Psychopathie

du développement cognitif de Piaget) personnalité Ce qui caractérise une personne dans sa singularité, son unité et sa permanence et régissent son adaptation à l'environnement personnalité antisociale Trouble de la personnalité autrement appelé psychopathie ou sociopathie, caractérisé par un manque d'empathie, de honte ou de culpabilité personnalité multiple Trouble psychologique caractérisé par la coexistence dans le psychisme d'un même sujet de deux ou plusieurs personnalités sans qu'il en ait

siècle, elle n’a pas toujours porté le même nom et n’a pas toujours recouvert les mêmes catégories psychopathologiques. Tantôt isolée en tant que syndrome autonome, tantôt rabattue du côté de la névrose, plus souvent du côté de la psychose ou de la psychopathie, l’organisation limite s’est peu à peu individuée pour exister aujourd’hui en tant que telle dans les classifications des maladies mentales. Dès 1938, Freud identifie cette forme de malades « manifestement très proches des psychosés […]. Les causes

d'ethnologie, d'histoire et de philosophie, Ed. Cujas, 1984, 4 vol., 225, 196, 160 et 256 p. R. VERDIER (Dir.), Vengeance. Le face-à-face victime/agresseur, Ed. Autrement, Coll. Mutations, 2004, 237 p. L.M. VILLERBU (Dir.), Violence, délinquance, psychopathie, Les Presses Univ. de Rennes, Pub. Annales Cliniques Psychologiques, 1992, 282 p. L.M. VILLERBU, J.L. VIAUX (Dir.), Ethique et pratiques psychologiques dans l’expertise, Ed. L’Harmattan, Coll. Psycho-logiques, 1998, 298 p. Criminologie – Robert

anaclitique tombant dans le versant dépressif dès qu’apparaît l’angoisse de perte d’objet. - « névrose de caractère » : est une pathologie du caractère qui constitue qu’un aménagement plus stable au sein d’une structure anaclitique. - « psychopathies » : catégorie « fourre-tout » où est rangé tout asocial inclassable alors que comprend des psychotiques, rarement des névrotiques, la plupart se divisent en : des pervers vrais et les trois aménagements caractériels : « névrose de caractère »,

cas en effet, la temporalisation se trouve parfois mise en échec, désarticulée. Deux scénarios peuvent se présenter : – Le premier est la suppression du temps qui constitue selon Minkowski (24) la forme la plus grave de la pathologie du temps. La psychopathie en est un exemple. Le malade, dit Vergote (41), est polarisé sur l’immédiat. L’existence se ramène au passage à l’acte. On passe sans transition de la mise en scène représentative à l’exécution. Il y a refus de la temporalisation, rétrécissement

manifestations non spécifiques, par exemple des phobies, des perturbations du sommeil et de l’alimentation, des crises de colère et des gestes autoagressifs. Autisme de la petite enfance Psychose Syndrome de Kanner Trouble autistique À l’exclusion de : psychopathie autistique (F84.5) F84.1 Autisme atypique Trouble envahissant du développement qui diffère de l’autisme infantile par l’âge de survenue ou parce qu’il ne répond pas à l’ensemble des trois groupes de critères diagnostiques d’un autisme infantile

trouble est très courant. Des millions de personnes en souffriraient dans le monde. d) Les tentatives de suicide et les suicides : Le risque de suicide existe dans de nombreuses pathologies mentales : dépression, schizophrénie, toxicomanie, psychopathie et dans certains troubles névrotiques. * Dans 10% des cas, il existe une cause sociale : perte d’emploi, situation de rupture, isolement, deuil. * Dans 90% des cas, il existe un lien entre le suicide et une pathologie mentale. e)

| | | |D éficit de neurotransmetteurs, surtout sérotonine = agressivité. Combinaisons norépinéphrine (comportement antisocial) / sérotonine | | | |(agressivité – psychopathie) / dopamine (apprentissage, attention, schizophrénie) / acétylcholine (alcoolisme – dépendances) causeraient | | | |des comportements antisociaux, la difficulté de contrôler des impulsions, et la recherche de drogues de remplacement (surtout

des conduites et un comportement antisocial et irresponsable depuis l’âge de quinze ans), la clinique de l’adolescent apporte en revanche une compréhension psychodynamique essentielle. Dès 1977, Henri Flavigny décrivait les formes nouvelles de la psychopathie des états limites et ses symptômes cardinaux: passages à l’acte répétitifs, impulsivité, auto- et hétéro-agressivité, besoin de satisfaction immédiate contrastant avec la passivité, le désoeuvrement et la dépendance sur fond d’angoisse essentielle

dans son ouvrage très médiatisé sur le harcèlement moral, et le psychanalyste Alberto Eiguer. En revanche ce diagnostic ne figure pas dans les grandes classifications actuelles, il se rapproche du trouble de la personnalité narcissique et de la psychopathie, sans les recouvrir tout à fait. Son profil Intelligence, niveau culturel Certains ont un très bon niveau culturel. Tous sont intelligents et particulièrement bons psychologues. Absence de valeurs morales Leur manque d’état