Prétérition

idée pour la mettre en relief. Utilisée dans l'ironie, la carricature, par exemple.   Les figures d'atténuation : ♥ La litote : On suggère quelque chose mais on ne le dit pas clairement (exemple : Je ne suis pas mécontent de ton travail) ♥ La prétérition : On fait semblant de ne pas vouloir dire quelque chose, mais on le dit quand même (exemple : Je ne vise personne...) ♥ L'euphémisme : Il permet de rendre une réalité moins brutale (il nous a quittés = sous entendu, il est mort) ♥ L'antiphrase

animal raisonnable », mais qu’en diraient les animaux si on leur demandait leur avis ? Réfutation d’une idée reçue, obtenue en suggérant une inversion du point de vue hommes/animaux. A3 l.11-14 L’homme est une créature légère et capricieuse. Prétérition : on déclare ne pas vouloir parler d’une chose dont on parle néanmoins par ce moyen. Ici, La Bruyère annonce qu’il n’emploiera pas un argument jugé trop facile, ou trop cruel … En attendant, l’argument a été mentionné. A4 l.14-37 L’homme

qui révèle une autre figure de style, la personnification, celle-ci va d'ailleurs donner au lecteur une impression d'effet miroir par rapport à la propriétaire de la pension. Il se trouve une intervention ironique du narrateur sous la forme d'une prétérition suite à l'énumération, « ...il faudrait en faire une description qui retarderait trop l'intérêt de cette histoire, et que les gens pressés ne pardonneraient pas. », Balzac se contredit lui-même dans cette phrase. A la fin de la description de la

extraordinaires du mage (procédé oratoire v.49 : PRETERITION : feindre de ne pas vouloir dire ce que l’on dit très clairement ; ex : « je ne te raconte pas », «je ne vous dirai pas », « Monsieur X, pour ne pas le nommer », « A-t-on le droit de signaler (à la radio) que mon sponsor est Decca ? Non ? Je n’ai pas le droit de dire que c’est grâce au café Decca que j’ai sorti mon disque ? Tant pis…Je ne le dirai pas » ; Une autre forme de la prétérition consiste à feindre de ne pas vouloir faire ce que

métaphore : c'est une comparaison plus directe car il n'y a aucun outil grammatical   Les figures d'atténuation :   ♥ La litote : On suggère quelque chose mais on ne le dit pas clairement (exemple : Je ne suis pas mécontent de ton travail) ♥ La prétérition : On fait semblant de ne pas vouloir dire quelque chose, mais on le dit quand même (exemple : Je ne vise personne...) ♥ L'euphémisme : Il permet de rendre une réalité moins brutale (il nous a quittés = sous entendu, il est mort) ♥ L'antiphrase :

d'une idée pour la mettre en relief. Utilisée dans l'ironie, la caricature, par exemple. 4.figures d'atténuation : La litote : On suggère quelque chose mais on ne le dit pas clairement (exemple : Je ne suis pas mécontent de ton travail) La prétérition : On fait semblant de ne pas vouloir dire quelque chose, mais on le dit quand même (ex : Je ne vise personne...) L'euphémisme : Il permet de rendre une réalité moins brutale (il nous a quittés = sous entendu, il est mort) L'antiphrase : On exprime

(l.11) est une reprise de l’expression « jurer comme un païen »  La rhétorique de l’étonnement • Ch. Lexical de l’étonnement • Naïveté feinte : « à peine » (l.17), « qu’une légère idée » (l.17) • Verbes de jugement : « juges » (l.5) • Prétérition (dire qu’on ne va pas faire qqch ms on le fait) : l.16-17  La satire de la vie parisienne • Hauteurs des maisons = image fantaisiste • L’agitation - « toujours » (l.1), « continuel »(l.1) - Ch. Lexical mouvement - Oppose marche aux verbes

type=magistrat, avocat, prédicateur/confusion entre l’argent et la morale=l’imagination suis l’intérêt/l’image de l’avocat influence le juge/ critique superstition=pascal s’adresse au sens et réactions impulsives/énoncé claire pour le lecteur/inverse de la prétérition=but de montrer le plus d’effet que produit l’imagination=arme de réthorique) II-Le fonctionnement de l’imagination

il parle de… et c’est un exorde. Pbtique : comment ce passage sert-il de prologue internalisé à l’œuvre ? I partie : vers 142-148 : Prétérition de Calogrenant = Précaution oratoire II partie : vers 148-169 : Calogrenant définit ce que doit être la bonne réception de son discours III partie :vers 169-fin Opposition vérité/mensonge I partie : La prétérition correspond aux topos d’humilité de l’auteur du prologue. Calogrenant ne veut pas raconter car honte de son récit et en plus honte de le

George Orwell « La rêverie de Douce » La Ferme des Animaux Mise en abyme et prétérition. Orwell veut nous faire partager sa sympathie pour les animaux. On retrouve un univers de fable, la pensée est conférée à des animaux. Les animaux ne pensent pas et pourtant ils se comportent en être agissant, qui parlent. Ce sont des êtres simples, honnêtes, c’est une marque d’humilité : ils ont des aspirations à la liberté et ne feront jamais ce qu’ils ont subi auparavant. L’Homme a de quoi vivre matériellement