Psychopathie

évoque les troubles du comportement chez plusieurs enfants ayant un développement normal de leur intelligence et du langage, mais présentant une forte déficience dans leurs interactions sociales et dans la communication. Il a appelé ce trouble « psychopathie autistique ». Mais, ces travaux sont publiés dans une revue psychiatrique allemande à la fin de la guerre et restent dans l'ombre. C'est en 1981 que Lorna WING, une pédopsychiatre anglaise, réutilise ces observation et se base sur ces travaux des

médiation de la personne dans le modèle précédent. A partir de la pathologie on pose quatre champ d’existence: champ fusionnel, champ spéculaire, champ transgressif, champ subjectif. Ces champs sont dans un rapport étroit, respectivement, avec les psychopathies, les perversions, les névroses et les psychoses. Je suggère, dans la foulée, quatre niveaux corporels, quatre modalités de rapports entre le corps, le Je et l’autre. Dans la logique du modèle ces quatre niveaux doivent aussi être envisagés comme

progressif de l’inconscient du patient, l’accès aux 36 Gepner, 2001a. 334 B. GEPNER fantasmes ou événements réels traumatisants, et conduire le sujet à leur dépassement, à leur intégration dans sa vie consciente. 5°) La Psychopathie Dans la psychopathie, ou déséquilibre psychique, le sujet est livré à ses désirs, ses fantasmes, ses pulsions sexuelles ou agressives. Il se comporte comme une machine désirante, sans contrôle suffisant par la conscience. Ici, le psychisme a insuffisamment

psychopathologie : La psychopathologie s’intéresse aux dysfonctionnements du comportement, c-à-d aux aspects inhabituels, atypiques, et pathologiques du comportement. Il y a trois catégories psychopathologiques : les névroses, les psychoses et les psychopathies. 7) La psychophysiologie : La psychosociologie étudie les fondements biologiques et physiologiques du comportement. → La neuropsychologie cherche à établir les rapports existant entre les structures cérébrales et les fonctions mentales.

elle cri et a des agissements contraires à ce que nous lui demandons à l’hôpital de jour. C’est lorsque Freud revient sur ses affirmations du besoin d’autorité qu’il va s’intéresser de plus près au statut « d’être exceptionnel »vécu dans la psychopathie. Je reprendrais ses mots pour expliquer le comportement de la jeune fille : « Je peux prétendre être une exception, passer outre aux scrupules par lesquels d’autres se laissent entraver. Il m’est permis de commettre moi-même l’injustice car l’injustice

d’être ensemble. Ils étaient comme gardés dans des frigidaires qui ne se décongelaient jamais. » Cette forme d’autisme prit le nom d’« autisme de Kanner ». En 1944, le psychiatre autrichien Hans Asperger(5) décrivait des enfants atteints de « psychopathie autistique », caractérisés par des bizarreries et des aptitudes intellectuelles pouvant aller « de la débilité au génie. ». Asperger était convaincu d’une origine organique de l’autisme, mais lui aussi décrivait des parents particuliers, originaux

mélangent des éléments objectifs et subjectifs qui renseignent davantage sur le point de vue moral du cotateur que sur le score de la personne enquêtée : par exemple la notion de « promiscuité sexuelle » ou de « charme superficiel » de l'échelle de psychopathie de Hare. Enfin, les tests projectifs sont conçus pour éclairer le fonctionnement intrapsychique du sujet et non pour établir une preuve telle que la réalité d'une agression sexuelle (exemple de l'interprétation des dessins d'enfants) ; la « vérité »

psychologie, plus largement des sciences de la santé, du développement, de la vie, les choses sont en train de changer. Découragés par les situations dépassées dans les champs des dysfonctionnements familiaux, des violences, des mauvais traitements, des psychopathies, praticiens et chercheurs travaillent à promouvoir des approches préventives le plus en amont possible dans les cycles de vie individuels et familiaux, dans l’histoire naturelle des pathologies de tous ordres. Des idées et des pratiques nouvelles

réglementation du désir, l’éthique, c’est autre chose. Notamment, si la boulie peut s’interpréter presque mécaniquement, le désir ne s’interprète qu’indirectement, parce qu’autant caché qu’indirectement manifesté : il est implicite. Les névroses et les psychopathies affectent précisément le plan du désir. Chez l’enfant, une carence (non émergence au Signe) n’affecte pas la régulation du désir, pas plus qu’une névrose n’affecte le fonctionnement grammatical. Par ailleurs, il ne faudrait pas s’imaginer que

discontinuité de soins, le nourrisson vit avec une mère qui n’est pas en mesure de lui fournir un maternage adéquat. A l’Accueil De Jour (ADJ), j’ai constaté chez les jeunes que nous accueillons un mode d'organisation de la personnalité qui rappelle la psychopathie (égocentricité importante, manipulation de l'entourage afin de satisfaire ses besoins immédiats, très faible tolérance à la frustration,…) mais, derrière la façade agressive, nous avons pu apercevoir rapidement les signes essentiels d'un syndrome