Prologue Antigone

ANTIGONE DE J. ANOUILH Pourquoi se choix ? : C’est un sujet qui a beaucoup été étudié en cours. C’est un sujet me plaisait aussi pour l’héroïne (courageuse) et pour le message de résistance transmit par son biais. Problématique : Pourquoi avoir modernisé un mythe ? En quoi cette pièce propose-t-elle une réflexion sur la notion de révolte ? Présentation générale : L’Antigone de Jean Anouilh est une tragédie en un acte représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris

d'Antigone oseriez-vous à enterrer votre frère .Présentez votre point de vue dans un devoir argumenté. Antigone a pris une décision très courageuse : celle d’enterrer son frère malgré le refus du roi Créon. La situation précaire dans laquelle se trouve la jeune fille ne nous laisse pas indifférents car cela peut être le cas de chaque personne. Nous démontrerons dans les lignes suivantes à quel point Antigone a eu (est ce que je peut avoir une explication, s'il vous plait? -passé composé-) raison. D’une

de recouvrir ou d’enterrer le corps de Polynice et pour cela il avait placé des gardes pour surveiller le corps. Mais Antigone, nièce de Créon et sœur de Polynice, a désobéit, elle a tenté de recouvrir le corps. Elle devait être condamnée a mort. Mais Créon qui tenait à Antigone refusait de faire cela, mais Antigone voulait mourir. Créon a tout fait pour essayer de garder Antigone en vit. Jusqu’à désobéir à sa propre loi. Mais celle-ci voulait mourir, elle l’avait d’ailleurs répété à plusieurs reprises

retracent l’histoire dans l’antiquité de deux personnages, des femmes, Camille et Antigone dont l’une défend la mort de son époux et l’autre tente à honorer la mort de son frère, toutes deux à l’encontre des règles. Nous pouvons nous demander quels sont les points communs de ces deux personnages et en quoi sont-elles des héroïnes tragiques. Nous parlerons dans un seul et unique axe des similitudes entre Camille et Antigone et des liens que ces similitudes ont avec les caractéristiques des héroïnes tragiques

Antigone: la face-à-face Antigone, Créon Version Sophocle : 80 vers Version Anouilh : 35 pages Pourquoi ? Anouilh transforme le personnage de Créon. On finit par avoir de la sympathie pour Créon. Créon veut sauver Antigone qui veut mourir. Considérez: Décrivez cette étape de la conversation. Quels mots sont employés et pourquoi? Quelle(s) stratégie(s) Créon utilise-t-il pour convaincre Antigone d’être raisonnable? Quelle(s) répliques Antigone donne-t-elle? Relevez des lignes particulièrement

à la mort de son beau-frère, Laïos- , Œdipe fut proclamé roi de Thèbes et épousa Jocaste, la sœur de Créon, qui était en fait la véritable mère d’œdipe. Suite à ça, Œdipe et Jocaste ont quatre enfants: deux fils, Étéocle et Polynice, deux filles, Antigone et Ismène. Une peste vint sévir sur le pays: L'Oracle de Delphes annonça qu'il fallait découvrir et expulser le meurtrier de l'ancien roi, Laïos, pour faire cesser la peste. Peu à peu, Œdipe découvre la vérité: Il comprend donc qu'il est

(Traduit de quelle langue ?) Grecque ancien L’auteur : Sophocle (495-406 av. J.C.) né à Colone, près d’Athènes. Il est l’un des trois grands tragiques grecs. Il est l’auteur de 122 pièces dont seulement 7 nous sont parvenue. Il a également écrit Antigone (441), Philocète (409) et Œdipe à Colone (401- posthume). Le genre : Il s’agit d’une pièce de théâtre. Le cadre : La scène se déroule à Thèbes en Grèce. Les personnages principaux : -Œdipe : Roi de Thèbes et il est aussi le fils et l’époux de Jocaste

Jean Anouilh, Antigone, Quinzième Partie (1944) I. Une scène d’aveu émouvante a) Une lettre d’aveu b) Le désespoir d’Antigone c) Une tragédie II. Un drôle de dialogue a) Un garde burlesque b) Un dialogue impossible c) Un aveu inachevé Cette pièce est une réécriture d’Antigone de Sophocle, grand dramaturge de la Grèce Antique (Vème siècle av JC). Elle s’inspire du mythe mais dans une version modernisée, ou Anouilh (1910-1987) écrivain et dramaturge français, a centré sa pièce sur Antigone (alors que

 La confrontation dans Antigone Antigone est une pièce de Jean Anouilh représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, pendant l’Occupation allemande. La confrontation entre le roi Créon et sa nièce Antigone est la scène centrale de la pièce. Les gardes du roi ont fait arrêter Antigone alors qu’elle essayait de recouvrir le corps de son frère Polynice (partie 2), acte contraire aux ordres du roi. Créon propose à sa nièce de cacher son crime à condition

Antigone fait part à sa sœur Marion (Ismène) de son intention de braver l'interdiction, sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, émise par le roi Créon d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice (tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille ou les deux frères veulent tuer l'autre pour devenir roi car ils étaient jumeaux, mais les deux meurent.) Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai