Problématique Dévaluation Monétaire Années 30

avant d’être recyclée en partie pour financer les dette souveraine. Ce phénomène a contribué à réduire l’importance des réserves excédentaires sans les absorber intégralement. Au final, le problème de surliquidité n’est pas totalement résolu et la problématique de financement de l’économie a simplement changé de nature avec la substitution du financement par le marché des Trésors nationaux aux avances de la Banque centrale, l'accès au crédit du secteur productif privé et des PME reste donc une difficulté

les différences de compétitivité entre appareils productifs situés dans des économies différents ; ▪ L’action fiscale s’effectue, soit au niveau de la collecte des ressources, soit au niveau de leurs dépenses. Pour ne pas s’écarter de la problématique de notre recherche, on va aborder brièvement la question des dépenses publiques ; ▪ Pour que les instruments fiscaux aient un rôle favorisant la compétitivité, il faut qu’ils soient intégrés dans un système fiscal adapté et répondant à un

POLITIQUE MONETAIRE DANS L’UMOA ET REVUE DE LA LITTERATURE .................................................................................................................................... 8  CHAPITRE I : LA POLITIQUE MONETAIRE ET SON ENVIRONNEMENT ...................................... 10  I-  INTERACTIONS DE LA POLITIQUE MONETAIRE ET DE SON CONTEXTE :  ...................................................... 11  . II-  MUTATIONS DE L’ENVIRONNEMENT ET CONDUITE DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU PLAN INTERNATIONAL

société anonyme européenne, soit pour des raisons économiques (cloisonnement des marchés financiers). La libre circulation des capitaux est restée limitée : Plusieurs raisons peuvent être avancées : si la crise du système monétaire international depuis le début des années 70 était pour quelque chose, on peut également noter la volonté de chacun des Etats membres d’intégrer directement le marché international des capitaux. Parallèlement, il y a le marché des euro-dollars qui fonctionne normalement

dépréciation c’est la baisse de la valeur mais surtout une évolution naturelle. C’est à dire qu’il n’y a pas intervention de l’état, du gouvernement. Ce qui veut dire que naturellement avec le temps, une monnaie perd de sa valeur. Tandis que la dévaluation c’est la baisse du taux de change. Elle est politique, c’est les gouvernements qui décident d’augmenter ou de baisser le taux de change. (Exemple : Suisse - intervention de la banque centrale européenne). Si il y a une évolution naturelle des parités

heurte enfin à la forte diminution du commerce intra-européen. Celui-ci est affecté par la multiplication des frontières en Europe centrale, par la chute des échanges avec la Russie soviétique,, par le cloisonnement douanier et par les évolutions monétaires contrastées qui perturbent les courants traditionnels. Pionnier de l’idée européenne, Coudenhove-Kalergi appelle dans son manifeste Paneurope, publié en 1922, les pays européens à s’entendre pour éviter cet émiettement et cherche à recruter des

américains vers l’Espagne. Le phénomène est nommé « bullionisme » (« bullion » = lingot d’or). Cet apport crée un nouveau pouvoir d’achat (l’or étant la monnaie courante), mais ensuite, les prix augmentent en Espagne. Le déséquilibre entre le flux monétaire et le flux réel engrange une inflation en Europe. Au XVIème siècle les prix sont multipliés par quatre suite à l’enrichissement de l’Espagne. Puis, J. Bodin établit le lien entre la monnaie et les prix. Il est le précurseur de la théorie quantitative

circuit mais seulement pour un temps. Investissement : injection de monnaie afin d’augmenter les facteurs de production. B. L’équilibre en économie ouverte sans Etats. Importation : fuite de capitaux ou flux monétaire Exportation : apporte un flux monétaire (injection de monnaie) C. L’équilibre en économie ouverte avec l’Etat Le prélèvement d’impôt est cosidèré comme une fuite, car c’est un manquement à la consommation. Les dépenses publiques sont une injection

............................... 54 Chapitre IX : La courbe de Philips ................................................................................................................. 58 Chapitre X: Inflation, activité et croissance de la masse monétaire ................................................... 66 Chapitre XI : Les anticipations : outils fondamentaux............................................................................. 73 Chapitre XII : Marchés financiers et anticipations......

Antonio Luciano Manuel & Laurinda Manuel Francisco Luciano qui sans leurs présence, leurs encouragements, leurs motivations ainsi que leurs sacrifices, je n’aurais su achever mes études universitaires ni garder une bonne volonté durant toutes ces années. De même je tiens à remercier vivement mon encadrant académique Mr. Maaninou Amal pour avoir bien voulu diriger ce travail. Mes vifs remerciements et ma profonde gratitude à tous ceux qui ont contribué de prés ou de loin à l’élaboration de ce mémoire