Procedes Pour Dramatiser

récitation (v. 1266-1286). ■Un récit dramatisé Identifiez la composition du récit. La bataille contre les Maures ne peut pas être représentée sur la scène du théaˆ tre. Corneille a donc soin de faire de la bataille un récit détaillé. Le récit des préparatifs est réalisé en trois étapes : la marche des combattants (v. 1267-1272), l’arrivée au port et la mise en place du stratagème, et enfin l’arrivée des Maures. Quels éléments dans le texte permettent de dramatiser la scène ? La progression chronologique

Thème : d’un vol de pommes par le narrateur quand il était enfant. Registres et qualifications : vivant et dramatisé, riche en suspense. A la fois amusant et grave. Parodique de l’épopée. Buts de l’auteur : pour revivre un moment crucial de l’enfance. b) Problématiques extraites de la « définition » du texte Qu’est-ce qui donne sa vivacité au récit ? Comment Rousseau dramatise-t-il cette anecdote ? (A surligner en bleu) D’où vient l’humour ? En quoi Rousseau enfant apparaît-il comme

et du type de texte : Théramène se livre alors à un long récit dramatisé et pathétique des derniers instants du héros. c. Problématique et axe d’étude : Il s’agira donc de voir comment le récit, loin d’affadir la scène de combat, en décuple la puissance émotive et la valeur tragique : c’est sous l’angle d’un récit tragique que nous étudierons ce passage. d. Plan : Pour cela, nous commencerons par voir comment le récit est dramatisé (I.). Nous verrons ensuite que ce récit se présente comme un tableau

Formes et enjeux de l’aveu au théâtre Question sur le corpus Par quels procédés (textuels et scéniques) l’aveu se manifeste-t-il dans les différentes scènes ? Séance 5 I. Prendre connaissance du corpus A) Nature du corpus 4 textes littéraires, extraits de pièce de théâtre B) Examen méthodique des textes et documents - genre des textes : les élèves doivent pouvoir identifier une comédie et une tragédie, et on se posera la question du genre des textes C et D. Le

genre et du type de texte : Théramène se livre alors à un long récit dramatisé et pathétique des derniers instants du héros. c. Problématique et axe d’étude : Il s’agira donc de voir comment le récit, loin d’affadir la scène de combat, en décuple la puissance émotive et la valeur tragique : c’est sous l’angle d’un récit tragique que nous étudierons ce passage. d. Plan : Pour cela, nous commencerons par voir comment le récit est dramatisé (I.). Nous verrons ensuite que ce récit se présente comme un tableau

description mais il contient aussi une analyse très approfondie sur la psychologie infantile. En ce qui concerne les caractéristiques du récit Rousseau emploie l'imparfait, temps de la description. L'aveu relève du récit et Rousseau use de plusieurs procédés pour le raconter, par exemple, la fessée n'est jamais mentionnée mais il emploie différentes périphrases pour la nommée telle que > ou > On peut voir la difficulté d'avouer, le narrateur emploie beaucoup de coordinations ce qui ralentie l'aveu

intéresserons au double destinataire de ce récit, Clytemnestre et le public et aux effets que produit l’asymétrie d’information entre les personnages et le public. Ce récit, assez classiquement, est empreint du registre épique. Il emploie nombre de ses procédés parmi lesquels l’hypotypose. Ceci est particulièrement sensible dans la narration de la course de char et de la mort d’Oreste qui s’en suit qui occupe les vers 696 à 760. On peut remarquer en premier lieu l’emploi d’images précises telles «son

La mort se déroule hors-scène et il revient alors souvent à un confident de la rapporter. Dans sa version d’Antigone offerte au public en 1944, Jean Anouilh use de ce procédé au seuil de son dénouement : c’est un messager qui surgit pour annoncer les décès d’Antigone et d’Hémon. Comment cette tirade du messager permet de dramatiser l’invisible ?   I – Une arrivée de mauvais augure : Le public averti sait à quoi s’attendre lorsque surgit le messager à ce stade de l’intrigue puisqu’il reconnaît là

théâtralisation. 1. Bras de fer. Les deux « protagonistes » sont Staline et de Gaulle. Leurs échanges alternent toujours entre le discourt direct et le discourt indirect, cette alternance montre bien les divergences et les enjeux. De Gaulle, par ce procédé, infléchie le cours des choses. De Gaulle entretient le suspense presque malgré lui car Staline tarde à donner son accord. Il démontre par là qu’il maîtrise la situation. De Gaulle parvient à nous faire comprendre que Staline est un comédien dangereux

- champ lexical de la révolte et du refus : je me révoltais (v.7), je n’y croyais pas (v.9) ; elle ne pouvait pas m’avoir ainsi quitté » (v.13) ; « c’était impossible » (v.15). - mise en relief des mots-clés par la syntaxe et la versification : procédés de répétition : « souffert ma souffrance » (v.4) ; « Tout ce que j’éprouvais, l’avez-vous éprouvé ? » (v.5) localisation sous l’accent tonique à l’hémistiche : fou (v.1), pleurai (v.2), prit (v.3), révoltais (v.7) ou à la rime : amèrement (v2) ;