Psychose hallucinatoire chronique

des conceptions contraires à la réalité ou l’évidence des faits, qui entraînent une conviction du malade. Tout délire se caractérise par ses thématiques (persécution, influence, grandeur, mystique, hypocondrie…), ses mécanismes (interprétatif, hallucinatoire, intuitif), son organisation (systématisé = délire cohérent, logique, compréhensible ou non systématisé = flou, illogique, difficilement compréhensible), début brutal et progressif. Dépersonnalisation : syndrome clinique complexe caractérisé

→ Le délire paranoïaque se différencie des schizophrénies par un âge de début plus tardif (à partir de 30 ans), l’absence de dissociation, un mécanisme unique interprétatif et des thèmes surtout persécutifs. → La psychose hallucinatoire chronique est un délire chronique non dissociatif. Il survient plus souvent chez la femme après 40 ans. → Etat limite ou border line : La personnalité border line est marquée par des relations interpersonnelles chaotiques, des alternances d’idéalisation

Interprétation· Persécution 3. Un état délirant aigu peut : · Être isolé, · Être le mode d’entrée dans une schizophrénie, · Être le mode d’entrée dans un trouble bipolaire, · Récidiver sans s’inscrire dans une pathologie chronique 4. Quels sont les facteurs de bon pronostic d’un état délirant aigu ? · Un début insidieux· La richesse du délire, · Un facteur déclenchant retrouvé (une période de stress, un évènement de vie…)· Un antécédent familial de

Objectifs généraux :  Savoir diagnostiquer une psychose et un délire chronique  Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient Objectifs spécifiques :  Signes cliniques de la schizophrénie  Connaître les signes du syndrome dissociatif  Formes de début de la schizophrénie  Modalités évolutives (risque suicidaire, pronostic social) de la schizophrénie  Attitude diagnostique et thérapeutique face à un épisode délirant aigu  Connaître les stratégies de soins des

l'apparition du handicap de sa mère, Monsieur L. a investi son père et a mis à l'écart sa mère. Le père Monsieur L. interdisait à son fils de voir sa sœur car il n'appréciait pas son gendre. Monsieur L. souffre dés son plus jeune âge d'une pathologie chronique, il est suivi au CMP de Juvisy. Monsieur L. n'a pas suivi de formation professionnelle certainement du fait de sa pathologie d'évolution type déficitaire déclaré à l'adolescence. Monsieur L. vivait chez ses parents, mais ces derniers vieillissants

(anxiété)Freud distingue les névroses d’angoisses, phobiques, obsessionnelles et hystériques.Border Line = Etat limite. | PsychoseOn parle de psychose quand on a un trouble ou il y une altération de la réalitéSchizophrénie : Grand bataillon des psychoses. Touche entre 1 et 2% de la populationDélires paranoïaques : délire de jalousie et de persécutionPsychose hallucinatoire chronique (PHC) | NIVEAU 3 : COMPLICATIONS La dépression. Conduite addictive Troubles bipolaires Accès maniaque : dans le cas d’une

neuroleptique a action prolongée (NAP) sur un patient schizophrène. Tout d'abord, le NAP injecté sera l'Haldol Decanoas, utilisé pour le traitement au long cours des états psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques :délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques). Il se présente sous forme d'ampoules d'1ml de produit contenant 50 mg de principe actif, l'haloperidol. Ce traitement a pour but d'injecter par voie intra musculaire, c'est a dire

secondaire. Accès au dossier "délire aigu, délire chronique: pathologie ou symptôme?".   Le schizophrène ne construit pas son monde en relation avec les autres. Sa pensée se replie sur elle-même et se nourrit des complexes inconscients, au lieu de se nourrir des échanges relationnels. Voir ici la "différence entre inconscient, conscient et pré-conscient".   L'école française de psychiatrie ajoute à cette définition la notion d'évolution chronique, et de trouble profond de l'affectivité, de l'ordre

. 13 A. Les généralités sur la psychose et le patient psychotique ................................... 14 1. Définition de la psychose ............................................................................................... 14 2. Les signes cliniques que présente le patient psychotique ................................... 14 3. Les différentes formes de psychoses......................................................................... 15 a. Les psychoses aiguës ........................

Questionnaire • FACE Questionnaire • Biologie Gamma GT + Volume Moyen Globulaire (VGM) Ne permet pas le repérage VI. Complications 1. Signes généraux - Asthénie chronique - Anorexie - Immunodépression : risque d’infection + cancer 2. Maladie alcoolique du foie - hépatites B et C - cancer - cirrhose -encéphalopathie hépatique chronique 3. SNC - encéphalopathies carentielles (Vit B1) - neuropathies périphériques - troubles cognitifs - atrophie cérébrale et cérébelleuse - épilepsie - délirium tremens