 Introduction 1.2 Modes de production du froid et applications 1.3 Eléments de physiques 1.3.1 Température 1.3.2 Chaleur 1.3.3 Puissance 1.3.4 Pression 1.3.5 Changement d'état 2 LES FLUIDES FRIGORIGENES 2.1 GENERALITES 2.2 CLASSIFICATION 2.2.1 Les composés inorganiques 2.2.2 Les composés organiques 2.2.2.1 Les corps purs 2.2.2.2 Les mélanges 2.2.2.3 Les hydrocarbures 2.3 IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX

Elaboration des plans de maintenance préventive appliqués aux systèmes d’air comprimé et de vapeur de G.C.S.A REMERCIEMENTS Je rends grâce au Seigneur Dieu Tout Puissant pour sa grâce, la santé, la sagesse et le réconfort qu’il m’a toujours accordé. Mes remerciements vont à l’endroit de toutes les personnes qui de près ou de loin m’ont soutenu, encadré et conseillé tout au long de ce travail. Je pense particulièrement à : Mes encadreurs Pr Jean NGANHOU de l’E.N.S.P de Yaoundé et Dr DJANNA KOFFI

réaction chimique suivante : Avec : ∆H = -98,9Kj/mol La réaction de conversion est thermodynamiquement favorisée par une diminution de la température d’où la mise en œuvre d’un procédé de catalyse, par une augmentation de pression, par un excès d’oxygène et par l’extraction du SO3 formé. Ainsi l’équilibre est déplacé vers la formation de SO3. Mécanisme catalytique Les mécanismes de l’oxydation de S en SO2 et de l’hydratation de SO3 ne présentent

fonctionne selon le cycle dit de Joule comprenant successivement et schématiquement: * une compression adiabatique qui consomme de l’énergie mécanique, * un chauffage isobare comme pour un moteur diesel, * une détente adiabatique jusqu’à la pression ambiante qui produit de l’énergie mécanique, * un refroidissement isobare. Le rendement est le rapport du travail utile (travail de détente – travail de compression) à lachaleur fournie par la source chaude. Le rendement théorique croit avec

Cette chaleur entrainera l’émission de vapeur d’eau qui a son tour entrainera la rotation d’un générateur producteur d’électricité. 1.2/ Synoptique de l’énergie nucléaire Tout d’abord pour produire de l’électricité il faut avoir de l’uranium U 235 (92 protons + 143 neutrons). L’uranium est placé dans l’eau. Grâce a la fission nucléaires l’eau devient bouillante et émet de la vapeur d’eau qui va faire tourner des turbine, ensuite la vapeur d’eau intègre la turbine, l’énergie deviendra

CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE Bâtiment 522 – CEA Saclay 91191 Gif sur Yvette CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE yann.leconte@cea.fr Y. Leconte – ESIREM – 14/10/2014 Plan du cours I – Introduction – Définitions II - Approches « bottom – up »  Méthodes en phase vapeur  Méthodes en phase liquide III – Approches « top – down »  Méthodes en phase solide IV – Nanoparticules et sécurité CEA-DSM/IRAMIS/NIMBE Y. Leconte – ESIREM – 14/10/2014 I - Introduction - Définitions Un nanomatériau ou un nano-objet

inventeur est Henri Vigreux. La colonne de Vigreux est utilisée dans le montage de distillation fractionnée. Son rôle est d’assurer la séparation de deux liquides miscibles portés à ébullition en purifiant progressivement, au cours de la montée, les vapeurs du liquide le plus volatil. A noter que les parties basses et hautes peuvent être rodées.  les morceaux de verre contenus dans la colonne de vigreux sont là pour permettre une meilleur séparation des composés que tu as dans ton milieu. Dans ton ballon

. 9.6.1 Compression réversible refroidie . . . . . . . . . . . . 9.6.2 Compression irréversible . . 9.6.3 Détente irréversible . . . . . Adiabatique avec transfert de masse 9.7.1 Température totale, enthalpie totale . . . . . . . . . . . . 9.7.2 Pression totale . . . . . . . . . . . . . . . 35 13 Rendements 13.1 Compressions . . . . . . . . . . . 35 13.1.1 Compressions refroidies . 13.1.2 Compressions adiabatiques 37 13.2 Détentes . . . . . . . . . . . . . . 37 13.3 Cycles de conversion d’énergie

filament à l'ampoule et donc les chocs thermiques en présence de pluie. 3.2. À atmosphère inerte La présence de gaz rare permet, par rapport au vide, de réduire la sublimation du tungstène. La pression gazeuse à l'intérieur de la lampe, 80 kPa à 20°C, est telle qu'en fonctionnement elle équilibre la pression atmosphérique. L'argon, en présence d'environ 10 % d'azote qui permet d'éviter les arcs électriques, est généralement employé. Le krypton, plus cher, qui a une conductibilité thermique inférieure