Pronom possessif

ressentie, alors que la nature autour de lui restait belle et semblait ainsi le narguer, comme la femme, dont il ressent la beauté comme une insulte à son spleen.)   • Les marques de la subjectivité   - Comment sont répartis les pronoms et les déterminants possessifs de la première et de la deuxième personne dans le poème? Quelles remarques cette répartition vous inspire-t-elle? - Quels autres termes indiquent la nature de la relation entre l'homme et la femme? En quoi le dernier mot du poème

et capricieux, ici est sous-entendu une forme de lassitude et un besoin de découvrir d’autres choses, à d’autres niveaux, sans vraiment se soucier de ce que cela peut provoquer autour d’eux. L’emploi du pronom possessif « votre » traduit bien cette généralisation, car on peut interpréter ce pronom comme désignant le Comte mais également les hommes, ici la Marquise s’adresserait aux hommes à travers le Comte. La deuxième partie de la phrase : « et comme vous aimiez il y a quelques jours Madame de ***

affirmative simple: Sujet - Auxiliaire - Verbe/Complément La structure d'une question simple: Pronom interrogatif - Auxiliaire - Sujet - Verbe/Complément La proposition infinitive pour indiquer le but: TO + base verbale Les adjectifs possessifs: my your his/her/its our your their Les pronoms personnels: I you he/she/it we you they Pronon interrogatif: Where? - Où? what? - quel?/ qu'est ce? how? - comment? Pays

qualité Une nature, et quelle nature ! L’adjectif sera qualificatif ou ne sera pas… Le pronom, un porte-voix du nom aux mille facettes Les personnels, toujours tournés vers leur (petite) personne Mais alors, quand emploie-t-on « on » ? Une fonction qui lui colle à la peau ! En et y, de drôles de zigotos Un mot des pronoms… qui réfléchissent ! Les démonstratifs : ils montrent du doigt… Les possessifs, de vrais rapiats, non ? Les relatifs, comme quoi tout est toujours relatif ! Les indéfinis

se caractérise par l’utilisation de tous les éléments de l’expression, de l’émotivité. Ainsi on retrouve des points communs précis entre les différents poèmes lyriques de cette période. Le pronom personnel sujet de la première personne du singulier, le « je », est très abondamment utilisé, tout comme les pronoms compléments sujets. En effet, dans la poésie lyrique, le poète parle de lui, et se place au centre (exemple dans le poème ci-dessous, avec l’utilisation des « mes», « ma », « je », « mon »)

multitude d'emplois de la première personne du singulier tout au long du texte : « Je voudrais » (L. 6, 13 et 23) ; « Je pourrai » (L. 9) ; « J'aurai du » (L. 20), ainsi qu'avec l'emploi d'adjectifs possessifs comme : « m'en » (L. 7) et « mes » (L. 8 et 10). Au tout debut du texte, la répétition du pronom personnel : « C'est moi, c'est moi ! » (L. 1) donne le ton du texte en marquant la solitude de Bérenger. Cette solitute est amplifiée grâce aux comparaisons : « comme eux » (L. 6 et 16) et « comme

un discours. A) Les déictiques Ce sont des mots qui ne prennent leur sens que dans un contexte défini. Cette catégorie comprend : • Les pronoms personnels (dont possessifs) : ➢ Mon, ton, son ➢ Le « on » signifiant « nous » ➢ Le pronom de l’absence (troisième personne) ➢ Les pronoms de la présence (1ère et 2nde personnes) • Les indices spatio-temporels ➢ Adverbe (eg : « Hier ») ➢ Compléments circonstanciels

d’inversion : L’inversion simple : le sujet est placé immédiatement après le verbe : Rodrigue as-tu du cœur ? as-tu peur de mourir? L’inversion complexe : le sujet est bien antéposé au verbe mais il est aussitôt repris après lui sous la forme du pronom sujet de troisième personne correspondant : cette lucidité n’était elle pas la pire des erreurs? L’interrogation avec « Est-ce que ». Son utilisation offre la présence d’une marque de l’interrogation et permet de garder la construction normale

« sombre »et « ombre » viennent confirmer ce rapport . Par ailleurs, l'adjectif possessif « son » est source de réinscription de l'adjectif « sombre »( son et ombre donnent sombre). Rimbaud insiste sur son age «  très vieux », tellement qu'il a pris les « allures » des personnes qu'il a vues. Il a pris par mimétisme « cet air si bon des veilles gens ». Le passage d'un article défini « c'est » à un article posséssif « son » nous plonge dans une sorte d'intimité avec le meuble; il nous attire, nous

(Gén. sg. : paris) similis, similis, simile 9 VOCABULAIRE DE BASE III. LES PRONOMS ET ADJECTIFS - PRONOMS Les adjectifs-pronoms possessifs meus, mea, meum adj. mon, ma noster, nostra, nostrum pron. le mien, la mienne adj. notre tuus, tua, tuum pron. le nôtre, la nôtre adj. ton, ta suus, sua, suum pron. le tien, la tienne adj. son, sa, leur pron. le sien, la sienne, le leur, la leur Les adjectifs-pronoms démonstratifs  FRANÇAIS LATIN hic, haec, hoc adj. cet... ci, cette... ci, ce