Prie-Dieu

ne se passe rien de ce qu'ils craignaient ou espéraient, ils s'obstinent à y croire. Ou bien, s'il leur arrive d'être stupéfait par un phénomène qu'ils n'ont jamais vu, ils croient que c'est un "prodige", qui manifeste les intentions des Dieux ou de Dieu. On voit cela dans toutes les fausses religions : des hommes suppliant la divinité et leur faisant des sacrifices pour s'attirer leur bienveillance. Dans les deux cas on les voit interpréter les phénoménes naturels au lieu de chercher à les expliquer

Depuis des milliers d’années, les hommes essaient de s’expliquer la mort, de savoir ce qui se passera ensuite. C’est cette inquiétude face à la mort qui, selon Luc Ferry dans son livre «Apprendre à vivre», les différencie de l’animal. L’homme a conscience de sa finitude, l’animal non. C’est donc ainsi que les êtres humains peuvent tous arriver à des conclusions différentes. Par ailleurs, certains croient qu’en écrivant leurs mémoires, leurs âmes survivent à la mort. Pourquoi pas? L’homme reste d’une

II Analyse de l’œuvre 1) Ce tableau est réalisé dix ans après la première guerre mondiale. L’expérience de la guerre a bouleversé l’artiste. Engagé volontaire au début du conflit, nationaliste, il découvre rapidement l’horreur de la guerre et la souffrance. Ainsi c’est avec un réalisme extrême qu’il représente des cadavres pourrissants, un squelette et un paysage dévasté. Tout cela illustre sa propre expérience traumatisante du conflit. Il déclare à ce propos : « J’ai avant tout représenté

Chronique du mal ordinaire I. Le mal est dans l’homme •1-      L’empreinte de l’histoire ds les AF : plus de transcendance, plus de vérité absolue ► Plus de transcendance Très schématiquement : Influence de Nietzsche, Marx, Freud = plus de foi en Dieu ou en une puissance transcendante,  plus aucune certitude                              + horreurs de l’Histoire du XX° Bien et mal ne sont plus des absolus. Il n’y a pas de salut à espérer en ayant fait le bien, ni ciel ni enfer. → Pr Firmin, le

I-Comment Spinoza explique t'il les superstitions? Le mot superstition vient du latin "Superstare" qui signifie se tenir au dessus. La superstition est définie comme le fait de croire que certains signes ou actent peuvent avoir des conséquences maléfiques ou bénéfiques. Spinoza, Dans ce texte "Origine de la superstition" extrait du Traité des autorités théologiques et politiques, reprends cette définition aux lignes 19 et 20 "un incident quelconque leur rappelle un bon ou mauvais souvenir, ils

L'image du migrant dans le roman « Il était une fois un vieux couple heureux de Mohammed Khaïr-Eddine. Par Lahoussine EL HOUSSAINI Professeur de l'enseignement qualifiant Lycée Abdelkrim Al Khattabi, Agadir el.houssaini@yahoo.fr Lui-même émigrant et fils d'émigrant, puisqu'il est né à Tafraout (en 1942) alors qu'il a grandi à Casa auprès d'un père commerçant, en même temps qu'il a vécu l'exil en France, Mohammed Khaïr-Eddine n'a pas échappé aux empreintes de cette migration qui a

Créature, Serviteur et Fils Au commencement Dieu créa les cieux et la terre, les animaux et enfin va créer l’homme ; donc animal, plante, terre, homme tous sommes créatures de Dieu. L’homme au même titre qu’un porc ou un chien est créature de Dieu. Mais la bible dit dans Jn1, 1-14 : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle

Dans toutes sociétés arcaiques : tout est justifié par le divin Le divin exede la raison : intervention permanente des dieus dans les afaires des Hommes. Dans cet univers divin, la philosophie est une revolution La philo va substiyuer a une forme de discour en partie irationnel(le mythos: mythe)par un autre type de discour: le logos ( discour rationnel : science ) 1 Le logos est l expression des exigences de la raison 2 On s'interdit d exeder ce que la raison peut expliquer

et l'audace de chacun . On perd, mais on gagne, on espère un bon numéro, mais on doit s'attendre toujours à en tirer un mauvais, et l'humanité n'a pas de rêve plus entêté ni plus ardent, tenter le hasard, obtenir tout de son caprice, être roi, être dieu ! »»(145).

Il en va d’une manière assez similaire en ce qui concerne son attitude envers la sophistique : Socrate ne rejette pas toute la sophistique. En effet, pour Socrate, la sophistique est un art royal46. Aristophane va même ironiquement jusqu'à le présenter comme faisant partie des sophistes 47. Mais Socrate procède à une distinction entre la fin et les moyens. La fin de la sophistique est de faire des hommes capables de bien parler et de bien agir, capables de gérer les affaires publiques et les affaires