Pristina

dans la production d’ecstasy. Le 18 octobre 2001, la DEA démantèle un laboratoire d’ecstasy en Californie. L’un des plus sophistiqués jamais En juillet 2000, la KFOR découvre 3 champs de cannabis et 4 « boîtes » ( ? ) de stupéfiants à 7 km de Pristina. Des armes et des uniformes sont également saisis. En 2000, les autorités albanaises ont saisis 250.000 plants de cannabis, de même que 7 tonnes de marijuana et 4 kg de cocaïne et 51 kg d’héroïne. En février 2002, 350 kg de marijuana sont saisis

ubi Marius atque Fabricus inscius auri ? Mors ubi nobilis et memorabilis actio Pauli ? Diva philippica vox ubi coelica nunc Ciceronis ? Pax ubi civibus atque rebellibus ira Catonis ? Nuncubi Regulus ? Aut ubi Romulus, aut ubi Remus ? Stat rosa pristina nomine, nomina nuda tenemus [4] Et aussi dans la poésie du XIII siècle de franciscain Giacopone de Todi, dans les vers de Cur mundur miliwat aub vana gloria. Dic, ubi Salomon, olim tam nobilis, vel Samson ubi est, dux invincibilis, Et pulcher

province, met en place des institutions provisoires d’administration intérimaire et supervise les négociations entre les représentants du peuple kosovar et la Serbie. Après l’échec des négociations, une réunion en session extraordinaire est tenue à Pristina, la capitale du Kosovo, le 17 février 2008. Les participants s’identifiant comme les dirigeants démocratiquement élus du peuple kosovar, adoptent une déclaration établissant le Kosovo comme « un Etat souverain et indépendant ». Soulevant des

surprend la déesse Diane, nue. « Me miserum ! » dicturus erat : uox nulla secuta est ! Ingemuit : uox illa fuit, lacrimaeque per ora non sua fluxerunt ; mens tantum pristina mansit. Pudor hoc, timor inpedit illud.  Dum dubitat, uidere canes, primique Melampus Ichnobatesque sagax latratu signa dedere. […] Ea turba cupidine praedae

solution serait donc une reconnaissance « dans les règles » c'est à dire via une résolution de l’ONU. Le problème est que comme l’indique le ministre des affaires étrangères serbe (doc 3) « nous ne reconnaîtrons jamais la tentative des autorités de Pristina de faire unilatéralement sécession de la Serbie » et même si ce n’est pas indiqué dans le texte, la Russie partage le même point de vue. Or la Russie bénéficie d’un siège permanent au Conseil de sécurité et donc d’un droit de veto ce qui semble indiquer

Certains pays rencontrent des situations bien spécifiques : la production d’électricité au Kosovo dépend essentiellement de deux centrales à charbon (Kosovo A et B) vieillissantes et très polluantes. Si le Kosovo est autonome en charbon (et en exporte), Pristina doit cependant régulièrement recourir, faute de capacité de génération complémentaires, à des importations significatives d’électricité. L’Albanie présente une particularité en matière d’énergie : son extrême dépendance (plus de 90 %) à l’hydroélectricité

comparaitre devant le Tribunal Penal international pour l’Ex- Yougosalvie. Si le sujet vous interesse, Jacques Hogard, colonel de la Légion Etrangère et commadant des forces spéciales au Kosovo, a écrit un libre intitulé « l’Euorpe est morte à Pristina » dans lequel il dénonce l’injustice subise par les populations non albanaises du Kosovo après 1999, et la violence de groupes comme l’UCK. La question du statut du Kosovo reste en suspens, selon doctrine « standards before status » émanant de l’administration

l’avantage ou bien répondre à l’UCK en continuant le nettoyage, au risque de solidifier le front occidental contre lui. Mais il réserve un dernier coup : le 11 Juin 1999, une vingtaine de véhicules armés quittent la Bosnie pour filer vers l’aéroport de Pristina, sur ordre des russes. L’idée étant de stationner des forces russes, donc intouchables, auprès des forces serbes de l’aéroport afin de prendre en défaut les américains. En réalité, la guerre du Kosovo ne s’est pas terminée grâce à l’action militaire

hanc quidem praeter oppida multa duae civitates exornant Seleucia opus Seleuci regis, et Claudiopolis quam deduxit coloniam Claudius Caesar. Isaura enim antehac nimium potens, olim subversa ut rebellatrix interneciva aegre vestigia claritudinis pristinae monstrat admodum pauca. Raptim Raptim igitur properantes ut motus sui rumores celeritate nimia praevenirent, vigore corporum ac levitate confisi per flexuosas semitas ad summitates collium tardius evadebant. et cum superatis difficultatibus

le 20 juin. Lors de la première phase, le quartier général de la KFOR est implanté en Skopje en Macédoine, tout près du Kosovo et facilement accessible pour les grandes villes européennes. Ce QG se déplace par la suite vers la capitale kosovare, Pristina. Initialement, la KFOR comptait environ 50 000 militaires, mais ce nombre n'a cessé de diminuer pour se réduire actuellement à 15 000 effectifs. La Belgique a livré des troupes qui ont été essentiellement stationnées dans le secteur français, près