Publicité Sexiste

Autre argument négatif envers la publicité est le mauvais goût de certaines d’entre elles. En effet, la limite est parfois faible entre le marrant et le choquant. En témoigne cette anecdote de Jean-Pierre Teyssier (élu à la présidence du BVP en 1999) : « C’était un soir d’Avril 2000, je m’en souviens très bien car c’est sans doute là que s’est posée avec le plus de netteté la difficulté de trancher entre le choquant et le tolérable, l’admissible et l’inacceptable en matière publicitaire. Ce soir

Les hommes sont influencés dans leur désir et les femmes dans leur être. Les premiers calquent leur érotisme sur les archétypes qui les entourent et tendent à reproduire les comportements sexistes ainsi banalisés. Pour les jeunes et moins jeunes femmes, vouloir ressembler aux mannequins est devenu une condition sine qua non d’une existence dite « normale ». Parmi les conséquences les plus graves de ce phénomène, générées aussi par l’industrie de la beauté, on trouve les complexes physiques et les

femme dans la publicité Avant-propos Cette étude est basée sur l’analyse de différents documents et supports concernant la condition féminine et plus particulièrement l’utilisation du corps de la femme dans la publicité. J’ai choisi ce thème qui m’est cher, tout d’abord parce qu’en section arts plastiques au lycée, celui-ci avait attisé ma curiosité et mon attention. De plus l'emploi abusif de la femme objet dans la publicité pour faire vendre me révolte. Etudiante en publicité, j’ai donc

niveau de la société. Nous nous sommes poser des questions ensemble sur pourquoi les femmes font le ménages par exemple. Puis nous avons décidé d’y inclure les médias, la publicité entre autre, qui est l’un des faits marquant de notre société. Nous avons donc décidé de partir sur le thème d’une guerre des sexes a travers la publicité et de poser la problématique suivante : « De la femme objet à l’homme objet.. ? » qui n’est pas une affirmation d’ailleurs mais une question que l’on va devoir démontrer

dès le plus jeune âge, dans le choix des jouets pour les enfants. Le rose et les poupées pour les petites filles, le bleu et les petites voitures pour les garçons. D'une manière quasi inconsciente, nous inscrivons les plus jeunes dans des clichés sexistes qui créent une frontière entre les filles et les garçons. Nous connaissons tous la belle poupée Barbie, qui fait rêver petits et parfois même plus grands. Elle représente ce qu'on pourrait qualifier de perfection, un corps de rêve, une longue chevelure

J’ai signé l’appel contre la publicité sexiste, lancé par Florence Montreynaud et plusieurs de ses amies « chiennes de garde ». Un de mes lecteurs s’en étonne, qui me reproche de manquer d’humour. C’est un vrai problème, ou plutôt deux problèmes différents, mais qui sont liés. Le premier porte sur l’image des femmes, ou sur l’utilisation commerciale qui en est faite : les publicitaires, dans ce domaine, peuvent-ils tout se permettre ? Le second porte sur l’humour : est-il toujours une excuse

Résumé du document Que l’on soit publivore ou publiphobe, quel que soit notre sentiment à l’égard de la publicité, elle ne peut pas nous laisser indifférent. Parce qu’elle est partout et habille notre vie quotidienne, hantant les esprits des commerciaux, peuplant l’imaginaire des consommateurs, supportant la croissance des annonceurs, la publicité est devenue un véritable phénomène de société. Son pouvoir médiatique croissant et sa force de persuasion, l’ont dotée de rôles, fonctions et responsabilités

  La publicité est une forme de communication, dont le but d'attirer l'attention d'un groupe de personnes en particulier (consommateur, utilisateur, usager, électeur, etc.) pour inciter la personne à suivre l'idée véhiculée par la publicité (l'achat d'un produit, le choix de banque etc...) Elle se met à utiliser l'argument de la féminité moderne. La pub compare la femme au modernisme et à la consommation.  Les femmes occupent donc un rôle central dans la publicité,mais généralement à leurs dépens

exclura les affirmations gratuites, les jugements de valeurs ou les incertitudes, mais on y exposera un discours analytique, logique et rigoureux. Suggestions non limitatives de sujets : • La publicité québécoise, sexy, sexiste ou romantique? • Cette publicité humoristique, fait-elle rire ou vendre? • L'influence de la société de consommation sur la culture des pays en voie de développement. • Le marketing des services se différencie-t-il vraiment de celui des

Publicité & Sexe - Enjeux psychologiques, culturels et éthiques MCEI – OVSM 2004 W.Endres, C. Hug juin 2004 HAUTES ETUDES COMMERCIALES Faculté des Sciences Economiques et Sociales Publicité et Sexe : Enjeux psychologiques, culturels et éthiques ____________________________________________________________ _________ William Endres et Christophe Hug Concours 2004 MCEI 1 Publicité & Sexe - Enjeux psychologiques, culturels et éthiques MCEI – OVSM 2004 W.Endres, C. Hug