Proudhon 1861

Conclusion sur la deuxième république : Pourquoi fut-elle renversée ? Réponse classique : les masses populaires qui étaient peu éduquées politiquement ont été manipulées par Louis NB. C'est une interprétation moderne car les auteurs de l'époque (Proudhon) qui expliquent le succès de Louis NB en disant qu'il était proche du peuple, apparaissait sincère dans son désir de réforme, et Marx dira la même chose. Il dira le peuple, le paysan, l'ouvrier, ne se reconnaissaient pas dans le bourgeois républicain

pas de décision. 26 mai: Émile Thomas, directeur des Ateliers nationaux, est exilé à Bordeaux 4 juin: élections complémentaires à la Constituante. Succès des la droite monarchiçste et de la gauche républicaine: Thiers, Louis-Napoléon Bonaparte, Proudhon, Pierre Leroux sont élus. 15 juin: Les révoltés d'Ajain étaient des paysans creusois qui se sont révoltés contre l'impôt des 45 centimes et ont marché sur Guéret. 16 d'entre eux furent tués par la garde nationale de Guéret. 21 juin : Décret de

1835 à 1848, temps fort en France du combat pour la mise en place des grands idéaux issus de la Révolution française. Les auteurs peuvent être considérées comme des auteurs engagés car ils participent à ce combat ; Grandville célèbre caricaturiste, Proudhon, Victor Considérant, ainsi que Lamartine sont tous des opposants à la monarchie de Juillet et à ce titre peuvent manquer de d’impartialité. 2. Les grands principes issus de la Révolution française sont : la souveraineté de la nation, les droits de

« enrichissez-vous ! » La loi Guizot de 1833 oblige chaque commune à entretenir une école élémentaire. Cependant la révolution industrielle crée une nouvelle classe sociale, celle des ouvriers en proie à la misère. Les théories socialistes de Louis Blanc et de Proudhon cherchent à remédier aux injustices sociales dont le prolétariat est la victime. La monarchie de juillet est aussi marquée par un nouvel essor de la colonisation française. L'incident diplomatique du coup d’éventail donné par le dey d’Alger

du droit strictement encadré par le pouvoir exécutif se limite à des cours de code napoléon. Certains professeur se limite à la simple paraphrase du code comme le professeur Demolombe qui affirment «  les textes avant tout ou les professeurs comme Proudhon (prof à Dijon) «  ces dans le code civil qu’il faut étudier le code civil ». Désormais la coutume, la JP, le droit romain naturel ont une importance très secondaire : l’étude minutieuse du code doit à elle seul permettre de comprendre le sens

représentante de la commune. Laboulaye est en opposition jusqu'en 1870. Il constate que l'ultime réforme du Second Empire consacre ses idées libérales et invite les français à voter en faveur du plébiscite. Le libéralisme est victime de ce ralliement. En 1861, Odilon Barrot publie un ouvrage dans lequel il appelle à la décentralisation et à la liberté communale. Il est séduit pas les idées libérales et cite Tocqueville à de nombreuses reprises. C'est ce libéralisme qui poussera le Second Empire à s'amender

c'est développé en France à partir du moment ou la révolution de 1789 à fait du droit un instrument déterminant de la transformation de la société. 2 grands auteur en sont les fer de lance: L’allemand Jellinek 1851 1911 et le français Carré de Malberg 1861 1937. Pour Carré de Malberg la souveraineté de l’État n'est pas une pure force brutale. Elle est le produit d'un équilibre des forces dont résulte une organisation durable de la collectivité. L’État est une puissance organisé et contenu dans les

l'influence bénéfique dans la France colonisatrice. Le socialiste utopiste Charles Fourier, Théorie de l'unité universelle 1841, dénonce le commerce colonial mais envisage que l'Europe se partage les territoires du sultan ottoman. Proudhon, La guerre et la paix 1861, considère comme inéluctable, l'émancipation des colonies, évoquant le jour où ces peuples retrouveront leur indépendance et la jouissance de leurs richesses. Il juge la colonisation de l'Algérie comme un échec ; la France a dépensé

crises dites classiques un certain nombre d’économistes vont intégrer ces crises dans des fluctuations de type cyclique. 1. La réponse des économistes classiques. Tout les économistes de la période classique (1776 (richesse des nations) -1861(Marx publie un ouvrage)). On va s’intéresser principalement à 4 types de réponses : tout d’abord certain économiste pensent que sous certaines conditions, le capitalisme industriel ne devrait pas connaitre de crises, si il connait des crises cela est

gloire aux lumières, à la recherche de la connaissance, de la liberté et de la tolérance, le 19è siècle est celui des idéals humanistes de solidarité et de justice sociale. Les penseurs et militants socialistes de l'époque (Saint-Simon, Owen, Fourier, Proudhon, Marx, Blanqui, Bakounine) occupent la place des philosophes du 18è siècle et révolutionnaires qu'ils ont inspirés (Voltaire, Rousseau, Diderot, Hume, Montesquieu, Washington, Paine, Mirabeau, Danton, Robespierre, Saint-Just). La suppression du travail