Prisonnier

et principalement de toutes les modalités de libération. ( administration centrale, commission de libération conditionnelle, etc...) → Conseiller et accompagner – Le psychologue écoute et accompagne des patients en souffrance moral ici des prisonniers. Son intervention va du simple entretien en vue d'un conseil à un accompagnement plus complexe et au long cours. → Aider les professionnels – il est aussi amené à soutenir des professionnels (gardiens de prison, enseignants, infirmières etc.

Bellecourt à Lyon (pour des raisons divers son nom ne sera pas divulgué) Celui-ci à répondu à plusieurs questions traitant toutes les facettes de la vie d'un prisonnier et nous expliquant comment l’art et la littérature on pue l’aidé durant son incarcération . Ses réponses vont nous permettent de mieux comprendre comment vivent les prisonniers et quel est leur ressentie après une telle expérience. « Dites moi, y a t-il un soutien psychologique durant la condamnation? » - « Bonjour, et bien la

allemands utilisent la peur pour se faire obeir. Mais ils éprouvent également du plaisir à humilier les prisonniers au quotidien. Je vais voir lire un passage qui illustre bien le sadisme des allemands: Les prisonniers viennent d'arriver au camp et sont placés dans une salle tout nu. → p28 . Dans cet extrait, l'Allemand juste par pure méchanceté va rouvrir cette porte, il sait que les prisonniers sont morts de froid et se réjouit les voir trembler de froid. Leurs conditions d'hygiènes déplorables

TOCQUEVILLE : intellectuel qui a visité les prisons américaines. Application de l’isolement cellulaire amenée par TOCQUEVILLE de son voyage en Amérique : limiter le nombre de prisonniers dans une même cellule. Les dortoirs ne sont plus collectifs. Isolement cellulaire permet d’éviter les problèmes et pousse le prisonnier à réfléchir. On revoit l’architecture des prisons. 1911 : Rattachement des prisons au ministère de la justice, alors qu’avant c’était au ministère de l’intérieur. 1938 : suspension

échos. Un des prisonniers est libéré et ramené à la surface, à la lumière du jour. Il est ébloui par celle-ci car il n’est pas habitué à elle. Lorsqu’il revient sous terre et fait partager son expérience aux autres prisonniers, il se heurte à leur incompréhension. Cette allégorie nous fait comprendre que les hommes vivent dans un monde dans lequel ils pensent accéder à la vérité. Seulement quand le prisonnier revient du monde des idées et qu’il explique cette réalité aux autres prisonniers, il est face

PD O W ! PD c u-tr a c k .c H F-XC A N GE H F-XC A N GE c u-tr a c k N y bu to k lic CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l'idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d'une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l'impossibilité de penser à autre chose Bicêtre , , , ( ) . CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur

a) Montrez comment le texte suggère la monotonie de la vie du prisonnier. b) Comment le texte fait-il sentir que le prisonnier tente de s'adapter à sa situation ? L'œuvre soumise à notre étude est un extrait du roman d'Albert Camus : « L'étranger », écrit en 1942. Elle fait donc partie du mouvement de l'absurde et de l'existentialisme. On parle ici du narrateur, Meursault, entrainé dans une histoire de vengeance qui la poussé a commettre un meurtre, il fut donc emprisonné. Cet extrait nous raconte

dégradant, rendant impossible tout travail sur soi-même, tout amendement, et toute réinsertion Les personnes ressortent dans un état psychologique pire que celui où elles sont rentrées. 4 . SOLUTIONS La solution pour établir le calme auprès des prisonniers est de : construire plus de prison pour avoir plus de place pour chacun. Mettre en place des mesures psychologiques (thérapie de groupe, rencontre avec des psychologues, etc.) pour empêcher les tendances suicidaires des détenus Mettre en place

autour du thème de la prison une controverse qui s'articule autour de deux grands pôles : D’une part, un courant très pessimiste qui, doutant de la plasticité de la nature humaine, conçoit, avant tout, la prison comme un lieu de pénitence où le prisonnier devra purger sa dette à l'égard de la société ; il doit y rester, il faut qu’il paie. D’autre part, un courant philanthropique qui, porté par l'optimisme des Lumières sur les capacités d'amendement de l'être humain, veut faire de la prison un

parties, le camp I, qui abritait la partie administrative nazie, le camp II, là où arrivent les déportés, ils doivent s'y dévêtir. C'est dans le camp III, plus à l'écart, que sont réalisées les exécutions. Il contient aussi les fosses communes. Les prisonniers arrivaient en train et pénétraient dans le camp par l'angle sud-est de celui-ci (ici en bas à gauche). Il y avait en moyenne un convoi par jour, d'une vingtaine de wagon, avec en moyenne de 2000 à 2500 personnes. Lorsqu'ils descendaient les captifs