Psa Gouvernance

20.10.2003 COM(2003) 615 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU CONSEIL, AU PARLEMENT EUROPÉEN ET AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPEEN GOUVERNANCE ET DÉVELOPPEMENT TABLE DE MATIERES 1. Introduction .................................................................................................................. 3 2. Dialogue sur la gouvernance : principales questions et principes de base................... 5 2.1. Réduction de la pauvreté ..............................................

ELEMENTS DE CORRIGE DU DEVELOPPEMENT STRUCTURE : « EXPLIQUEZ POURQUOI LA STRATEGIE EST LA CLEF DE LA PERENNITE DE L’ENTREPRISE » Accroche : 2 pts PSA, les difficultés des entreprises, la crise… Définition de la stratégie (cap à atteindre, LT…) Définition de la pérennité (rentabilité suffisante, part de marché, compétitivité….) Problématique : 2 pts Certes la stratégie est indispensable à la pérennité de l’entreprise, mais c’est surtout la pertinence des choix qui importe dans un environnement

et des habitats ainsi qu’a l’assainissement et aux  réserve en eaux   4    ­ Protection sanitaire et gestion des déchets avec  des mesures contre les nuisances sonore ou  lumineuse ainsi qu’a responsabiliser les  producteurs de déchets    ­ Définition d’une "nouvelle gouvernance écologique"  permettant d’engager la concertation en amont des  projets grâce, notamment à la rénovation des  enquêtes publiques et à l’intégration d’associations  d’éducation à l’environnement dans les instances  de consultation.    Elle s’applique au niveau nationale 

a) le Pacte de Stabilité pour l’Europe du Sud-Est b) les enjeux économiques c) la procédure d’attribution des marchés 3) Les instruments de cette politique : a) le Processus de Stabilisation et d’Association avec les Balkans (PSA) b) les institutions financières européennes : BERD et BEI c) l’Agence Européenne pour la Reconstruction (AER) : le cas du Kosovo 4) Les limites de cette politique et les critiques à son égard 5) Conclusion 6) Bibliographie

l’éclairage sur certains aspects particuliers tels que les modalités de rémunération et d’intéressement des dirigeants, et sur l’articulation entre les Conseils d’administration et les Assemblées Générales d’actionnaires. Cette problématique de la gouvernance d’entreprise a donné lieu à plusieurs rapports qui ont scandé sa très progressive mise en oeuvre, notamment, pour ce qui est de la France, avec les rapports Vienot I et II et le rapport Bouton pour les entreprises privées, et le rapport de la Serre

l’Etat mais aussi des populations en matière de gestion des risques et catastrophes auxquels elles ont été confrontées ces dernières années (naufrage du bateau « le Joola », inondations, invasions acridiennes, pluies hors saisons etc.). - Bonne gouvernance et développement décentralisé et participatif : ce quatrième axe prend en compte les évolutions notées depuis 2002, avec la mise en place du PNBG, le plan d’action CFAA /CPAR, entre autres. 3 TABLE DESMATIÈRES 1 INTRODUCTION ET CONTEXTE...

Septembre 2013 ESC3 - MASTER- MANAGER La notion de gouvernance économique mondiale est-elle pertinente, sinon plus que jamais nécessaire? Par Claude BONNET Ancien élève de l'ENA inspecteur général de l'Equipement professeur de Géostratégie et Economie PREMIERE PARTIE FOCUS sur quelques éléments d'actualité, sur certains repères historiques -évidemment indispensables- et l’apport d'un certain zoom arrière 1. Des outils, relais, ou enceintes de cette forme de « voix internationale » existent depuis

multinationales tentent de promouvoir leur action et d’améliorer leur réputation auprès de leurs publics et consommateurs en revendiquant, par la communication « corporate » ou « produit », les termes de transparence, de proximité, de bonne gouvernance, d’éthique et de responsabilité. Elles tentent ainsi de construire de véritables marques susceptibles d’être adoptées par les citoyensconsommateurs et d’acquérir leur confiance, voire leur amour1. Si au départ les marques donnaient un supplément

▪ être plus ouverte sur l’évolution mondiale, particulièrement celles des sciences et des technologies ; ▪ encourager et diversifier la coopération internationale selon les formes les plus appropriées ; ▪ asseoir les bases d’une bonne gouvernance fondée sur la participation et la concertation. La réforme LMD, articulée sur les trois niveaux de formation : Licence – Master – Doctorat, est venue pour répondre à ces objectifs. Il s'agit d'un processus qui se veut promoteur du développement

minier ayant aggravé les impacts ci-haut mentionnés. 3) Le secteur minier est un des principaux secteurs, susceptible de contribuer à court terme à la croissance économique du pays. L’étude sectorielle de la Banque mondiale intitulée « La bonne gouvernance dans le secteur minier comme facteur de croissance », publiée en 2008, a estimé que le secteur minier pourrait contribuer au PNB à hauteur de 5 milliards de USD (soit environ 50% du PIB actuel) et aux recettes fiscales à hauteur de 730 millions