Psychotrope

américains montrent que l’ecstasy entraîne une réduction de concentration en sérotonine, un neurotransmetteur impliqué dans les changements d’humeur, la mémoire, la douleur, le sommeil ou l’appétit. Les effets de cette drogue sont qualifiés de psychotrope : ils peuvent modifier l'esprit, la volonté, le jugement, etc. L’ecstasy modifie les transmissions synaptiques Les effets apparaissent entre une demi-heure et une heure et demie après l'ingestion et se poursuivent jusqu’à 6 heures pour se terminer

toxicomanie est-elle un fait de société ? Définition La toxicomanie (du grec : toxikon, « poison » et mania, « folie »1) désigne une dépendance physique et psychologique d'une ou plusieurs substances toxiques (analgésique, stimulants et autres psychotropes) sans justification thérapeutique. Il est actuellement question d'addictions au pluriel car les pratiques de consommation ont évolué du côté des polytoxicomanies (alcool, médicaments, drogues diverses, synthétiques ou naturelle, etc.)2. Les usages

soutiennent que l'usage de cette drogue peut produire divers effets dommageables. Ainsi, la question peut impliquer de nombreux débats et susciter plusieurs points et plusieurs opinions. Premièrement, sachant que pour l’alcool, le tabac ou les psychotropes, le traitement privilégié est celui d’un encadrement de la commercialisation et d’une règlementation des usages. La légalisation du cannabis vise tout simplement à aligner le traitement du cannabis sur ces autres produits. On prétend, entre autre

des produits psychotropes (Psychotrope: toute substance d’origine naturelle ou synthétique qui peut, par son action sur le système nerveux central, modifier l’activité mentale, les sensations, le comportement. On utilise également les termes de substance psychoactive ou substance modificatrice de conscience. Ces termes ont l’avantage de regrouper sous une même catégorie conceptuelle toutes les substances psychoactives, telles que l’alcool, le tabac, mais aussi les médicaments psychotropes (tranquillisants)

dépendance physiologique. Le cannabis a été mainte fois étudié et les rapports sont unanimes: pas de dépendance. Ce qui n'en fait pas une drogue -dans le sens commun où on l'entend- mais une substance psychotrope. Et c'est là qu'on confond dépendance et ré créativité; l'usage d'un psychotrope permet une autre 'perception' des choses, une détente...qu'on aimerait souvent avoir, ce qui peut être un cercle vicieux. Mais quand le fumeur de weed n'a pas la possibilité de fumer, il n'est pas en état

coca ou le cannabis. Les drogues sont des substances naturelles ou synthétiques (fabriquer artificiellement en laboratoire) qui agissent sur le cerveau et provoquent des modifications de sensation ou de comportement. Ces substances sont dites psychotropes (qui agissent principalement sur l'état du système nerveux central) ou psychoactives (qui entraîne des changements d'humeur, qui sont "modificateurs de conscience") qu'il s'agisse de médicament comme les tranquillisants ou de drogues au sens courant

Introduction. Que ce soit au niveau des hommes politiques, des experts économique ou des professionnels de la santé et du social, la légalisation du cannabis est un sujet très controversé. Cette plante facilement cultivable, aux propriétés psychotropes et interdite par la loi Française est maintenant au cœur de tous les débats. D'abord utilisé comme plante médicinale pour ses vertus analgésiques, son usage récréatif a pris au fil du temps une ampleur telle que son usage fut quasiment interdit

:* Le cannabis est le nom scientifique donné au chanvre. Il s'agit d'une plante dont on tire plusieurs formes de stupéfiants : la marijuana, le kif, l'huile et le haschich. Considéré comme une « drogue douce », le cannabis possède une action psychotrope due à la présence de tétrahydrocannabinols (THC). Chez les jeunes, le cannabis est le plus souvent consommé sous forme de haschich (« shit »: résine de cannabis) et de marijuana (« herbe »). L'herbe, appelée aussi ''beuh'' ou « weed », est créée

d’expérimentations psychiques et thérapeutiques extraordinaires. À ce moment là,  jamais il ne soupçonna que le diéthylamide de l’acide lysergique, appelé aussi LSD 25 ne puisse un jour quitter le champ médical et scientifique. Cette drogue, un psychotrope (substance chimique agissant en modifiant l’action du système nerveux central (SNC)) qui vient de l’allemand : LysergSäureDiethylamid est  le plus puissant des hallucinogènes connus, 20 microgrammes suffisent pour déclencher des hallucinations

(autorisée par la loi) ou illicite (interdite), mais qui ont en commun : d'avoir des effets psychotropes, c'est-à-dire sur l'esprit, sur le comportement ; de pouvoir provoquer, chez celui qui en consomme régulièrement, une dépendance, c'est-à-dire qu'il devient incapable de se passer du produit. L'alcool (à faible effet de dépendance mais à fort effet psychotrope) et le tabac (à faible effet psychotrope mais causant une forte dépendance) entrent en France dans la catégorie des drogues licites.