Problematique Du Pere Goriot

Fleurs du Mal, p. 39 et suiv. 69. Cf. T. Bassim, La Femme dans l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne, Pl. II, p. 713 à 722. 73. C'est ce drame que Baudelaire reconnaît dans Wagner (Pl. II,

sur l'actualité (ou sur l'histoire récente : les idées de Barthes et Foucault, que l'expérience des décennies ultérieures n'a pas, il me semble, désavouées, qu'elle a au contraire confirmées), avant de remonter dans le temps une fois muni d'une problématique, c'est-à-dire d'un cadre de questions à poser. Comme pour toutes les notions philosophiques, il existe une époque de transition à partir de laquelle elles nous sont accessibles immédiatement, car elles n'ont plus radicalement changé de contenu

sémiotique narrative des trois premiers romans de Jean-Marie Poupart», mémoire de maîtrise, 1978, xv, 187 p. Dir. : Émile Bessette. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.016; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1978 v.016; Microfilm; CÉTUQ. Aroichane, Foutna, «Le père dans le théâtre québécois moderne», mémoire de maîtrise, 1973, 256 p. Dir. : Léopold Leblanc. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1974 v.002; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1974 v.002; Microfilm; CÉTUQ. Asselin, Jacques, «Les thèmes majeurs chez Nelligan», mémoire

très volontiers » : les cordeliers acceptent de bonne grâce de garder le secret d’une action qui, si elle était connue, leur ferait grand tort, alors que par ailleurs, ils envisagent ou de violer la batelière, ou de la jeter à l’eau ; – « le beau père » : le narrateur du texte reprend à son compte les formules de la batelière, destinée à flatter les cordeliers et à endormir leur méfiance ; – « laissant ses deux bons pères aux déserts » : la batelière abandonne les deux cordeliers dans leurs îles

prayer to the Virgin. Villon’s poetry has roots in the thirteenth-century dit and his themes (nostalgia, regret, death) were commonplaces of the well-established ‘testament’ genre. But the emotion is genuine (for his mother, for his uncle, his ‘plus que père’) and has a wider range: Villon moves from the courtly to the sotte chanson, from the ‘Belle dame sans merci’ to Grosse Margot, from the language of piety to thieves’ cant. He was remembered, as he predicted, as a clown. But his real legacy was to