Pronom relatif

que la mère désigné par un terme générique et Joseph ce qui peut nous faire penser que le personnage absent se confond avec le narrateur ( ?). Ce trio semble soudé car nous remarquons l’expression : « tous les trois » employé deux fois ainsi que le pronom : « tous ». Le thème de la solitude, de l’isolement est très présent aussi dans ces premières lignes : nous pouvons relever un champs lexical correspondant avec l’atténuation : « moi seul », « solitude », « désert ». Ce qui indique aussi que l’endroit

politique. Néron est inquiet à cause de sa mère : dès que le regard d'Agrippine est posé sur lui, il est traumatisé : v500 : « sitôt que mon malheur me ramène à sa vue ». Et v501 et 502 : « le pouvoir de ces yeux ». De plus, il dit « ces yeux » avec un pronom démonstratif et non personnel : il traduit une certaine crainte. Néron est encore encopuragé par Narcisse : v492 :

de ce récit sont mari et femme : il s’agit du docteur Charles BOVARY et de son épouse EMMA. 2. Relevez, pour chacun des personnages, un substitut remplaçant son nom. Donnez la nature grammaticale de chaque substitut. /1 Charles est désigné par le pronom personnel « il ». Emma est désignée par le nom commun « Madame ». 3. Quelle est la situation initiale du récit ?/0,5 Les époux Bovary ont été invités au bal organisé par le marquis d'Andervilliers dans son château de la Vaubyessard. Ils quittent

ce présent ? Quelle est ici sa valeur ? 5. Qu’est-ce qui différencie le loup et l’agneau de simples animaux ? Le dialogue : 6. Observez l’image de J-L Loyer : comment l’illustrateur distingue-t-il le dialogue de la narration ? 7. Comparez les pronoms personnels et GN employés pas l’Agneau et par le Loup pour s’adresser l’un à l’autre. Que remarquez-vous ? Loup : te, tu, vous. Agneau : Sire, Votre majesté, elle. Quelle attitude cela révèle-t-il pour le loup ? Pour l’Agneau ? 8. Résumez dans

Sujet 3 : Essai littéraire. « Je suis fait de ceux que j’ai lus », affirme Goethe. En vous référant à vos lectures personnelles, exprimez les réflexions que vous inspire une telle opinion. Analyse : • Analyse syntaxique : « ceux » : pronom démonstratif  les écrivains • Analyse logique : - thème : (ce dont on parle) : La lecture - propos : elle forme l’homme Idée générale : Quelles sont les réflexions nous inspire cette opinion de Goethe selon laquelle la lecture peut former un

sur sa faiblesse pour lui. la première période (sous-mouvement) s'ouvre sur une série de questions qui montrent la désorientation tant physique que psychique d'Hermione. Deux premiers vers : constitués de questions courtes formées avec des pronoms interrogatifs : « où? », « qu'ai-je », « que », « quel transport», quel chagrin». Premier vers est marqué gradation de sens renforcée par une gradation dans la prosodie : 3/3/6. Incertitude sur le présent le passé et le futur (présence du présent

dans tout le poème des phénomènes de reprise des mots qui donnent une facilité de lecture et de compréhension « Ramassant la tradition/ De la tradition féconde… » 2) Le poète se présente en opposition avec les autres. Il y a opposition entre les pronoms de la troisième personne du singulier qui désignent le poète et le déterminant possessif « votre » qui désigne le lecteur, les peuples, les hommes. Ainsi le poète se dresse seul face à l’humanité. On peut remarquer la force de ce singulier. Il aurait

troisième personne du pluriel « ils »l.1, « leur »l.4, et par une périphrase « ces séparés »l.8. Toutefois au fil et à mesure de l’extrait, Bernard Rieux s’implique et implique le lecteur lui-même de plus en plus dans cette masse d’individus à l’aide du pronom indéfini « on »l.9-11-18-19… puis par l’emploi de la première personne du pluriel « « nous » « notre […] nos»l. L’auteur a utilisé cette gradation de l’implication du lecteur et du narrateur afin de mettre en avant le fait que la peste et donc les

---- Dans la toute première strophe, Hugo marque l'opposition entre le passé et le présent par les temps: présent/imparfait, par un bref constat pour le présent et, au contraire, une description précise du passé et par la dénomination du lieu. Le pronom «là» (v,1) s'oppose à Chio qui est valorisé par l'anaphore. De ce fait, Hugo déploie son admiration pour le Chio original et sa colère envers la destruction de Cio. Le massacre en lui même est que très brièvement décrit, en effet, il est seulement

enthousiasme, écrivant que sur la mer "la plus belle des aventures […] est la rencontre de deux vaisseaux". Ainsi, après avoir longuement montré la nudité des lieux, il connaît la joie éprouvée à voir de nouveau une construction humaine. L'emploi du pronom personnel "on" montre que chacun des hommes présents sur le bateau prend part à l'action, à l'émotion. On remarque une progression dans les gestes de chacun: "on se découvre [d'abord] mutuellement[…], on se dirige les uns vers les autres". Puis "les