Principe de réalité

ses illusions, du fait de l'attachement nous liant à elles. L’ensemble du scénario développé par Platon montre que l'illusion fausse notre rapport au réel. Celle des prisonniers est représentative de chaque illusions, celles-ci nous trompant sur la réalité des choses. La situation imaginée par Platon repose sur une distinction, entre le monde des apparences, le monde sensible, et le vrai monde, le monde intelligible. Platon nous fait comprendre que l'illusion nous retient prisonniers des apparences

la réalité initiale. L’imagination productrice s’appelle la fantaisie Fantaisie idée de légèreté, c’est la puissance en moi qui me permet de m’échapper du réel Réel  idée de pesanteur, de résistance, le réel c’est ce qui est donné en tant qu’il met constamment en échec la représentation de nous même comme nécessaire. La réalité nous apparait comme contingente car elle contredit notre propre nécessité, nous réduit à la contingence et à l’insignifiance. La forme radicale de cette réalité c’est

effective qui est la transformation, la modification de la réalité ; mais leur inutilité apparente est peut-être ce qui fait leur valeur et leur sens. En outre, l’utilité des fictions réside peut-être dans l’influence invisible et souterraine qu’elles ont sur nous, sur notre esprit, notre intelligence, notre imagination… et de ce fait participent, bien qu'indirectement, à la réalité. Nous aimerions citer ce texte de Freud extrait des « Principes du cours des événements psychiques » in Résultats, idées

l'inconscient, le préconscient et le conscient l'inconscient fait référence à ce qui dans la personne lui échappe : ses désirs ou pulsions qui sont d'origine physiologiques et cherchent leur satisfaction immédiate. Parce qu'ils sont ainsi régis par le principe de plaisir et ne souffre pas de contrainte, ces éléments, qui ne font l'objet d'aucun travail psychique conscient, sont séparés des autres éléments du psychisme par une censure très forte : on dit qu'ils sont refoulés. Le préconscient regroupe les

grâce au moi que l’on peut prendre et avoir conscience des choses même si tout ne peut devenir conscient . Il y a donc le moi qui est dans la réalité puisque qu’en contact avec le monde extérieur puis un peu plus profond dans l’appareil psychique se trouve le « ça » qui est propre à chacun et qui au contraire du moi n’est pas en contact avec la réalité. De ce fait le moi reçoit ainsi des excitations du monde extérieur mais également de l’intérieur ou il a la capacité de capter des sensations

Enfin, Mulholland drive est bien entendu un rêve, et bien entendu il fonctionne comme un film à clés, mais le rêve n’est pas le véritable sujet du film. Le rêve n’est qu’un moyen - particulièrement bien approprié - de parler d’autre chose. La réalité, c’est ce qu’il se passe dans les trente dernières minutes après le réveil de la blonde. Elle s’appelle Diane Selwyn et son histoire, elle la raconte à la mère du cinéaste Adam lors du dîner de gala dans la luxueuse villa de ce dernier. Elle vient

conscient et que c’est seulement le préconscient qui peut venir se manifester dans le conscient. De cette façon, le conscient peut lui-même communiquer avec l’inconscient en raison de la présence du préconscient. Tant qu’à l’inconscient, il contient le principe de plaisir qui dirige les pulsions de notre personnalité. Il comporte aussi les énergies refoulées qui, elles, restent actives, mais hors de la conscience. Lorsque les pulsions ne peuvent être acceptées, le refoulement se manifeste et débouche sur

satisfaire les besoins pulsionnels, en se conformant au principe de plaisir » (Nouvelles Conférences, p. 104). Le Ça à affaire avec les excitations somatiques de toutes sortes, d’origines internes ou externes, qui viennent d’abord le perturber. Soumis au principe de plaisir, le Ça tente d’abaisser ces excitations, en leur donnant une représentation première ainsi que leurs premiers destins : « Il paraît tout à fait vraisemblable que le principe du plaisir sert au Ça de boussole dans la lutte contre

d’agir et la personne que nous devenons avec les évènements refoulés ou manquants de notre vie . Pour lui l’enfance est une étape décisive et il définit ses dires avec le ça ; le principe de plaisir et de pulsion , le surmoi ; le principe de perfection et de nos activités morales et puis avec le moi ; le principe de réalité . Pour Camus, “ l’existence précède l’essence .”L’homme est libre de ses choix , l’existentialisme est pour lui une notion fondamentale de l’être humain. Notre conscience de liberté

allons d’abord voir en quoi la solitude de l’enfant le place dans un decalage par rapport aux jeunes de son age ensuit l’auteur recherche deliberement l’attention et l’affection qui lui manque. C’est pourquoi il se cree un monde bien a lui entre la realite et l’irreel. I. La solitude et le decalage de l’enfant par rapport aux autres de son age 1. Creation de son propre monde - ermite, s’enferme dans sa bulle (chambre) protegee. Notion de se suffire a lui tout seul, etre independant. Se