Protéine membranaire

transformations chimiques des aliments nécessitent trois réactions: les protides ou protéines (polypeptides) sont fragmentés en acides aminés. les lipides ou graisses (glycérol + acide gras) sont émulsionnés et convertis en acides gras. les glucides ou sucres (polysaccharides) sont transformés en sucres simples assimilables comme le glucose ( monosaccharides). Les sucs digestifs et leurs enzymes. Une enzyme est une protéine capable de déclencher une réaction chimique sans modifier les produits finaux

couche S. On va regarder les structures, parois flagelles et pilis. Paroi à Gram + : À l’extérieur de la membrane plasmique. C’est une membrane semiperméable qui permet certaines substances de traverser il y a de protéines associées avec la membrane plasmique, qu’on appelle protéine de transports. Il y a une petite espace et ensuite une couche assez épaisses de polysaccharides, liées à des lipides, qu’on appelle le peptidoglycane. Celui-ci va se lier à la membrane via les acides lipoteichoiques

de méthylation ou d’acétylation des histones et, en ce qui concerne directement l’ADN, la méthylation au niveau des bases cytosine, elles-mêmes au sein d’îlots riches en CpG. Des souris knock out chez qui était inactivés les gènes codant pour les protéines impliquées dans la méthylation mouraient au cours de l’embryogenèse, démontrant l’importance de ces méthyltransférases dans le développement des organismes. La plus belle réussite de la biologie moderne est la découverte des fondements génétiques

nombre de cellules immunitaire constant. Par ailleurs l’apoptose permet également l’élimination des cellules tumorales ou infectées par le système immunitaire. Cette mort peut être induite suivant l’une des deux voies : intrinsèque (via les protéines de la famille de Bcl2) ou extrinsèque : la voie des récepteurs de mort. Notre étude repose principalement sur le rôle joué par un des protagonistes de la voie des récepteurs de mort, Fas-FasL, dans la réponse immunitaire. Le ligand de Fas (FasL)

du virus se compose de sept gènes qui codent pour la nucléoprotéine, la glycoprotéine, la protéine 24 (VP) de virion, le VP30, le VP35, le VP40 et la Polymérase ARN ARN-dépendante. Excepté le gène de glycoprotéine, tous les gènes mentionnés ci-dessus sont monocistroniques, ainsi il signifie qu'ils encodent pour seulement une protéine de structure. La Production d'une glycoprotéine soluble (c.-à-d. protéine qui contient les résidus en covalence joints de sucre) est une distinction importante de Virus

d’activation de zymogènes ; associé à l’existence d’un peptide inhibiteur de trypsine ; forme un mécanisme adapté empêchant la production d’enzymes actives dans la glande pancréatique. 1- Les protéases : a- La trypsine : est la plus abondante (20% des protéines pancréatiques) ; activée à partir du trypsinogène par une entérokinase (libérée par sels biliaires) et détermine l’activation des autres zymogènes pancréatiques. Il s’agit d’une peptidase (agit au milieu des chaînes peptidiques) qui possède le site

leur organisme : c'est une maladie auto-immune. b. Le diabète de type II Les malades produisent normalement de l'insuline mais le glucose n'est pas stocké par les cellules de réserve. Normalement, les cellules produisent des transporteurs membranaires au glucose qu'elles stockent dans le hyaloplasme ; l'insuline vient s'y fixer ce qui entraîne le déplacement des transporteurs au glucose vers la membrane et donc l'entrée de glucose. Dans le cas du diabète II, les cellules ne synthétisent plus

un noyau 1. La cellule procaryote: - On a un ADN ( chromosomes ) «flottant» dans l’intérieur de la cellule ( voir shéma ). - On a une membrane cellulaire et parfois une parois ( par dessus membrane cellulaire )constituée de PEPTIDOGLYCANE ( protéine + sucre ). - Une capsule: parfois, pour se protéger. - Un certain nombre d’organites: ribosomes, plasmide ( ADN ). Le cytoplasme: liquide a l’intérieur de la cellule. Un flagelle: pour que la cellule puisse se déplacer dans notre organisme (

Chapitre 4 : LA PHASE PHOTOCHIMIQUE DE LA PHOTOSYNTHESE - 4 systèmes mis en jeu : 2 complexes de très grandes tailles composés de protéines et pigments : PS I et PS II (photosystèmes) complexe intermédiaire : complexe b6f ATP synthase I. Energie apportée par les photons - relation d'Einstein : 1 quantum d'énergie hv = hc/λ h = constante de Planck = 6.626.10-34 J.sec v = fréquence en Hz de la lumière c = célérité de la lumière (2.9979.108 m/sec) λ = longueur d'onde en mètre

phase S (au cours de laquelle on a la réplication de l’ADN). Puis, phase G2, préparatrice de la mitose. Phase G1 et G2 : La cellule s’adapte aux requis. • Croissance de la cellule • Synthèse de protéines à peu près continue au cours du cycle (sauf en M) • Certaines protéines ne sont produites qu’à des stades précis du cycle • Durée des phases assez variable (surtout G1) ; G1 est la phase au cours de la quelle se décide si une cellule se divise ou pas. • En G1, si pas de