Progrès éthique

A la fin de leur bilan de compétences, les bénéficiaires peuvent rester en contact avec leur consultant pour toute question relative à leur projet ou à son évolution. Vous pouvez télécharger ici notre méthodologie du bilan de compétences. Ethique et engagement L'éthique est une des valeurs phare des consultants du BIOP en bilans de compétences ; elle repose sur : • une écoute et un respect des personnes, • la confidentialité des informations recueillies, • la remise d'un document de

intelligence. I- Vivre est une évidence ; apprendre à vivre est impossible sans nier la vie - La vie organique comme réflexe (ex : la respiration). Elle agit indépendamment d’une intention et d’une pensée → apprendre à vivre est inutile. - Spinoza, Ethique, III, prop. 13 à 30 : l’âme est plus facile à connaître que le corps. Nous ne possédons pas des corps une connaissance adéquate, et moins encore de notre propre corps→ comment connaître ce qui nous échappe, et comment l’enseigner autrement que de

fournir un produit ou service de qualité. Quant au sens de la responsabilité, c’est certes l’ambition de dégager une saine rentabilité, sans excès, mais aussi manifester sa solidarité envers les moins chanceux et contribuer au bien commun ainsi qu’au progrès de l’humanité par notre esprit d’entreprise et notre imagination. Diriger n’est pas un privilège mais une responsabilité, celle de servir la communauté et l’homme dans toutes ses dimensions et non seulement dans l’amélioration de ses conditions matérielles

L'éthique utilitariste La théorie éthique du devoir de Kant est l’une des approches les plus importantes dans la délibération éthique aujourd’hui. Mais ce n’est pas la seule. La pensée utilitariste a aussi eu une énorme influence sur notre manière d’envisager les normes morales. L’idée fondamentale de cette approche pragmatique est que la valeur morale découle de l’utilité d’un acte c’est-à-dire de ses conséquences avantageuses. L’utilitarisme a pris naissance en Angleterre et on pourrait dire

Recommandations de bonnes pRatiques pRofessionnelles Le questionnement éthique dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux Ce document a reçu l’avis favorable du Comité d’orientation stratégique et du Conseil scientifique de l’Anesm. Juin 2010 Le questionnement éthique dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux Le déploiement d’une démarche de questionnement éthique dans les établissements et services sociaux et médico–sociaux revêt un enjeu important

défini et une rationalité en finalité quant au moyen d’y parvenir. La rationalisation touche l’ensemble des actions sociales telles que les actions économiques, politiques, le droit, l’éducation, etc. Cette rationalisation constitue une source de progrès dans la mesure où elle libère l’individu des pesanteurs de la tradition ou de l’arbitraire de pouvoir irrationnel relevant de la magie ou de la superstition. Cependant, la rationalisation propre au capitalisme occidental se traduit par « désenchantement

scientifiques, éthiques ou philosophiques. Mais jusqu'où pourra-t-on accepter de dévoiler notre identité, de croire que l'ADN peut contenir un message qui concernerait une même communauté ou l'utiliser à titre religieux. Nous devons être prudents, car à long terme nous pourrions commettre des erreurs en voulant utiliser systématiquement l'ADN. Sommes-nous prêt à résoudre définitivement certains problèmes majeurs : financiers, confidentialités, ou devrons-nous nous contenter des progrès de la science

enfant mort-né n’a lui pas de personnalité juridique, une règle qui peut conduire à nier l’existence même du bébé. La législature de 1993, en a atténué la porté en autorisant la déclaration d’un acte de l’état civil. Lors de la définition des lois éthiques en 1994 et 2004, les législateurs prirent soins de ne pas aborder la question de la nature de l’embryon. Avec un statut à relever qui demeure proche de l’impossibilité, et se détermine selon chaque personne. La vie juridique de l’embryon demeure

Les conséquences éthiques et juridiques de la loi ne seront sans doute pas perceptibles dans un premier temps. Pourtant, le changement législatif atteste tout à la fois d’une modification actuelle importante de grands repères juridiques et éthiques, et de la poursuite d’une évolution amorcée dès les premières lois relatives à la bioéthique. Si le débat a été rapidement clos, le « problème de l’embryon » ne cesse paradoxalement pas d’interroger les discours, les lois, les pratiques et les projets

TPE EUTHANASIE * Les progrès réalisés ces dernières décennies en matière d’hygiène de vie et ceux des techniques médicales conduisent à un allongement remarquable de la durée de vie. En même temps, on assiste à un certain effacement des frontières entre la mort et la vie et, d’une certaine manière, à une désapprobation par le mourant de sa propre mort. S’ensuivent bien des problèmes éthiques et humains inédits. En attestent les hésitations et fluctuations récentes des législations sur ce point