Prosopopée

ce dernier va s'atteler à démontrer que fuir pour éviter de laisser commettre une injustice est en soi une injustice. Socrate a recours à la prosopopée. Il met en scène les lois, qu'il fait parler : il fait des lois une entité vivante, et la démonstration s'en trouve dramatisée, ce qui lui donne sans doute plus de pertinence. Ces effets de la prosopopée prennent toute leur importance dans le discours qu'elles tiennent. En effet, Socrate compare d'abord les lois à des parents, auxquels les enfants

jusqu'à l'absurde : " Doutera-t-il s'il doute ?" les deuxièmes concernent la certitude absolue, dans le même but que la précédente, mais sur un ton plus ironique, pour humilier la prétention des dogmatistes. Le recours à la prosopopée : Après avoir bien inquiété l'homme sur sa situation, qu'il qualifie d'"embrouillement", Pascal lui propose un moyen de connaître sa vraie nature et pour cela il fait appel à Dieu, "la vérité incréée et incarnée" (= en Jésus-Christ)",le

ils viennent et les calamités comme elles sont. Aimer la littérature, ce n’est pas seulement vouloir comprendre les hommes, mais aussi les transformer et se transformer. » Texte 1 : Jean-Jacques Rousseau, Discours sur les sciences et les arts « Prosopopée de Fabricius », 1750. Socrate avait commencé dans Athènes, le vieux Caton continua dans Rome de se déchaîner contre ces Grecs artificieux et subtils qui séduisaient la vertu et amollissaient le courage de ses concitoyens. Mais les sciences, les

champs lexicaux de la mort et de la douleur : «qui se meurt », « poison », « martyr », « affligé »et « une prière à la vierge », à « Jésus. » Il y a aussi une idéalisation de l’amour, et la reine s’adresse à l’absent (début de la scène) avec une prosopopée (idéalisation, projection des sentiments). L’amant apparaît comme un héros (sang, …). De plus, il y a un contraste entre ce qu’il fait (risquer sa vie) et son objectif (donner une fleur). La lettre est très poétique avec des anaphores, ce qui

sénat, les autres devant le peuple. La première le fut en présence de Catilina. Elle est fameuse par son exorde directe: "Quousque tandem abutere Catilina patientia nostra ? " Jusques à quand, Catilina, abuseras-tu de notre patience " et par sa prosopopée de la Patrie à Catilina. Avec les Philippiques, ce sont les discours politiques les plus célèbres de Cicéron. En janvier -62, Catilina et ses compagnons sont interceptés et défaits par des troupes romaines à Pistorium, et Catilina y trouve la mort

40). Puis maintenant nous allons analyser le point de vue de l’auteur dans sa fable ainsi que les différents procédés qu’il utilise pour rendre sa fable vivante et plaisante à lire. Pour commencer, l’auteur utilise la figure de style de la prosopopée qui consiste à faire parler des animaux (ressemblance avec la personnification) et dans cette fable exprimer les sentiments des animaux et les permettre de débattre au sujet de la liberté. Nous pouvons aussi remarquer que l’auteur prend position

Lecture linéaire n°13 : Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves, 1678.Introduction :A peine mariée avec le prince de Clèves, l’héroïne rencontre le duc de Nemours et les deux jeunes gens se découvrent une passion réciproque. Partagée entre son devoir et ses sentiments, craignant de succomber à son inclination, la princesse de Clèves finit par avouer à son mari que son cœur bat pour un autre. Soupçonnant son épouse d’infidélité, le prince ne survivra pas à son chagrin : la princesse et le duc porteront

euphémisme, gradation, hémistiche, hiatus, hyperbole, interrogation, rhétorique, ironie, lapsus, litote, métaphore, métonymie, mythe, néologisme, onomatopée, oxymoron, paradoxe, paraphrase, parodie, pastiche, périphrase, personnification, pléonasme, prosopopée, question rhétorique, redondance, satire, solécisme, symbole, syllogisme, synecdoque, tautologie, zeugma Pour aller (beaucoup!) plus loin : http://www.unige.ch/lettres/framo/enseignements/methodes/frhetorique/, Cours sur les figures de rhétorique

> ARGUMENTS RATIONNELS : CONVAINCRE Ballade merveilleuse, surnaturelle voire fantastique et effrayante. Un discours d’outre-tombe. La parole est donnée à des pendus fictifs qui revendiquent le lien qui les unit à tous les humains. Par la prosopopée, et le présent les morts semblent plus vivants que les vivants eux-mêmes. Leur apparition (v1) est rendue quasi tangible par la vivacité de l'apostrophe initiale: «Frères humains» et par la force de l’hiatus. L’aspect surnaturel du texte est conforté

morale de ce texte. I – Le rapprochement de plusieurs mondes 1- La situation d'énonciation- Emploi du pronom « nous » pour évoquer l'énonciateur : « nous » désigne les pendus (1-12;15-17) ou leurs os (8), l'énonciation prend alors la forme d'une prosopopée. « nous » désigne je + d'autres. Le fait que « je » ne soit pas mis ici en exergue fait de ce poème un lyrisme particulier, pourtant le titre du poème « épitaphe Villon » nous amène à identifier le poème comme le dernier discours d'un des pendus