Pseudonyme

Candide ou l'Optimisme (1758) INTRODUCTION Suite à ses ennuis avec le Clergé, Voltaire achète sa propriété de Ferney (frontière Franco-Suisse) où il écrit à l'abri le Conte Philosophique Candide ou l'Optimisme. Bien que l'oeuvre soit parue sous le pseudonyme du Docteur Ralph, tout... 1255 Mots 6 Pages Objet etude candide Première Séquence 2 : étude d’une œuvre intégrale, Candide de Voltaire (1759) Objets d’étude : - un mouvement littéraire et culturel européen, les Lumières

livre cache une autre réalité. Une analyse un peu approfondie révèle en effet une autre dimension, presque autobiographique. Car il s’agit là de l’histoire d’un individu en quête d’identité, tout comme l’auteur, qui s’inventera toute sa vie des pseudonymes. Une courte biographie est nécessaire pour mieux comprendre. Romain Gary est un immigré d’origine lituanienne. Né Roman Kacew, de père inconnu, il est naturalisé français en 1935. Après son service militaire, il embrasse une carrière de diplomate

collaborateurs en adoptant le pseudonyme d'Alphonse Jolly pour éviter l'association Labiche/Leveaux[1]). Carrière théâtrale Au retour du voyage, qui a duré plus de six mois, il entame des études de droit, qu’il poursuit jusqu’à la licence, tout en faisant publier dans de petits magazines de courtes nouvelles. Il rencontre ainsi Auguste Lefranc et Marc-Michel, avec lesquels il fonde une association en vue de créer des pièces de théâtre. Ils prennent le pseudonyme collectif de Paul Dandré[2]. À

ses articles dans Temps présent). Sous l'Occupation, après quelques hésitations, puis la parution de La Pharisienne (1941), il entre en contact avec la Résistance et écrit dans des publications clandestines, où il fait paraître notamment, sous le pseudonyme de « Forez », Le Cahier noir (1943). Il appartient au Comité national des écrivains et participe aux Lettres françaises, qu'il quittera après la Guerre à cause de leur orientation communiste. Il rejoindra alors les Cahiers de la Table ronde, devenus

des temps, les écrivains écrivent des romans, des poèmes, des pièces de théâtre, des récits autobiographiques, et bien d'autres. Cependant nous allons nous attarder sur un écrivain en particulier, Jean Marcel Adolphe Bruller sous le pseudonyme de Vercors. Pseudonyme adopté pendant la Resistance durant la seconde guerre mondiale, mais qu'il gardera comme nom d'écrivain. C'est un illustrateur et écrivain français, qui à écrit des pièces, des nouvelles, des romans et bien d'autres mais parmi tout cela

vitam aeternam” et j’ai même fait des romans pour enfants, comme la série des Lapoigne”ou Les fantômes de Belleville”.Interviewer : vous avez toujours publié des livres sous votre nom et prénom ou avez-vous déjà eu un pseudonyme ?Thierry Jonquet : j’ai posté 3 romans sous le pseudonyme de Ramon Mercader, nom de l'assassin de Léon Trotsky.Interviewer : pouvez-vous nous citer quelques trophées que vous avez reçu ?Thierry Jonquet : bien sûr j’ai eu le Trophée 813 du meilleur roman policier en 1985, 1993et

contestataire, chantée par des soldats français durant la Première Guerre mondiale, entre 1915 et 1917. Elle est d'abord interdite par le commandement puis autorisé en 1974 par Valéry Giscard d'Estaing. L'artiste : Paul Charles Couturier, connu sous le pseudonyme de Paul Vaillant-Couturier, né le 8 janvier 1892 à Paris, mort le 10 octobre 1937 dans la même ville, est un écrivain, journaliste et homme politique français. Il participe à la Première Guerre mondiale de 1914 à 1919 (il est démobilisé tardivement

collaborateurs en adoptant le pseudonyme d'Alphonse Jolly pour éviter l'association Labiche/Leveaux1). Carrière théâtrale [modifier] Au retour du voyage, qui a duré plus de six mois, il entame des études de droit, qu’il poursuit jusqu’à la licence, tout en faisant publier dans de petits magazines de courtes nouvelles. Il rencontre ainsi Auguste Lefranc et Marc-Michel, avec lesquels il fonde une association en vue de créer des pièces de théâtre. Ils prennent le pseudonyme collectif de Paul Dandré2.

réactions face à l’actualité et son espoir de paix et d’entente pour l’avenir. Après l’attentat du café Hillel, c’est Naïm (Gazaman) qui la réconforte et l’aide à reprendre goût à la vie. • Naïm (pseudonyme : Gazaman) Naïm Al-Farjouk, que l’on connaît tout d’abord à travers ses courriers sous le pseudonyme de Gazaman, est un jeune Palestinien de 20 ans. Un jour, il trouve la bouteille laissée à Gaza par le frère de Tal. En apparence moqueur et cynique, Naïm donne parfois l’impression de se servir

King (p. 9), Ed Dunkel (p. 279), Terry (p. 125), Tim Gray (p. 9), Inez (p. 383). Le nom du narrateur, Sal Paradise, vient d’une erreur de lecture d’un vers d’Allen Ginsberg : « Sad Paradise », « Triste Paradis ». Dean Moriarty est le pseudonyme donné par Kerouac à Neal Cassady puisque ses éditeurs lui refusèrent le droit d'employer les vrais noms. Le nom “Moriarty” fait penser au célèbre professeur Moriarty, l’adversaire mystérieux de Sherlock Holmes. Le choix de ce nom correspond à l’intention