Preuve D Amour

Stendhal met en scène trois personnages dont deux femmes de la haute société qui vivront chacune leur tour une histoire avec Julien, un jeune homme modeste aspirant à l'élévation de son statut. Ainsi nous verrons comment Le rouge et le Noir mêle amour et ambition. Dans un premier temps, nous nous intéresserons à la vision que Stendhal se fait de l'amour à travers son essai ''de l'amour'' parut en 1822. Puis, nous tenterons d'établir un lien entre cet essai et la conception de l'amour dans le Rouge

l'acte deux entre les vers 386 et 410 dans lesquels Néron avoue à Narcisse, son précepteur, qu'il aime Junie dont la main était promise au frère de l'empereur, Britannicus. Comment le récit de l'enlèvement de Junie révèle-t-il de la part de Néron un amour ambigu ? Nous observerons tout d'abord les contrastes présents dans ce récit puis l'amour de Néron. Enfin, nous nous demanderons si Néron est un tyran en train de naitre. Ce premier paragraphe examinera donc les contrastes présents dans le passage

pouvoir y faire quoi que ce soit. Il est certainement plus simple de savoir que l'on aime quelqu'un pour qui on a le coup de foudre et de se l'avouer que pour quelqu'un que nous connaissons depuis longtemps car il est difficile de passer d'amitié à amour . L'expression "tomber amoureux " nous indique bien que cela ne relève pas d'un choix cela nous "tombe " dessus comme ça. Evidemment on peut choisir de se l'avouer ou non ,de l'avouer à la personne concernée ou non, de continuer à fréquenter cette

d’amour où les artistes chantent la femme, idéalisée, parfaite, inaccessible. Découlant du mot latin domina s’impose bientôt le mot français dame, titre donné à la femme et soulignant son caractère de maîtresse. Suzeraine, la femme l’est en effet en amour. La dame L’amant courtois est séduit par la dame, une femme dotée d’une beauté et de mérites exceptionnels, qui est mariée, accomplie. Au Moyen Âge, il existe une forte tension entre l’amour et le mariage. On ne se marie pas alors pour l’amour :

par rapport à la solitude existentielle. Puis, on va faire ressortir l’injustice qui caractérise un héros romantique dans cette œuvre. Enfin, on va montrer que Ruy Blas est un héros qui a recours au lyrisme pour penser et s’exprimer, et qu’il fait preuve d’une grande dévotion envers l’amour. Victor Hugo écrit Ruy Blas en 1838. C’est la période du romantisme, par opposition aux écrits plus classiques faisant référence aux histoires grecques. Cependant, l’histoire de Ruy Blas se passe au 17e siècle

leurs propres conceptions esthétiques, leurs goûts pour une écriture spontanée et leur droit de rire des hommes en général. D’ailleurs les deux pièces ou si nous voulons dire les deux « écoles », L’école des femmes et L’école des mères en sont une preuve incontournable. L’éducation des filles Parmi beaucoup de sujets préoccupant les deux dramaturges, à l’époque, la condition de la femme représentait l’axe le plus important mis en exergue de cette étude plutôt de cette critique si

travers le regard de Juan Pablo. Ce point de vue subjectif met en avant le désir possessif de Juan Pablo sur Maria, en effet on a l'impression qu'elle n'existe que par lui. Cet extrait est révélateur de la vision de l'amour de Juan Pablo, il veut un amour total où chacun se donne entièrement à l'autre, où il peut posséder entièrement l'autre. Il s'attarde sur le moindre détail, il veut que tout soit dit. Sa vision de l'amour est manichéenne : si l'autre ne voit pas l'amour comme lui, c'est qu'il ne

derrière son dos. Célimène répond de la même façon. Arsinoé arrive à convaincre Alceste de la suivre pour lui donner une preuve (lettre) de l’infidélité de Célimène. Acte IV : Quand Alceste confronte Célimène avec la lettre, Célimène renverse la situation, en disant que la lettre était adressée à une femme, et reproche Alceste d’être un jaloux excessif, qui ne mérite pas son amour. Acte V : Célimène semble incapable de choisir entre ses prétendants, et quand il apparaît une lettre dans laquelle elle

du philtre d’amour soulevé par l’énoncé nous montre deux aspects. Le premier est l’amour interdit et inévitable des amants, ils sont en quelque sorte condamnés à s’aimer jusqu'à la mort. Cet amour est exclusif, il les lie pour toujours. Mais en même temps, et c’est là qu’intervient le deuxième aspect, cet amour les exclu de la société dans laquelle ils occupaient chacun un rang important. Ce qui nous amène au fait que le philtre a provoqué un paradoxe entre l’union des amants et leur séparation de

Jérémie Lévesque Département de Lettres Cégep Marie-Victorin Vendredi 19 septembre 2014 Plan Thème : Puissance du désir Argument 1: Tristan ressent le pouvoir du philtre et du désir excessif pour Iseut s’installe immédiatement en lui. Preuve : «Il semblait à Tristan qu’une ronce vivace, aux épines aigues, aux fleurs odorantes, poussait ses racines dans le sang de son cœur et par de forts liens enlaçait au beau corps d’Iseut son corps et toute sa pensée, et tout son désir.» (p.37) Explication :