Province d'Entre Ríos

La guerre de la Plata, connue aussi sous le nom de guerre contre Oribe et Rosas, a opposé, entre le 18 août 1851 et le 3 février 1852, la Confédération argentine à une coalition composée de l'Empire du Brésil, de l'Uruguay et de deux provinces argentines : Entre Ríos et Corrientes. Cette guerre est liée à une rivalité de longue date opposant l'Argentine et le Brésil à propos de leur influence respective sur l'Uruguay et le Paraguay, et le contrôle des régions limitrophes du Río de la Plata. Le conflit

L'Italie a eu un impact très important sur la culture de l'Argentine, sur sa langue, ses traditions et sur le mode de vie en général. La religion nationale est le catholicisme mais, si 92% des Argentins se déclarent catholiques, une faible partie d'entre-eux sont pratiquants. L'Argentine fait partie des pays dits du cône sud et parmi les pays d'Amérique latine, il est celui où la culture européenne est la plus affirmée. L'Argentine ayant été le pays le plus développé du continent sud-américain jusqu'aux

habitants[2] et à 12 925 000 habitants[3] pour son agglomération urbaine, le Grand Buenos Aires. Les habitants sont les « porteños », littéralement « les habitants du port », à ne pas confondre par les « buenos-airiens » (bonaerenses), habitants de la province de Buenos Aires dont ne fait pas partie la capitale fédérale. Ils sont pour la plupart d’origine espagnole ou italienne et la religion prépondérante est le catholicisme. Buenos Aires est situé sur la rive Ouest du fleuve Río de la Plata au niveau

et a acquis son indépendance grâce à San Martín, son héros national, après des combats sans merci contre les loyalistes espagnols. L’État argentin a été enfanté dans la douleur au prix de luttes impitoyables et de rivalités incessantes entre des provinces et une capitale hégémonique, entre militaires, estancieros et dictateurs avides de pouvoir. L’Argentine a vécu au rythme des coups d’État, des assassinats ; elle s’est forgée de manière hésitante et chaotique. Son peuple fier, tenace et combatif

Sacchi, Laura Tione et Romina Arolfo de la Facultad de Ciencias Exactas, Físico-Químicas y Naturales de la Universidad Nacional de Rio Cuarto et Germán Toyé, Agustina Giorda, Juan José Retamar et Lucas Montenegro de la Universidad Nacional de Entre Ríos pour toutes les discussions qui m’ont permis de mieux comprendre la politique, l’écologie et la culture argentine. iii Table des matières Introduction ......................................................................................

exportés sur les marchés mondiaux. L'industrie se concentre fortement le long du littoral fluvial, dans la région de Buenos Aires. Sa population dépassait 36 millions d'habitants au dernier recensement (2001), dont plus d'un tiers dans la seule province de Buenos Aires. Elle est en grande majorité issue des vagues d'immigration européenne de la fin du xixe et du début du xxe siècle, principalement espagnole et italienne. Même si les Indiens sont pratiquement absents du pays depuis la brutale conquête

Indépendance et dictature de Rosas o 2.4 Dictatures du XXe siècle o 2.5 Guerre des Malouines et transition démocratique o 2.6 Crise de 2001 o 2.7 Gouvernement Kirchner • 3 Politique o 3.1 Répartition des pouvoirs o 3.2 Relations internationales • 4 Provinces • 5 Environnement • 6 Économie • 7 Démographie • 8 Rangs internationaux • 9 Communications • 10 Transports • 11 Culture o 11.1 Langue o 11.2 Religion o 11.3 Traditions culinaires o 11.4 Symboles nationaux o 11.5 Les ordres et décorations

(Colombie) . Dimanche 15 FÉVRIER. Novillada de feria. Beau temps. 1/3 entrée. Toros d’Achury Viejo, sérieux de présentation, encastés et difficiles, pour Andrés de los RIOS (ovation avec grave blessure) Juan Pablo PÉREZ (un avis avec silence, ovation et silence) Hector José VERGARA (une oreille et une oreille). Andrés de los Rios fut blessé en tuant le premier, “Alpechinero”, recevant un coup de corne à l’aine gauche de 15 cm d’extension, sous-cutané et n’intéressant pas de vaisseaux sanguins importants

°°Niceto Alcalá Zamora °°Alejandro Lerroux °°Manuel Azaña Les deux premiers gouvernements bénéficient de la participation du PSOE, représenté par trois ministres : Indalecio Prieto (Finances), Francisco Largo Caballero (Travail), Fernando de los Rios (es) (Justice) ; ils mènent une politique de réformes sociales, notamment par une loi de réforme agraire, appliquée cependant de façon assez modérée ; le gouvernement Azaña y ajoute une politique de laïcisation et établit un statut d'autonomie pour

les unes des autres par de vastes étendues pratiquement désertes. DECOUPAGE ADMINISTRATIF ET VILLES PRINCIPALES Administrativement, le Chili est découpé en 13 régions — y compris la métropole de Santiago — à leur tour divisées en 40 provinces. Les provinces sont à leur tour divisées en municipalités.Outre Santiago, la capitale (4 385 000 habitants), les autres grandes villes sont notamment Concepción, centre agricole et industriel du sud du pays, qui forme, avec les villes voisines de Taccahuano