Preuve D Amour

pièce commence avec Hippolyte qui annonce à Théramène son intention de quitter Trézène (petite ville de Grèce) pour aller à la recherche de son père. La vraie raison de son départ est qu’Hippolyte est tombé amoureux d’Aricie ; le problème est que cet amour est interdit. Vient ensuite Œnone qui annonce que Phèdre est mourante et souffre d’un mal qu’elle cache. Lorsque la femme de Thésée et Œnone sont tout seuls, Phèdre avoue qu’elle aime Hippolyte, le fils de son mari. Par après, la mort de Thésée est

À Trézène, ville du Péloponnèse (Grèce), à une époque fort lointaine, Phèdre, seconde épouse du roi Thésée, est tombée amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Cette passion lui semble si monstrueuse qu'elle se résout à mourir plutôt que d'avouer son amour. Ne pouvant toutefois supporter le chagrin de sa nourrice Œnone, qui la voit dépérir, elle lui confie l'origine du mal qui la consume. Bientôt circule la rumeur de la mort de Thésée, absent depuis de longs mois. Sa succession au trône ouvre une crise

Bérénice, princesse de Palestine. Mais cet amour est impossible car le peuple romain refuse l’union de leur souverain avec une étrangère. Titus demande alors à Bérénice de quitter Rome afin de conserver le pouvoir. Lors de l’acte V scène 5, Racine met en scène Bérénice qui s’apprête a quitter la ville. C’est le dénouement de la pièce. L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : un affrontement tragique ainsi qu’un amour tragique. Dans cet extrait, on souligne

Oenone, caresse tout à coup le fol espoir de pouvoir aimer Hippolyte en toute liberté. Acte II Aricie avoue à sa confidente son amour pour Hippolyte, qui fait irruption pour lui déclarer ses propres sentiments et lui proposer le trône d’Athènes. Phèdre survient qui commence par recommander son fils à Hippolyte et finit par lui déclarer avec une extrême violence son amour. Honteuse et désespérée, Phèdre essaie de se tuer avec l’épée d’Hippolyte, ce qu’Oenone empêche. Entre-temps, Athènes a choisi le

lettres des deux libertins. Mais les lettres sont aussi « dangereuses » (lettre 81), en ce qu’elles peuvent constituer des preuves lettres 81 et 105) à travers ce que son auteur y livre de ses secrets volontairement ou involontairement. Ainsi Valmont, malgré tout son talent d’écrivain, est-il pris lui-même au piège des mots, et révèle-t-il à son insu à la marquise son amour pour Mme de Tourvel lettres 127 et 134). L’écriture n’agit pas seulement sur le destinataire, mais aussi sur l’auteur. Valmont

collaborant avec la police Espagnole retrouve sa trace et s’apprête à l’arrêter. Cet homme marié et fidèle tombe cependant immédiatement amoureux de Carmen. Il va trahir à la fois son métier et sa famille et être prêt à tout pour protéger son nouvel amour. Cependant Carmen amoureuse de José tombe sous le charme d’Arnaud un jeune homme drôle et excentrique sortant de prison pour vol, il lit les petites annonces dans le bar de Carmen chaque jour. José brouille les pistes de recherche de la jeune femme

notre désir de vérité qui détermine nos jugements. Or, Arnaud et Nicole mettent en question cette approche désintéressée de la vérité, et soutiennent paradoxalement que nos opinions sont généralement dictées par des mobiles d'ordre subjectif (« amour propre »,« intérêts » ou « passions »). Autrement dit, notre rapport à la vérité est intéressé : nous ne cherchons pas la vérité de façon rationnelle et objective, mais nous sélectionnons les vérités en fonction de ce qu'elles sont susceptibles

et le déshonneur.» Une pensée assez récurente dans le roman est bien l’honneur et la bravour. Tout au long de son chemin, Yvain, non seulemtn réussit à venger ses proches, mais aussi à venir en aide aux royaumes plus infortuneux. Si ce n’est pas la preuve même de la bravoure et de l’honneur, qu’est-il? Ça commence lorsque son cousin, Calogrenant, décrit son périple se finissant par l’humiliation qu’Esclados le Roux lui infligea. Immédiatement, Yvain dit : «Sur ma tête […] je vengerai votre honte.»

parce que l’être humain doit être capable d’actes tellement affreux, inexplicables et insoutenables qui lui semblent de ce fait complètement « inhumain ». Si un animal peut être féroce, c’est par nécessité : défendre son territoire, répondre à son amour de soi lorsque le besoin de nourriture se fait ressentir, ses actes ne seront en aucuns cas assimilables à des actes « inhumains ». De cette façon nous pouvons logiquement en déduire que « l’inhumain » ne peut que provenir d’humains. Traiter de l’humain

politique français fondé le 5 juillet 1868. 2. À un dîner bourgeois, la question de l'amour est discutée comme une question d'opinion. Les hommes, en général, pensent que l'amour peut revenir plusieurs fois tandis que les femmes disent que le grand amour peut n'arriver qu'une seule fois. Le vieux médecin, lui sans avis sur ce sujet, raconte l'histoire d'une passion qui dura 55 ans et qui se termine seulement par la mort. C'est l'histoire d'une rempailleuse connue par tous les habitants puisqu'elle