Préface De Romances Sans Paroles

qu’il renouvelle en profondeur. Diderot et Beaumarchais considèrent que l’acteur doit faire passer des émotions les plus vraies possibles au public, et pour cela il doit recourir à une pantomime expressive : la pantomime désigne le jeu scénique sans parole. On trouve de nombreux passages de pantomime dans Le Mariage de Figaro, ce qui signale l’influence du drame bourgeois sur la dramaturgie de Beaumarchais. On parle alors de tableau dramatique, non plus seulement d’actes ou de scènes. Les tableaux sont

renouvelle en profondeur. Diderot et Beaumarchais considèrent que l’acteur doit faire passer des émotions les plus vraies possibles au public, et pour cela il doit recourir à une pantomime expressive : la pantomime désigne le jeu scénique sans parole. On trouve de nombreux passages de pantomime dans Le Mariage de Figaro, ce qui signale l’influence du drame bourgeois sur la dramaturgie de Beaumarchais. On parle alors de tableau dramatique, non plus seulement d’actes ou de scènes. Les tableaux

------------------------------- Avec aisance et clarté, la présentation éclaire la modernité poétique de Baudelaire. Le dossier contient : des microlectures (questionnaires organisés sous forme de plans) pour trois poèmes clés du recueil  ; les projets de préface de Baudelaire ; et un groupement de textes sur la représentation du poète au e XIX siècle. Édition d’Anne Princen. Texte intégral / Lycée général 9782081204676 3,60 € • 290 pages. BAZIN Voir ON N’EST PAS SÉRIEUX QUAND ON A QUINZE ANS, p. 50

s'enterrer dans le trou hors pistes battues d'où jaillira la découverte, le chercheur ingurgite sur les voies terrestres, aériennes ou maritimes qui l'y mènent, ces mille sensations dont on dit qu'elles forment la jeunesse. » {ibid. : Ц)35 Dans le récit romancé de sa première mission en Ethiopie, Griaule se présentait déjà comme un voyageur-ethnographe toujours en mouvement, ou comme un homme de terrain prêt à toutes les aventures, par opposition 33 Au moment où Griaule rejoint le noyau fondateur de ce Club

pastorales sentimentales (L'Astrée). Déjà le picaresque espagnol (Guzman de Alfarache, de Mateo Aleman, 1599) avait promu un gueux (picaro) à la tête du roman, mouvement bientôt relayé, en Angleterre, par les progrès du novel (Sterne, Fielding) face au romance. La remise en question du héros absolu sera aussi l'affaire des romantiques, dont le théâtre déstabilise les codes de l'héroïsme en se donnant pour héros des marginaux (Les Brigands de Schiller, Hernani; cf. Notre-Dame de Paris). Aussi le romantisme

sorte le conflit tragique qui opposera Camille à son frère lors du retour d’Horace. 2. Le texte est descriptif : il propose un portrait moral de Mme Mauperin. Ce personnage se caractérise par « un prodigieux orgueil bourgeois ». Le texte évoque ses paroles blessantes : « rabaisser ainsi, avec des expressions d’un mépris et d’un dégoût superbes ». Le discours descriptif a une intention critique, il vise à dénoncer l’orgueil et le mépris. Le texte offre aux lecteurs une peinture des caractères. Les frères

contes ont été ajoutés, modifiés, précisés, c’est uniquement Wilhelm qui s’en est chargé. Les frères Grimm ne sont pas les auteurs de ces contes. Dans l’édition de 1819-1822 en trois volumes, les frères Grimm disent dans l’introduction qui suit la préface du premier volume intitulée « Signification [du conte] comme tradition », que personne ne connaît les auteurs de ces contes qui apparaissent partout comme des traditions. Depuis des siècles, ces contes vivent, « en se modifiant extérieurement, certes

encore Mme de Staël avec De L’Allemagne (1810) qui contribue à mieux faire connaître le mouvement romantique allemand aux Français, ainsi que bien d’autres titres (l’Histoire des littératures du midi de l’Europe, Sismonde de Sismondi, 1812 ; les romances du Cid, Creuzé, 1814…). Mais malgré ces nouvelles influence, les grands écrivains sauvegardèrent les traditions, adaptant la forme classique à l’âme romantique ; on parle de romantisme « empire », auquel Chateaubriand, Mme de Staël, Senancour

allégorique permet d’actualiser un texte dont nous sommes éloignés par la culture ou le temps. Elle ne révèle pas l’intention originelle, mais le decorum, la convenance actuelle. A l’intention ancienne, elle substitue celle des lecteurs. Dans la préface de Gargantua, Rabelais se sert successivement des 2 alternatives d’un dilemme : - encourage le lecteur à lire son livre « à plus hault » sens (image de l’os à moelle) - s’en prend à ceux qui prétendent que les auteurs avaient mis csnt dans leurs

(car c'est à vous, et à nul autre, que sont dédiés mes écrits), Alcibiade, dans un dialogue de Platon intitulé Le Banquet , louant son précepteur Socrate, qui est sans discussion le prince des Philosophes, dit, entre autres paroles qu'il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis des petites boites comme nous en voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, peintes au-dessus de figures comiques et frivoles, comme des harpies, des satyres, des oisons bridés