Protocole

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l'expiration en 2012 de la première période d'engagement du Protocole de Kyoto. Déjà le Protocole de Kyoto est critiqué dans son application comme en témoignent les propos de Rajendra Pachauri, Président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) : "Le monde développé n'a vraiment rien fait. Le Protocole de Kyoto est reconnu plutôt par sa violation que par l'adhésion aux limites qui ont été fixées." Pourtant, même le Protocole de Kyoto, bien léger en terme d'engagement face aux

climatique amène l'ensemble des économies du monde à prendre en compte leurs émissions de gaz à effet de serre et à rechercher au maximum une « croissance propre ». La communauté internationale envisage la mise en place de contraintes collectives, comme le protocole de Kyoto. (voir document 1) Certaines études montrent les conséquences de la croissance économique mesurée par le produit intérieur brut sur l'évolution du capital naturel. Croissance et développement La croissance est source de développement

d'Arpanet, c'est qu'il permettait à des ordinateurs de toutes marques de communiquer ensembles et d'avoir accès aux mêmes données Fondateurs: Robert E. Kahn est un ingénieur américain au DARPA et co-inventeur avec Vinton Cerf du protocole TCP/IP. ils ont élaboré le premier protocole de communication par paquets pour répondre à la nécessité de connecter rapidement des ordinateurs différents en cas de guerre. Ils expérimentent donc leur technologie sur quatre sites et créent ainsi le prototype du réseau

en 1992 qui ouvre les négociations entre États destinés à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il faudra attendre 1998 pour que soit ratifié à Kyoto un protocole fixant un objectif quantitatif de réduction des émissions de gaz à effet de serre. L'objectif global sur lequel se sont engagés les 156 pays ayant ratifié le protocole est d'une réduction des émissions de 5,2 % en 2008-2012 (document 4). Cet engagement collectif est assorti d'objectifs individuels par pays en fonction de la croissance

Conférences, sommets a) Sommet de Rio (1992) et Protocole de Kyoto ( 1997) (Alternatives éco.) En 1992, lors du sommet de Rio, une convention cadre sur les changements climatiques était adoptée par 166 pays dont 41 pays développés, lors de laquelle ils se sont engagés à réduire leurs émissions. Le 11 décembre 1997, ce texte était complété par le protocole de Kyoto, qui quantifiait l'engagement de principe pris en 1992. Dans le cadre de ce protocole, 38 pays développés s'engageait à réduire sur la

est partiellement du aux gaz à effet de serre, dont le CO2 fait partie. Des lois et accords ont donc été mis en place afin d’imposer des réglementations et des objectifs sur la baisse d'émission de CO2. En fait partie, entre autres, le protocole de Kyoto. Ce protocole vise à lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de gaz carbonique. Il a été approuvé par 156 pays sur 192 au total. Les Etats-Unis ne figurent pas parmi les 156 l’ayant ratifié, bien qu’à eux seuls ils émettent

découvert que l'ozone stratosphérique avait diminué de moitié au dessus de l'Antarctique au début du printemps austral soit le début de l'automne. Les causes de cette destruction ont été rapidement identifiées et dès 1987 le protocole de Montréal, était mis en place, protocole qui dés à présent conduit à un début de restauration de la couche d'ozone. X L'ozone peut être détruit par plusieurs mécanismes: - La photolyse: les rayons UV sont absorbés par la molécule d'ozone produise la réaction inverse

De Kyoto à Copenhague Soumis par Mathieu Doray le mar, 22/12/2009 - 17:31 * copenhague 2009 * climat * alternatives Un rappel des objectifs et mécanismes du protocole de Kyoto et un bilan du sommet de Copenhague, par le collectif nantais Urgence Climatique, Justice Sociale. Acte 1 : Kyoto (1997) * Le protocole onusien de Kyoto, signé en pleine période de capitalisme financier triomphant, a confié l'avenir climatique de notre planète à la mythique main invisible du marché * Des

favorables au développement durable Le premier Sommet de la Terre qui s’est tenu à Rio en 1992, à l’initiative de l’ONU, marque un tournant. Au niveau international, une véritable prise de conscience a eu lieu sur la nécessité d’intervenir : le protocole de Kyoto en est un exemple. Les pays développés, exception notable des Etats-Unis, s’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. L’idée est d’internaliser les effets externes, en adoptant le principe du pollueur payeur. L’autre solution