Procès de Socrate

Socrate : valeur de la vie et mythe des Enfers "Celui d'entre nous qui veut être heureux, doit se vouer à la poursuite de la tempérance et doit la pratiquer, mais,[...] à l'inverse, il doit fuir le dérèglement de toute la vitesse de ses jambes et surtout s'arranger pour ne pas avoir besoin d'être puni. Cependant, s'il arrive qu'il ait besoin d'être puni, lui-même ou l'un des ses proches, simple particulier ou cité, il faut, s'il doit être heureux, que justice soit faite et qu'il soit puni." (507

bien souvent le groupe social fait pression pour nous en empêcher (craignant les effets de ricochet liés aux illusions démasquées). La vertu qui chapeaute toutes les autres est sans doute le courage. Celui-ci ira jusqu’à l’héroïsme, dans le cas de Socrate : son désir de vérité et de justice est plus fort que son désir de rester en vie et que sa peur de la mort. La phrase clef de l’allégorie de la caverne est sans doute celle qui affirme, à propos des prisonniers de la caverne, qu’ils « nous ressemblent

occurrences chez les penseurs présocratiques[2] Héraclite, Antiphon, Gorgias et Pythagore, mais aussi chez d'autres penseurs contemporains de Socrate, comme Thucydide ou Hérodote. D'après un écho d’Héraclide du Pont, Pythagore serait d'ailleurs le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de « philosophe »[3]. Toutefois, c'est la pratique qu'en fait Socrate, dans les dialogues de Platon (où l'on trouve un usage abondant du mot), qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste

toi-même », l’inscription signifiait pour Socrate : aie souci de ton âme : ne cherche pas d’abord à plaire au monde, mais soit digne de la justice telle que tu es capable de la penser ! Ne pas être l’esclave de son temps, mais chercher seulement la justice, voilà ce que signifie connais-toi toi-même ! Les Athéniens n’ont pas voulu l’entendre, on sait qu’il a dû boire la cigüe, accusé de corrompre la jeunesse et de ne pas reconnaître les dieux de la cité. Le crime de Socrate, c’est d’avoir voulu sauver l’individu

risque est Socrate, philosophe du Vè s av JC. Socrate faisait de la philo par oral il n’a rien écrit mais son enseignement nous est parvenu par son disciple Platon dont les œuvres écrites sont les mises en scènes des dialogues & pensées de Socrate. Socrate faisait de la maïeutique : système de question réponse, qui permet à son interlocuteur d’accrocher de sa propre pensée en approfondissent en permanence le sens des questions qu’on lui pose et des réponses qu’il fournit. Socrate dira qu’il

connaissance de Socrate (470 à 399 ACN. Philosophe grec, dit comme l'inventeur de la philosophie politique & morale) ((la parenthese sur socrate en bas de page maxou)) Platon se consacre à l'écriture pour transmettre les connaissances que Socrate lui avait enseignées. A sa mort, en 399 ACN, Platon décide d'écrire le livre énonçant la fin de vie de Socrate ainsi que des dialogues sur le procès :  « Apologie de Socrate ». Il fonde aussi sa propre Académie d'écriture en 387 ACN. C'est grace à Socrate, mais

du Péloponnèse où Sparte prit le contrôle d’Athènes. Il y eu plusieurs types de réformes avant d’arriver à l’obtention de la démocratie. C’est en ? que Platon, ancien élève de Socrate, écrivit ce roman qui raconte le procès de celui-ci, l’accusant de corrompre la jeunesse et de croire en une divinité surnaturelle. Socrate croyait vraiment en son devoir, au point qu’il était près à y sacrifier sa vie. Face à cette situation, une question s’impose : pour préserver notre vie, devons-nous abandonner

Enquête Socrate SorcierHLP PremièresSocrate le sorcier : l’enquêteNoms et Prénoms des enquêteurs-trices- Simon EléonoreNoteQui est Socrate ? => Choisir 5 points importants de sa biographie pour le décrire, selon vous. 1 – Socrate est connu comme l’un des créateurs de la philosophie morale seulement, ça réputation et ses pensées se sont transmise indirectement par des témoignage, etc.. car il n’a jamais laissé de vrai écrit lui-même (Les seuls écrit présent sont ceux de ses deux

Socrate et les lois Depuis toujours, l’être humain à besoin d’un certain encadrement pour vivre en société. Même s’il ne s’agit pas officiellement de loi, depuis que l’homme vie en société il y a toujours eu des barèmes. De nos jours, les lois sont officielles et sont mise en place pour le bon fonctionnement de la société. Par contre, certaines lois sont imparfaites, c’est pourquoi j’en viens à me poser la question suivante : « Doit-on respecter les lois en toutes circonstances ? ». Je pense qu’il

dialogues dans lesquels Socrate discute souvent avec des sophistes pour analyser leurs raisonnements (ex : Sorcate et Ménon, texte vu en cours). Socrate étant diamétralement opposé aux sophistes s'y intéresse malgré tout pour leur concept de « relativisme de la vérité » selon lequel il n'existe qu'une vérité et c'est en la cherchant que l'on est dans le Bien, le Beau ou le Juste. La sophistique désigne à la fois le mouvement de pensée issu des Sophistes de l'époque de Socrate, mais aussi le développement