Prison Mineurs

I/ La peine a perpétuité est tout aussi inhumaine : c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un animal. II/ il n’existe aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité (selon les pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilité, même si elle est infime. III/ Pour un criminel qui deviendra un ange

compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en passant par les motifs de son crime et son procès. Suit ensuite une longue réflexion de Victor Hugo sur les rôles et les devoirs de la société face au criminel. « Mais pourquoi cet homme a-t-il volé ? Pourquoi cet homme a-t-il

réduit pas le taux de criminalité 5. regardons où la peine de mort est maintenue, et nous aurons une idée de sa valeur (Chine, Texas, etc) 6. la violence n’est pas la solution contre la violence. 7. l’attente dans les couloirs de la mort, ces prisons pour condamnés à mort, sont de la torture pure et simple 8. elle est trop souvent appliquée suite à des procès injustes, voire truqués 9. la peine de mort n’est pas un moyen de légitime défense : elle permet à l’Etat de mettre froidement à mort

mondiale. Il est de confession juive et toute sa famille a été déportée et envoyée dans des camps de travail. Seule sa mère a pu éviter les Allemands et se cacher pendant la guerre. Ayant six ans et sa petite sœur à peine deux, ils sont envoyés en prison puis dans le camp d’internement de Drancy. Après la guerre, lui et sa sœur retrouvent leur mère. Ensemble, ils reprennent une existence normale, hantée par les souvenirs de cette guerre. Depuis 1972, Jean-Claude Moscovici exerce la pédiatrie à Paris

Pakistan, et pris le bus. Seul. C'était la première fois que Samira était en voyage sans un mari ou la famille.Elle avait peur. Avant que la police pourrait trouver et de les renvoyer, de la vengeance de la famille et la peur de l'atterrissage en prison. Parce que en Afghanistan, il suffit qu'une femme s'enfuit, pour les amener en raison de «crimes contre la moralité derrière les barreaux pendant des années - peu importe si elle a fui un mari violent, en face de l'abus systématique de la part de

Dissertation Victor Hugo Ce vendredi des agents de police de Tournai ont manifesté devant la prison car suite à la grève des agents pénitencier, la police a été réquisitionnée pour garder les détenus. Cette grève survient a cause du manque défectif et de place dans les prisons. (DH 31/01/12) Le problème de la surpopulation des prisons ce posait déjà au temps de Victor Hugo il y avait lui même apporté une solution dans son ouvrage “Claude Gueux”. Cette solution est d’éduquer le peuple: « Cette

crée l’association Formation et aide à la réinsertion (FAIRE). Son objectif est de faciliter la réinsertion sociale et professionnelle à la sortie de prison. Au fil du temps, elle a adapté ses actions et opté pour une prise en charge globale Rencontre avec Imanouel Pajand, coordonateur du suivi des détenus Après quelques années d’expérience en prison, l’association FAIRE [1] s’interroge : « Nos formations ont-elles un réel impact sur la réinsertion des détenus ? Favorisent-elles la lutte contre la

Fasquel avait raconté à Jocelyne Bourdin ses antécédents judiciaires (il a passé quelque temps en prison pour escroqueries et vols de chéquiers) mais celle-ci lui a déclaré que cela lui était égal, qu'elle s'en accommodait. Le couple s'est fait arrêter en 1982lors d'un contrôle de routine où un gendarme avait retrouvé des armes dans le coffre de leur voiture. Marc Fasquel avait pris 7 ans de prison et sa femme 5 ans mais un juge a autorisé que Fasquel soit libéré sous caution en 1985 et celui-ci

d'Albert Camus, éditions Gallimard, 1947 * Laissez passer mon peuple de Jacques Méry, préface d'Albert Camus, éditions Le Seuil, 1947 * Devant la mort, J. Héon-Canonne, préface d'Albert Camus, souvenirs de résistance, juin 1951 * L'Artiste en prison, préface à La Ballade de la geôle de Reading d'Oscar Wilde, 1952, réédition Le Livre de poche, 1973 * L'œuvre d'Hermann Melville, préface d'Albert Camus, 1952 * L'Allemagne vue par les écrivains de la résistance française, Konrad Bieber, préface

condamné Questionnaire de lecture 1 1) Où le condamné commence-t-il à écrire ? A Bicêtre. 2) Dans quel état d’esprit se trouvait-il quand il apprit sa condamnation ? Moral au beau fixe 3) Quelle sorte de langage le jeune homme apprend-il en prison ? L'argot. 4) Pourquoi écrit-il ? A qui tout particulièrement veut-il léguer son cahier ? Il examine ses angoisses pour moins en souffrir. C'est une leçon pour les juges qui hésiteront peut-être à condamner. Il veut léguer son cahier a sa fille Marie