Prostatite

plusieurs germes ; quantité > 105/ml * Cystite ou infection urinaire basse à Escherichia coli, Proteus, Staphylococcus saprophyticus… * Pyélonéphrite aiguë avec le même type de germe que dans la cystite * Chez l'homme : Cystite souvent + prostatite aiguë /chronique ; épididymite aiguë (Gonocoque, Chlamydia) * Chez l'enfant jeune, si les infections urinaires sont récidivantes, rechercher une éventuelle malformation ou un reflux urinaire Coproculture = Examen bactériologique des selles

39 Manganèse-cobalt : une ampoule ou une dose à 19 heures chaque jour Soufre: une ampoule à 18 heures chaque jour Zinc-nickel-cobalt: une ampoule à midi chaque jour Chaque jour. En prise perlinguale. Garder 2 minutes dans la salive et avaler. Prostatite aiguë Cuivre-or-argent: Une ampoule ou une dose à jeun chaque jour Manganèse: une ampoule à midi lundi mercredi vendredi Cuivre: une ampoule à midi mardi jeudi samedi Soufre: une ampoule à 19 heures chaque jour LITHOTHERAPIE Adulaire D8 : Une ampoule

cette technique a été diffusée. Dans l’espèce canine, c’est une raison primordiale pour son utilisation. Cependant, il est des situations ou l’IA ne protège pas la femelle, si c’est par exemple le mâle qui souffre d’une infection génitale ou d’une prostatite bactérienne, la semence utilisée pour l’insémination artificielle risque d’être contaminée. Mais ce n’est pas vrai pour toutes les maladies, et par exemple, on pense que l’herpes virose canine ne se transmet pas directement via la semence, mais

l’aponévrose plantaire - tendinites - sacro-ilite aigüe et arthrite interapophysaire 3. Lésions urogénitales - provoquées par l’infection déclenchante ou par le processus réactionnel secondaire ( là en premier lieu ) - Chez homme ( uréthrite et prostatite - chez femmes ( cervicite salpingite 4. Signes oculaires - conjonctivite : atteinte d’un œil et ça continue par l’autre, l’œil pleure et colle le matin. - uvéite antérieure 5. Lésions mucocutanées et phanères (annexes de la peau) - ulcères

En usage interne le Myrte est utilisé pour lutter contre les bronchites et dilatations bronchiques, les  catarrhes muco­purulentes des voies respiratoire et urinaire, la tuberculose pulmonaire, la rhinorrhée,  la sinusite, les otites, les diarrhées, les prostatites, les pertes blanches et les hémorroïdes.  Pour tout cela vous pouvez le prendre sous la forme d'une infusion constituée d'une cuillerée à café de  feuilles pour une tasse d'eau bouillante que vous laisserez infuser 15 min. Cette infusion est à prendre 

urétrale SEP, méningite, poliomyélite, zona Prise médicamenteuse (atropiniques, neuroleptiques) 5) Tumeur rectale, fécalome 1) 2) 3) 4) CHEZ LA FEMME 1) 2) 3) CHEZ L'ENFANT 1) 2) 3) 4) 5) Adénome de prostate Cancer de la prostate (PSA ) Prostatite aiguë (fièvre) Maladie du col vésical Rétrécissement urétral (iatrogène, infectieux, traumatique) Fibrome enclavé Cancers pelviens Sténose du méat urétral Infection urinaire Valve de l'urètre postérieur (♂) Phimosis infecté (♂) Hématocolpos

cardio-vasculaires ou hémo-dynamiques. ANAES/Service évaluation en établissements de santé/décembre 1999 - 11 - Qualité de la pose et de la surveillance des sondes urinaires II.3. Contre-indications Les plus habituelles concernent le patient ayant : - une prostatite aiguë car risque de choc septique ; - une rétention chronique avec distension du haut appareil en raison du risque de pyélonéphrite iatrogène, ou en cas de suspicion de rupture traumatique de l’urètre (fracture du bassin), sauf avis de l’urologue

congénitales. Quand le patient a un sphincter artificiel, l'avis du chirurgien qui a implanté la prothèse est nécessaire pour la pratique de l'autosondage. Enfin, une infection aiguë de l'appareil uro-génital masculin (urétrite, orchite, épididymite, prostatite) est une contre indication temporaire. VI TECHNIQUE DE L'AUTOSONDAGE Les principes en sont la réalisation par le patient lui-même d'un sondage vésical transurétral, habituellement à un rythme de 6 à 7 par jour (toutes les quatres heures), avec

Urétrites Urétrite gonococcique Agent Neisseria gonorrhoeae - Incubation : 2 à 5j - Ecoulement purulent et abondant Clinique - Localisation : urètre,épididyme, conjonctives, pharynx, rectum, - infection disséminée. - Complications :Epididymite, prostatite, rétrécissement Urétrite non gonococcique Chlamydia trachomatis - Incubation : 7 à 21 jours - Ecoulement peu abondant +/transparent - Localisation : urètre, épididyme, conjonctives, infection disséminée - Complications : épididymite, syndrome de

ou moins épaissie, et précise l’état testiculaire. Il faut rechercher systématiquement une balanite, un écoulement urétral, une prostatite par le toucher rectal. ÉTIOLOGIES ■ Chez le sujet jeune Il existe en général un contexte de maladie sexuellement transmissible (MST) : – un écoulement urétral est fréquent, signant une urétrite (mais non constant) ; – une prostatite aiguë peut coexister, de même qu’une balanite. L’examen capital est ici le prélèvement urétral à la recherche de : – Chlamydia