Productivisme

on construit la production par Laval, en fonction de la demande du client on produit. Modifications de l'organisation concrete du travail qui va à l'opposé de Taylor. Travail en équipe, équipes autonomes. Qualité : cercles de qualité.  Le productivisme réactif et les nouveaux modèles managériaux (nouvel air du capitalisme ?). Concept introduit par Philippe Ashkenazy « le désordre au travail ». On serait rentré dans une ère de la recherche d'augmentation de la productivité et de réactivité par

Le symbolisme. I) Origine Il est né en France vers 1880 dans la jeunesse littéraire et artistique, en réaction contre le moralisme, le rationalisme et le productivisme de l'ère industrielle. C'est le Manifeste publié par Jean Morréas en 1886, dans le Figaro, qui est considéré comme l'acte de naissance de l'école symboliste. Le mot « symbolisme » est formé à partir du terme « symbole » qui vient du latin symbolum, « symbole de foi », symbolus, « signe de reconnaissance », du grec sumbolon, «

l'idéologie communiste3 et considèrent que ces États n'étaient pas communistes ; pour eux, le communisme reste un projet de société qui n'a pas encore été réalisé. Ils mettent ces crimes et désastres écologiques sur le fait du totalitarisme, du productivisme ou bien encore pour une partie d'entre eux sur le stalinisme et ses dérivés.

concurrence loyale ; - les socialistes de l’utopie socialiste comptent davantage sur le développement de la libre association et de la solidarité collective. C’est seulement au 20e siècle que ces utopies sont supplantées par l’idéologie du productivisme et de la croissance. C) L’irrésistible essor d’une religion de la croissance. 1) La dilution du développement dans la croissance. Dans les pays occidentaux et au Japon, la coïncidence flagrante entre l’industrialisation rapide

travail est encouragée par : – la recherche de productivité des entreprises ; – la pression de la grande distribution sur les prix ; – les exigences croissantes des consommateurs en terme de délais. 3. Expliquez le terme « productivisme réactif ». Le productivisme réactif est une organisation du travail qui combine travail taylorisé, livraisons en juste-à-temps des matières premières et pression du client pour réduire les délais de livraison du produit. Un régime éprouvant pour le salarié

l'idéologie communisten 1 et considèrent que ces États n'étaient pas communistes; pour eux, le communisme reste un projet de société qui n'a pas encore été réalisé. Ils mettent ces crimes et désastres écologiques sur le fait du totalitarisme, du productivisme ou bien encore pour une partie d'entre eux sur le stalinisme et ses dérivés.

hiérarchisation poussée, qu'on nomme division verticale et enfin sur la paye à la pièce, ce qui motive l'employé à produire plus. Le fordisme y ajoutera même le convoyeur, et mettra ainsi en place le travail à la chaîne. A l'inverse, le nouveau productivisme remet en cause ces divisions en élargissant les tâches des employés en leur donnant plus de responsabilités. La mutation, le passage d'une organisation à l'autre, évoquée plus haut n'a toutefois pas été totale. 1. Une véritable mutation dans

doctrine médiévale : M-A-M (marchandise-argent-marchandise) à A-M-A (argent-marchandise-argent). L’argent devient tout, il faut augmenter le profit. Avant, l’argent n’était qu’un moyen. La richesse vient des métaux précieux Productivisme : La richesse vient de la production, il faut de la VA. Il faut accumuler des facteurs de production et du travail Nécessité d’accumulation des facteurs de production Tendance au populationnisme : la base de ce système

l’agro-business, crédit, infrastructures) et «innovations douces » (nouveaux modes d’irrigation et de protection des végétaux, cultures hors sol, réduction des régimes alimentaires industriels trop riches en protéines animales, etc.). Les limites de l’anti-productivisme Mais aujourd’hui un autre problème central a souvent pris le pas sur la question de l’alimentation dans les débats sur le lien entre population et environnement : le changement climatique et la question des émissions de gaz à effet de serre. Si

de grandes inégalités de conso à l’intérieur du pays et 10 % des ménages le plus riches dépensent 2000 € par an pour l’énergie contre 800 € pour les bas revenus. C) Les autres déséquilibres : Changements climatiques -> Réfugiés climatiques Productivisme agricole -> Déforestation Epuisement des ressources halieutiques De plus en plus de produits toxiques. II) Le lancement des politiques de développement durable : A) Les grandes dates de la prise de conscience : 1987 : Commission mondiale