Province de Chapare

contre le coup bas de ce maudit gouvernement affameur.» Les manifestations ont également été importantes à Cochabamba. Les leaders indiens Aymaras de Achacachi ont commencé une marche vers La Paz, la capitale. Les producteurs de feuille de coca du Chapare, l'un des fiefs les plus importants de Morales, se sont, eux aussi, mobilisés contre la suppression des subventions aux carburants. C'est la première fois qu'Evo Morales est confronté à un tel déferlement de mécontentements. Proche d'Hugo Chavez

tentativos fracasan y el gobierno boliviano solo consigue separar las tierras agrícolas en diferentes tipos: las zonas de “cultivo tradicional “y legales (las Yangas de La Paz), las zonas de “cultivo excedente “ , y las zonas de “cultivo ilícito “ ( Chapare, Cochahamba). Así algunos campesinos se han vuelto narcotraficantes. Es por eso que los productores de coca, los cocaleros, se agrupan para sobrevivir a los intentos de los EE.UU y crean sindicatos y llegan a ser uno de los mayores movimientos

autorisée dans le cadre d'un usage traditionnel. En Bolivie, premier producteur mondial de coca, la culture est autorisée sur un territoire limité : les Yungas (vallées tropicales à l'est de la Paz) bien qu'elle soit aussi largement plantée dans le Chapare où elle est illégale. En Colombie, en revanche, la production de coca est totalement interdite. Depuis les années 2000, la Colombie demande aux indigènes péruviens et boliviens de venir sur son territoire, afin d'acquérir les utilisations pharmaceutiques

dans la région du Chapare, où la culture de la feuille de coca offre un meilleur niveau de vie16. Les années 1980 marquent un boum dans la production de feuille de coca. Avec l’arrivée au pouvoir de Luis García Meza Tejada en 1980, une véritable narco-dictature se met en place. En effet à cette époque, dans un contexte économique médiocre provoquée par la succession de régimes militaires dictatoriaux, un exode rural massif des paysans de l’Altiplano vers la région de Chapare provoque une augmentation

En effet, notre cas d’étude en est un exemple. Défini et financé en partie par les institutions européenne et française, le projet PRADEM a la vocation de réduire les problèmes sociaux et d’établir en même temps un modèle de développement pour la province de Tomina en Bolivie. Le nouveau modèle devra donc modifier les éléments micro-économiques de la situation de départ. En effet, comme nous allons le voir par la suite, le projet de développement de Tomina résulte des réformes politico-économiques

né en 1959 d’une famille de paysans Aymara dans l’altiplano15 il n’a pas pu faire de longues études étant obligé de tout d’abord travailler dans les champs avant de poursuivre avec d’autres petits emplois. En 1982, il part avec sa famille dans le Chapare, au centre de la Bolivie à la limite entre Andes et Amazonie, ou il devient cocalero, petit producteur de feuille de coca, développe son goût pour la cause sociale et ses compétences syndicales à partir de 1983, date à laquelle il devient membre d’un

1990 1990 (Allemagne) . Œuvres : Le mur par Jürgen Böttcher 1990 (Belgique) . Œuvres : Anton Webern par Thierry Knauff 1990 (Canada) . Œuvres : Les chroniques de Sibenick d’Alsen Balicki, Madame Arthur par Lucie lambert 1990 (France) . Œuvres : Chapare, par Daniele Incalcaterra, Contacts de Raymond Depardon, Zapping zone par Chris Marker, Les enfants de Bogota par Milka Assaf, Les derniers marranes par Stan Neumann, November days par Marcel Ophuls, La ville Louvre par Nicolas Philibert , Soyinkka

avec la culture de la coca qui une fois transformée donne la cocaïne. Des régions un peu reculées, se sont lancées dans cette production illicite. C’est le cas au Pérou avec la vallée du Huallaga ou de la Madre de dios et la région du Chapare en Bolivie. Le Chapare en Bolivie : est la deuxième région de production du monde de coca avec 35 000 ha en 1995 (derrière la vallée du Huallaga). 200 000 colons sont arrivés entre 1980 et 1988 pour profiter du « boom de la coca ». Les nouveaux arrivants