Prise De Sang Sans Gants

une fois urgence passée -Surveillance de l'état du patient (conscience, coloration, sueurs) Surveiller les selles les jours suivants car sang noir digéré -Prévenir immédiatement l'IDE -Rester près du patient -Le mettre en position assise ou demi assise si conscient -Repos strict au lit, confortablement installé -Ambiance calme car est angoissé -Mettre des gants à UU lors de toute manipulation/saignement -Mettre à disposition crachoir + cellulose + haricot ou sac poubelle -Lui mettre une protection

plus rapide et accessible et mieux toléré sur des mains visuellement propre et sèches Proteger sa tenue de travail lors de soins mouillant souillant toilette au lit change gestion excréta.Proteger sa tenue ors de soins exposant a des projections de sang ou liquides biologiques et eviter la transmission de micro organismescomment ?Préférer la surblouse manche longue en cas de risque de projection importante tablier surblouse a usage unique et a changer entre chaque résident et hygiène des mains au

L’oxygénothérapie Technique qui consiste à faire pénétrer sous pression de l’O2 dans l’arbre trachéo bronchique d’une personne afin de maintenir ou de rétablir un taux normal d’O2 dans le sang. La part d’O2 ans l’air que nous respirons représente 20%, et 70% d’azote. Lorsqu’on parle d’oxygénothérapie on donne 100% d’oxygène. C’est un gaz incolore, inodore, sans saveur qui est contenu dans l’air, il pénètre dans l’organisme par la ventilation et est un comburant biologique (la cellule a besoin

alors la décision de commencer par la toilette intime pour son confort. Pendant que je remplie la bassine avec de l’eau ma collègue met ses gants en vinyles et commence à nettoyer les parties intimes de Mme. D. Une fois cela terminer je propose à ma collègue d’aller changer l’eau de la bassine en attendant qu’elle jette ses gants et se désinfecte les mains mais elle me dit que l’on n'a pas le temps et qu’il faut qu’on aille vite, alors elle continue de s’occuper de la patiente

cette technique que les patients jugent et observent de manière particulièrement critique les soignants. Il est ainsi d’importance non négligeable d’acquérir une bonne technique aussi stable que possible pour la prise de sang dans toute situation. Avant d’effectuer soi-même une prise de sang, la familiarisation complète avec le système respectif de prélèvement est de rigueur. Le manque d’assurance dans le maniement du matériel donne non seulement une impression peu professionnelle, mais augmente également

patient présentant une ou des escarres * Je consulterais l’ensemble des sources d’information : DSI, médecin, IDE, AS, ASH, famille… Elles seront fiables et actualisées. * Je rechercherais les éléments d’informations pertinents (nécessaire a la prise en charge qui sera multidimensionnelle : biologique, psychologique, sociologique et culturelle) * Je mobiliserais mes connaissances théoriques sur l’escarre et ses différents stades d’évolution * Je chercherais à reconnaître le stade en cours

IFSI BEAUMONT SUR OISE Analyse de pratique 1 prise en soin d’urgence et pose d’un cathéter veineux sur une patiente atteinte de douleurs abdominales johanna 21/10/2013 Lieu : Dans le service d’accueil des urgences d’une clinique du val d’Oise. Ce service comprend 5 box avec des spécialités d’accueil différentes. Les journée sont divisées en deux services de 12h pour les infirmières. Les aides-soignantes ne sont présentes que de 9h a 17h et les médecins ont un planning qui diffère selon les

maladie de Parkinson, la Sclérose En Plaque (SEP). Les patients sont admis dans ce service pour une cure (corticoïdes pour la SEP), ajustement de traitement parkinsonien etc… Ces patients peuvent être autonome ou complétement alité (on parle alors de prise en charge de malade grabataire). Les malades grabataires présentent des risques liés à leur état de dépendance notamment rétention urinaire et/ou fécale, risque d’escarre. La patiente (que l’on appellera Madame X) qui fait l’objet de ma situation

but d’efetuer une prise de sang prescrite pas son médecin afin d’affirmer la théorie de l’infection. Cette prise de sang a été effectuée dans la chambre de la résidente dans la matinée. Les chambres de mon établissement d’accueil étaient exigus et comporté beaucoup de mobilier en plus des lit médicalisé prenant un large espace, de plus l’ancienneté du bâtiment ne permettait pas une ergonomie favorable. Mon infirmière tutrice m’a demandé si je souhaitais pratiquer cette prise sanguine en me signifiant

l’injection d'insuline, l'infirmière se prépare à rentrer dans la chambre individuelle du patient qui est isolé, on lui à détecter une BHRe de type entérobactéries productrices de carbapénèmases (EPC) au niveau de sa plaie. L’infirmière enfile des gants UU situés sur le chariot d'isolement d’Unité Mobile de Précaution (UMP®) qui contient une affiche indiquant une application de précautions complémentaires contact renforcées. Je me porte à l’entrée de la porte pour observer l’injection, lorsqu’elle