Procedes Pour Dramatiser

lui portait. Il affirme même avoir voulu lui donner le ruban et c'est pourquoi il l'a accusé > Rousseau nie certainement la notion de responsabilité dans ces Confessions dans le but de réduire son malaise et son sentiment de culpabilité. C'est un procédé qui permet de réduire le malaise émotionnel. Il esquive donc le sentiment de culpabilité et rejète la faute sur les adultes présents dans son environnement humain. Il explique ainsi que, dans le récit du ruban volé, si Monsieur de La Roque l'avait

la Lumière contre les Ténèbres…), en présence de héros surhumains et de forces surnaturelles. Il vise à amplifier des événements. |Les procédés |L’effet produit | |Termes collectifs, pluriels, superlatifs, adverbes d’intensité, |Tous ces procédés d’amplification produisent un agrandissement, une | |énumérations, gradations… |aggravation, une

affrontements grandioses et souvent guerriers (le Bien contre le Mal, la Lumière contre les Ténèbres…), en présence de héros surhumains et de forces . Il vise à amplifier des événements. Les procédés L’effet produit Termes collectifs, pluriels, superlatifs, adverbes d’intensité, énumérations, gradations… Tous ces procédés d’amplification produisent un agrandissement, une aggravation, une exagération Métaphores et symboles Mettre en relief les caractères extraordinaires en présence Phrases longues, complexes

nord de la France ce transforment en métaphores pour nous montrer et dénoncer à cette époque la dureté du monde de la mine et les conditions déplorables de la vie des ouvriers A)la métaphore du paysage La métaphore est déjà considérée comme un procédé littéraire surtout poétique, donnant donc à un paysage froid comme celui décrit dans l’incipit, une autre vision enfonçant de manière romanesque ces décors « sous la nuit …d’une épaisseur d’encre » . -En effet la métaphore est ici considéré comme

comme une aide spirituelle, un accompagnement. Ce roman essaie aussi de proposer des réponses à des questions délicates et difficiles comme : comment faire savoir à quelqun qu’il va mourir. Doit-on révéler à la personne qu’elle va mourir, ou bien procéder par omission, en laissant le malade dans le flou ? Dans ce roman, le comportement du petit garçon montre que la réponse est à adapter au cas par cas. En effet, dans la 2ème lettre, celui-ci se révolte de ce qu’il perçoit comme une lâcheté de la part

comique des comportements et abus des bourgeois de l’époque. Comment Molière fait-il la satire des excès de la Préciosité ? Pour commencer, nous verrons que cette satire réside à la fois dans l’extravagance du langage, en étudiant les différents procédés utilisés par l’auteur, puis deuxièmement dans la situation, avec l’absurdité de l’attitude des personnages. I. La préciosité du langage  1. L’univers précieux L’univers précieux se crée dans les salons et cercles mondains de la fin du XVIIème

: - Métaphore filée, des récoltes entre le vers 21 et la fin du texte : de manière antithétique, le blé "sous la grêle" (métaphore des bombardements) trouvera un écho dans "le raisin muscat" qui mûrit à la fin v. 54 = images opposées destinées à dramatiser la situation - Le sang dont se nourrit la terre : v. 47, 51-52 : le caractère épique de l'image est d'autant plus souligné par le singulier qui désigne ici les 2 morts ; idée = grandissement des héros par leur unité. (Il ne font plus qu'un face

(l.2-3-4) - “C’est là où” - x 3 anaphore - Elle dramatise la situation dans les îles → elle rend effroyable et bouleversante la situation des esclaves et le refus des esclavagistes de céder aux idées abolitionnistes.· (l.2-3) - “frémit d’horreur” - personnification de la nature touché les âmes - registre pathétique· (l.3-4) - “nature” ; “raison et humanité” ; “division et discorde” - allégories d’unités abstraites + binarité et antithèse - Procédé de dramatisation = elle met en scène les 2 camps

C) Enfin, afin que le spectateur voie dans le spectacle « [s]on histoire », la mise en scène cherche le naturel. Afin d’éviter que ne se creuse une trop grande distance entre le spectacle et le spectateur, les metteurs en scène multiplient les procédés qui tendent à faire tomber le « quatrième mur ». Ils s’installent dans des lieux qui ne sont pas toujours des théâtres, envahissent des jardins ou des usines désaffectées… Ils placent des acteurs dans le public, rayant ainsi d’un trait la frontière

particularité de la prise en charge des patients, c’est sa continuité en dehors de l’hôpital. Une prise en charge moins « psychiatrisée » : Après avoir décelé les signes annonciateurs, il faudra prévoir un entretien avec un psychiatre. Celui-ci va procéder avec l’adolescent à une investigation des idées de mort, des facteurs qui incitent ou empêchent le passage à l’acte. Il faudra s’assurer auprès du jeune de ses idées suicidaires. Contrairement à ce qu’on redoute fréquemment, on ne risque pas en le