Psychopathie

la névrose. Il est donc impératif de se défier de toute assimilation entre dangerosité et maladie mentale. Il apparaît en deuxième lieu nécessaire de distinguer les maladies mentales des troubles de la personnalité - communément appelés psychopathies - caractérisés principalement par trois types de défaillance : défaillance narcissique, défaut de maîtrise comportementale et défaillance du contrôle émotionnel. Les pervers, dont la personnalité se caractérise par une « anomalie fondamentale

de l’humeur…), les crises d’angoisse, ou encore les dépressions réactionnelles et névrotiques ; - et d’autre part, les troubles mentaux chroniques : il s’agit de démences dues à des troubles organiques dégénératifs (démence sénile…), de psychopathies (C’est un ensemble mal délimité qui regroupe notamment tous les déséquilibres psychiques, l’alcoolisme, la toxicomanie…), de psychoses (schizophrénie, paranoïa…), ou encore de névroses (phobiques, obsessionnelles…). 7 La psychose suppose

sociable voire joyeuse, plutôt loquace, il va déborder d’énergie et d’assurance, mais peut devenir rapidement irritable et imprévisible. Exemple : dépenser de façon compulsive, commettre des délits acquisitifs par ruse ou parfois par violence. La psychopathie : le psychopathe ne tire aucun profit de l’expérience vécue. Il n’a pas le sens des responsabilités, il est incapable d’établir des relations significatives avec les autres, il n’a aucun contrôle de ses pulsions, son comportement antisocial est

de fuite ou de lutte « flight or fight ». Les émotions contribuent à une réponse rapide l’organisme. Les émotions ont un rôle très important dans l’apprentissage et dans la mémoire. L’absence d’émotions pose problème au niveau adaptatif : La psychopathie : type de personnalité pour lequel on retrouve une absence d’empathie pour les autres et une absence de respect des règles. Montrent des photos de visages neutre à des sujets sains et des psychopathes et associent à certaines visage une pression

aussi des cas dans lesquels ce ne sera pas une maladie. En premier lieu, il s’agit donc effectivement de tout ce qui est aliénation mentale, une déchéance progressive et irréversible de la vie psychique. (Arriération mentale, schizophrénie, psychopathie…) Mais aussi troubles plus légers comme le somnambulisme, ou l’hypnose, c'est-à-dire la suggestion d’un comportement par un tiers. La personne qui a hypnotisé pourra voir sa R engagée. Autre souci, celui de l’épilepsie. La personne peut perdre

même quelques chose : l’influence indirecte par transmission d’inadaptation physique ou d’infirmité diverse qui rendent + difficile le travail scolaire ou professionnel, il y a aussi une certain possibilité de transmission des psychoses et des psychopathies, ms évidemment tt ceci n’est qu’indirect, donc en fait se sont des prédispositions et non pas un déterminisme absolue. Par ex on pourra considérer q la débilité des parents, càd le QI insuffisant va se transmettre aux enfants et qui entraine également

en danger mais le fait quand même. Et tout les comportements ordalique « comportements dangereux, mortels, risqués,… ( Il faudrait que l’ado touche un peu à tout ça pour bien faire (massivement dans le clivage = psychose ; passage à l’acte = psychopathie). Ce cocktail bien mélangé, doser et équilibrer de ces mécanismes de défense est une manière de sortir comme il le faut de l’adolescence. 7. L’adulte et la personne âgée La population humaine vieillit de mieux en mieux. L’espérance de vie

chrétienne. Cette évolution du concept a abouti aux travaux sur les psychopathes, considérés par le professeur de psychiatrie O. Kernberg comme une variante des personnalités narcissiques. L’échelle de Hare, qui est un outil reconnu de diagnostic de psychopathie, comporte vingt items, dont dix concernant le fonctionnement narcissique. Le professeur canadien Robert Hare lui-même 1. Sont qualifiées de pervers narcissiques les personnalités marquées par un narcissisme exacerbé, présentant des traits de perversité

d’application plus large. Trouble mental = maladie mentale seulement. Troubles psychiques ou neuropsychiques = aliénation mentale, c'est-à-dire une déchéance progressive et irréversible de la vie psychique (arriération mentale, schizophrénie, paranoïa, psychopathie, le somnambulisme – état d’inconscience, la personne se déplace sous sa propre force, l’hypnose – suggestion d’un comportement par un tiers, ...). L’épilepsie : la personne peut perdre le contrôle de son comportement alors qu’elle est clairvoyante

autres par la compassion spontanée et générale lorsque les médias montrent la misère des fugitifs, des victimes de guerre ou de catastrophes naturelles. Bien sûr, cette compassion n’est pas toujours activée. Cela dépend de plusieurs éléments. La psychopathie, par exemple, peut bloquer la compassion. La compassion sera sélective selon des degrés d’identification, ou selon des situations (de guerre) spécifiques. Nous croyons néanmoins que la plupart des délinquants ne sont pas indifférents devant la