Preuve D Amour

inhérentes au commentaire composé |partie argumentative | |Maîtriser le code écrit |deux preuves (thématiques ou formelles), accompagnées chacune d’une | |Savoir réviser sa production écrite |preuve textuelle (citation) et d’un commentaire (déduction) pertinent,| | |pour appuyer chaque argument secondaire

attaquants, Dom Juan n’a pas hésité un instant à lui venir en aide. Il fait aussi preuve de noblesse car il tient parole (uniquement aux personnes de son rang). Prenons l’exemple de l’acte IV scène 8. Malgré l’étrangeté de la venue de la statue du Commandeur, qui devrait susciter une peur chez l’invité, Dom Juan a le courage d’accepter l’invitation à dîner dans sa demeure, et par la suite de s’y rendre. Ensuite, Dom Juan fait preuve d’un courage exceptionnel face à la mort : malgré toutes les menaces qui

fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée… Acte II (6 scènes) Hippolyte propose à Aricie de lui rendre le trône d'Attique, laissé vacant par la mort de Thésée, et lui avoue son amour. Leur entretien est interrompu par Phèdre, venue prier Hippolyte de prendre soin de son fils mais qui finit par lui révéler son amour. Comprenant

Lancelot cède à la demoiselle, aussi bien le luxe que la beauté de la jeune fille. Celle-ci à un rôle d’adjuvant, elle va permettre à Lancelot d’avancer dans sa quête de la reine. De plus, Lancelot ne peut en aucun cas bafouer sa parole. Cependant son amour pour la reine est si fort qu’il peut être assimilé à une religion dans laquelle l’Amour serait le tout puissant, Lancelot le Christ ou à une adoration païenne extrême. En effet, on peut comparer Lancelot au Christ, et si on veut pousser notre

utilisation de la prolepse en tant que persuasion et finirons par l’éloge du poète et de sa poésie. Au-delà du discours, Ronsard fais vivre son œuvre grâce au dialogue ou il interprète son amour pour inciter sur la séduction. On peut y voire la présence des marques de la 1ère personne : v3 « mes vers » v12 « mon amour » v9 « je serai » v10 « je prendrai mon repos », v13 « si m’en croyez. » Mais aussi de la 2nde personne, dès le 2nd mot du poème : « Vous » : v1 « Quand vous serez bien vieille » v 8

pourtant les histoires d’amour on bien souvent une fin. Mais alors, avons-nous été amoureux de la personne ? L’avons-nous aimé ? Est-ce la même chose ? Lorsque nous disons être amoureux, aimons-nous vraiment ? Les histoires d’amour mêlent elles amour et passion ? Il est important pour répondre à ces questions de prendre du recul avec la représentation traditionnelle de l’amour qu’on nous à donné à voir à travers l’art depuis notre enfance. Ensuite, il est nécessaire de comprendre s’il existe

première partie) : 1. - Duroy est un personnage médiocre donc il fait ici preuve de lâcheté (le mot n'apparaît pas dans le texte) -Duroy fait preuve de courage et donc sa peur est justifiée, légitime parce qu'il risque sa vie. Alors son angoisse est seulement normaale, compréhensible, humaine. il a peur et hésite point de vue interne : accés à ses émotions comportement différent, tremble, a perdu son assurance il fait aussi preuve de courage il apparaît comme vulnérable sa réputation et son avenir sont

Au XVIIème siècle, les auteurs tragiques cherchent à montrer les sentiments et à les expliquer à travers les tragédies classiques. Le texte est la scène 3 de l’acte II de Phèdre, dans laquelle celle-ci avoue son amour pour Hyppolite. Ecrit par racine en 1967, le texte nous donne à réfléchir sur les différents sentiments exprimés par Phèdre. En effet, cette tirade est un aveu amoureux dans lequel Phèdre exprime sa souffrance, ce qui la place en personnage pathétique. I) Aveu amoureux 1) Aveu

qu’il déteste, et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, seconde épouse de Thésée, avoue à OEnone , sa confidente et nourrice , la passion coupable qu’elle ressent pour Hippolyte , son beau fils . Juste après son aveu, Phèdre apprend que Thésée est mort. 2ème acte : Hippolyte propose a Aricie le trône de Attique ( région qui entoure Athènes ) , laissé vaquant par la mort de Thésée , et il lui avoue son amour . Cet entretien est interrompu par Phèdre

Acte III : Silvia veut en effet obtenir de Dorante qu’il lui donne une très haute preuve de son amour : elle aimerait l’amener à lui offrir le mariage alors qu’il la croit encore une femme de chambre. En rendant Dorante jaloux à l'aide de son frère, Silvia gagne et c’est seulement dans la dernière scène qu’elle lui révèle qui elle est. Arlequin et Lisette, eux aussi démasqués se jurent, malgré leur déception, un amour éternel. Cette œuvre est intéressante pour son époque car elle traite un sujet