Pronaos

construite entre 1576 et 1592. Ces trois projets sont reliés entre eux par la logique fondamentale de Palladio. Ils s’inspirent en effet des modèles de l’Antiquité et suivent tous un principe de base identique, celui de la superposition de deux pronaos, ou portiques, grecs. On observe également dans les trois façades l’assemblage d’ordres d’échelles différentes. L’ordre mineur se retrouve dans les zones latérales de la composition, tandis que l’ordre colossal est centré, devant la nef. Ce procédé

représentant l'empereur Domitien (51-96) faisant une offrande à la triade de Sobek. La cour: composée de seize colonnes sur trois coté où parfois les reliefs et couleurs sont encore présents ce qui démontre une certaine qualité d'exécution. Le Pronaos (ou première salle hypostyle) : La façade de cette salle est décorée de tableaux au nom de Ptolémée XII Aulète (-117 -51) ou « Neos Dionysos » purifié par Horus et Thot en présence de Sobek et Haroéris. On retrouve au plafond des scènes astronomiques

de cultes étaient aménagés dont le temple et l’autel. Ces temples étaient pour la plupart rectangulaires, plus rarement ronds (tholos). Le cœur du temple est la cella, salle qui abritait la statue de culte. Dans un temple courant, un vestibule (le pronaos) précédait la cella, des portiques bordaient certaines faces ou entouraient le bâtiment. Les murs intérieurs s’ornaient éventuellement de niches à frontons et de moulures sculptées. Le temple se dressait, en général, sur un podium qui contribuait

-490 et -480, Après la conquête carthaginoise de -409, les restes monumentaux de l’acropole grecque ont été réutilisés par les nouveaux conquérants qui l’adaptèrent à leurs propres cultes traditionnels : c’est le cas d’une petite pièce dans le « pronaos » du temple A où se détachent du pavement ce que l’on appelle «le signe de Tanit» (un triangle surmonté d’une barre horizontale et d’un disque, assimilé à la déesse carthaginoise Tanit), Diapo 4 se trouvent des aires cultuelles caractérisées

Mais les monuments de l’Acropole étaient financés par les revenus de l’Empire athénien. En dépit de ces controverses, les travaux de construction se poursuivirent. Construit selon le plan immuable des temples grecs comprenant un portique d’entrée (pronaos), le temple (sikos) et le portique arrière (opisthodome), le nom de Parthénon ne lui vint que plus tard; il désignait à l’origine une pièce de l’édifice : la chambre des Vierges. Il fut, dès le début, honoré plus comme chef-d'oeuvre d’architecture

À Nîmes, la Maison Carrée est le seul temple du monde antique intégralement conservé. La Maison Carrée de Nimes séduit par l’harmonie de ses proportions car elle est inspirée par les temples d’Apollon et de Mars Ultor à Rome. Avec un plafond du pronaos date du début du XIXème siècle et une porte actuelle réalisée en 1824, la Maison Carrée mesure 26 mètres de long sur 15 de large et 17 de hauteur. Mise en place par Auguste, la Maison Carrée est considérée comme l’une des expressions du nouveau pouvoir

III. TEMOIGNAGE D'UNE EVOLUTION DES FORMES: ASSOCIATION DE LA SCULPTURE ET DE L’ARCHITECTURE 1) La naissance d'une sculpture architecturale et monumentale: les caryatides archaïques  Un double rôle: architectural (remplacent les colonnes du pronaos) et ornemental.  La caryatide Siphienne: un style innovant emprunt de réalisme (vêtement, raffinement de la chevelure et opulence des détails..) mais qui reste traditionnel (posture et sourire).  Une autre caryatide appelée ex-cnidienne

temples : Issus des étrusques, la forme des temples pouvait varier : ils pouvaient être rectangulaires, carrés ou ronds. Le centre du temple se nommait la cella, elle abritait la statue de culte. Ordinairement, la salle précédent la cella était le pronaos, autrement dit le vestibule. Les architectes romains usèrent grandement de l’ordre corinthien, grâce aux colonnes et piliers qui sont particulièrement « ancrés » dans les murs. La décoration du temple s’effectuait au moyen de moulures, sculptures

dont la statue equestre au milieu du forum s'inscrit dans cette axialité sacralisante. Suétone dans sa Vie de César raconte comment le dictateur reçut un jour le Sénat, assis , contre toutes les règles de l'étiquette républicaine , au centre du pronaos du temple: il revétait ainsi en un certain sens l'aspect d'une véritable divinité vivante :Suétone, Diuus iulius :"(Un jour que tout le corps du Sénat venait lui présenter foule de décrets lui conférant les plus grands honneurs , il l'accueillit sans

de (1624-1632), fut réalisé à la demande du Pape Urbain 7 de la famille Barberini pour remplir le vide au-dessous de la coupole, et créer un mouvement ascensionnel. Sa création fut possible en utilisant les panneaux en bronze qui ornait le toit du Pronaos du Panthéon, d’où la célèbre phrase « Quod nor feverunt barbari fecerunt Barberini » (Ce que les barbares n’ont pas, les Barberini l’ont fait). Le Baldaquin mesure 29mètres de haut sur quatre colonnes torses splendides, colossales ornées de cannelures