Prose

politiques, le 19e siècle voit naître le romantisme animé par de jeunes aristocrates mélancoliques et incertains de l’avenir. Le 19e siècle va bouleverser la littérature comme au théâtre avec le drame romantique ou en poésie avec le poème en prose. Le poème en prose est un genre qui coïncide avec la modernité poétique ; l’oximaure témoigne de cette volonté de dépasser, d’unifier les contraites. C’est un jeune homme alors inconnu qui va repenser la poésie. Aloysius Bertrand, honteux de sa pauvreté se

Une deuxième opposition, celle des couleurs renforce la précédente : la « blancheur » et la lumière qui égayent le « château frappé par le soleil » contrastent avec la face « fuligineu[se] » (l. 16-17). - rythme ternaire qui donne au poème en prose une certaine musicalité. - axe d’opposition : les joujoux. Joujou enfant riche est qualifié de « splendide » (l. 10) ; un vêtement éclatant « d’une robe pourpre », et la coquetterie tourne à la sophistication « de plumets et de verroteries » la

À partir du XIXe siècle, la poésie ne se définit plus par la forme versifiée. L'invention du poème en prose par Aloysius Bertrand aboutit en effet à une redéfinition de la poésie, qui dépasse cettecontrainte formelle. Après lui et dans le même siècle, Baudelaire, mais aussi Rimbaud (dans ses Illuminations qui comportent des poèmes aussi variés que « Les Ponts » et «.Aube »), optent pour la prose; au xxa siècle, Henri Michaux dans « La Jetée», extrait de Mes propriétés, L'espace du dedans, et Francis

durant ses divers voyages.Il sera tres prolixe pendant ses années d’adolescense. Il mourra en 1891 a Marseille. Problematique : Qu’est ce qui fait la modernité de ce poeme ? Hypotheses de lecture : 1) La forme du poème : C’est un poème en prose, il est encadré par deux octosyllabes. Cette modernité reside aussi dans le langage utilisé, le monde qu’il décrit est un monde de sensations, mysterieux. La réalité n’a plus d’importance, seules les sensations importent. 2) L’érotisme avec la

La question transversale Ce corpus est composé de deux textes, Les fleurs du Mal (1861) et Le spleen de Paris (1869). L’un est en vers et l’autre en prose, tous deux écrits par Charles Baudelaire. On peut se demander : « Quel est le thème commun de ces deux textes et comment expliquer les différences ? ». Tout d’abord

Depuis son enfance Charles Baudelaire ressent une douleur du fait de ne pas avoir connu son père mais aussi du fait que sa mère se soit remariée. Houssaye Arsène : Houssaye Arsène est né en 1814 et mort en 1896. C'est un grand auteur de poème en prose dont il défend les mêmes thèmes que Baudelaire, c'est d'ailleurs en 1884 qu’Arsène est nommé président de la société des gens de lettre et par la même occasion directeur de nombreuses revues littéraires connaît la médiocrité du «littérateur», en effet

livre plein de trésors. Persienne majuscule, seul mot Pipe qui parle Verre calligramme, 2 premiers vers Pouvoir de ces objets 2) On peut voir parmi ces différents textes des formes poétiques très variées. En effet, on trouve ici un poème en prose, « La Valise », un sonnet classique, « la Pipe », ainsi que « Le Verre » et « Persiennes » qui est un poème assez atypique et qui ressemble légèrement a un calligramme. 3) Dans chacun de ces poèmes, un jeu sur les mots est à travers les rythmes

Jacques Napoléon Bertrand, dit Aloysius Bertrand, (Ceva, Piémont, 1807–Paris, 1841), est poète, dramaturge et journaliste français. , Considéré comme l'inventeur du poème en prose, il est l'auteur d'une œuvre unique et posthume passée à la postérité, Fantaisies à la manière de Rembrandt et de.Callot qui est un recueil de poèmes en prose, mais plus particulièrement, Gaspard de la nuit (1842). Bertrand s'est inspiré de ses contemporains comme Théophile Gautier, ou Victor Hugo. Toutefois, il permet l'enrichissement

Iceberg est un poème en prose composé de 4 versets. Nous pouvons voir quelques particularités, par exemple, les trois derniers paragraphes ont la même structure : il n’y a que deux phrases. Les premières phrases sont toujours non verbales et les deuxièmes sont toujours verbales. Nous retrouvons différentes figures de style que nous énoncerons dans l’analyse des paragraphes mais nous pouvons déjà en citer deux qui se retrouvent dans tout le poème. L’anaphore, en effet, le mot « Iceberg » est toujours

Nous verrons que le prologue d’Une Saison en enfer est l’occasion de renier le paradis pour réclamer la damnation, damnation qui se fera par le recueil. I. UN IDEAL PERDU ET CONGEDIE Le recueil Une Saison en enfer débute donc par ce poème en prose qui annonce et marque une rupture avec une forme d’harmonie lointaine et récusée, il est l’occasion de congédier la muse et la beauté pour mieux rompre avec le passé et par-là même invoquer des puissances négatives et se complaire dans le chaos crée