Psychopathie

comprendre. Assurément, la maladie mentale peut avoir une grosse influence sur les actions d’une personne. Le tueur va créer une grosse délusion et va penser que tout est contre lui puisque la seule manière de survivre est de tuer pour se protéger. La psychopathie. Être psychopathe peut arriver à tout le monde car on ne naît pas avec ce trouble mais on le développe. Par exemple, si un enfant montre plusieurs signes de psychopathe, comme être très manipulatif, un gros manque d’empathie, de l’égocentrisme

personnalité perverse : Elle est caractérisée par : • L’impulsivité • La cruauté • L’inaffectivité • L’amoralité • L’asociabilité • L’inéducabilité Même s’il existe des caractéristiques commune à la psychopathie, elle s’en différentie car les pervers évitent de faire parler d’eux et ils contournent/détournent la loi avec plus de ruse et de sang froid. Pour Hurni et Stoll, le profil de personnalité perverse est redoutable. Le pervers est dénué de valeurs

ainsi qu’une assistante sociale. 3. Public accueilli Les personnes accueillies dans ce service sont des adultes présentant pour la plupart des pathologies psychiatriques. J’y ai donc rencontré des personnes souffrant de schizophrénie, de psychopathie et de différentes formes d’état limite. Pour certains l’hospitalisation se fait au long cours alors que pour d’autres ce n’est qu’un passage dans l’attente d’une autre structure ou d’un logement. Pour ces derniers l’hospitalisation permet une

2: Les maladies mentales fonctionnelles Les maladies mentales fonctionnelles sont celles qui révèlent une perturbation au niveau du fonctionnement du psychisme. Elles regroupent trois grandes catégories: les psychoses, les névroses et les psychopathies. PI: Les psychoses Les psychoses sont des maladies mentales caractérisées par une atteinte profonde de la personnalité, se manifestant notamment par des troubles de la sphère cognitive et de l’affectivité. Dans les psychoses, le sujet n’a

modification du comportement après des lésions pré frontales du cortex orbito-frontal : - Hypoactivité : - aboulie, apathie, aspontanéité… - pseudo dépression. - Hyperactivité : - distractibilité, impulsivité, désinhibition… - pseudo psychopathie. - Dépendance à l’environnement : - comportement d’utilisation et d’imitation en justifiant par n’importe quel argument. - Persévérations : - stéréotypies. On peut y trouver associées : - des confabulations, des paramnésies (construites

apprentissage de la vie sexuelle reconstituant ces conditions initiales d'informations erronées et générant des situations de violences sexuelles. 4.4 - Le psychopathe est rarement un agresseur sexuel Enfin, il est nécessaire de préciser que la psychopathie n'est pas un facteur de risque aggravant pour les agressions sexuelles (hors viols) où les taux de prévalence évoluent entre 3 et 15%. En revanche, quand il s'agit des violeurs, le tableau est différent puisque les taux de prévalence iront de 35

crée un fait social a partir d'un phénomène considéré comme individuel, en l'occurrence, le taux social de suicide tel que défini ci-dessus. Durant son étude, l'auteur cherchera dans un premier temps a exclure les facteurs extra-sociaux tel les psychopathies, la race, l'hérédité biologique, les facteurs géographique et climatique et l'imitation pour établir une définition donnée du suicide comme phénomène social. Puis celui-ci utilisera les variations concomitantes dans le but d'établir un rapport

3 catégories : Hystérie, névrose obsessionnelle et phobie. Psychose : Les paranoïas, les maniaquos dépressifs (trouble de l’humeur : molobonaire – bipolaire), Les perversions : La perversion sexuelle, la pédophilie, le sadomasochisme, les psychopathie :( une perversion mais pas sexuelle - psychopathe) Les états limites : renvoie à un groupe de psychopathologie assez ressent qui prend envergure dans les années 60/70 (mais on en parle déjà dans les années 50). Quand on passe d’une maladie

affectif, ni du coté de la nevrose ni de la psychose. Avec une personnalité en « faux self » ou « as if ». C’est une personnalité qui repond aux attente de la société de façon un peu trop lisse, un peu caricaturale, sans sembler vraiment habiter. La psychopathie se caractérise par une inadapatation du sujet a la vie en societé et de pssages à l’acte. Au niveau de la genèse des troubles, on note une enfance perturbée, une absence de limites, et une agitation. A l’age adulte viens s’ajouter l’instabilité

Indifférent, dissocié Importance de la bizarrerie du contact Délire pauvre ou absent Mauvais pronostic d’évolution : risque majeur d’évolution déficitaire (le repli se pousse à son comble) C – Autres formes Héboïdophrénie : mélange de psychopathie et d’hébéphrénie (on les trouve souvent en prison) Troubles de l’affectivité : froideur majeure Quelques signes dissociatifs Conduite psychopathique, sur le mode de la délinquance impulsive et agressive Pas de délire (au 1° plan) Schizophrénie