Pulsions

sociétés humaines de plus en plus vastes en liant libidinalement les individus), il doit y avoir une autre pulsion, opposée à elle, qui tend à dissoudre ces unités : la pulsion de mort. Cette pulsion destructrice est au service de l’Eros (elle détruit autre chose que soi). La culture est un procès au service de l’Eros. À ce programme s’oppose la pulsion destructrice, rejeton principal de la pulsion de mort (Thanatos). Le développement de la culture est donc le combat vital de l’espèce humaine (à partir

graves, contraires au but même de l'éducation qui vise principalement à rendre l'enfant autonome et libre. Freud avance la thèse selon laquelle l'éducation, pour éviter ces effets néfastes, doit consister principalement à aider l'enfant à sublimer ses pulsions. Le texte débute tout d'abord par un constat : les instincts sont rebelles aux plus fortes répressions. Et, bien que refoulés, ils n'en continuent pas moins d'agir et d'engendrer des maladies mentales telle que la névrose. Ce constat, Freud l'étaye

moi, sur-moi : Pour Freud il y a 3 instances qui font agir l’individu, et qui sont aussi 3 éléments de sa vie psychique : le ça, le moi, le sur-moi. Quel est le rôle et la nature de ces 3 instances ? Le ça renvoie aux désirs inconscients, aux pulsions sexuelles et d’auto conservation du sujet. Le ça c’est l’ensemble des désirs contradictoires du sujet humain. Le sur-moi inconscient, se constitue par l’intériorisation des interdits sociaux, parentaux et religieux. Il est l’instance de la censure

affective de l'adolescent (Bergeret, 2000). La violence prend ainsi place dans ses expérimentations émotionnelles et affectives qui participent à sa quête d'identité et de limites corporelles et sociales. Conduites symptomatiques des conflits, des pulsions et de l'imaginaire juvénile, les mises en acte sont alors à aborder dans la problématique de l'insertion des jeunes au sein de la société (Selosse, 1990). Elles sont influencées par des facteurs développementaux (passage de l'enfance à l'âge adulte

naturellement violent , les causes de l'agressivité humaine le propre de la pensée iunconsicente et d 'etre toujours a la recherche du plaisir tendre lorganisme vers un but, la pulsion est d'origine sexuelle -- donc il y dans l'inconscient des pulsion contradictoire; pulsion sexuelle et pulsion du moi les pulsions de vie ( heros ) et de mort ( thanatos ) par consequent l'inconscsient tent ver sla recherche et l'obtention du plaisir et notammen du plaisir sexeul qui est selon freud le plaisir

partout présents. Introduction Définissons tout d’abord le terme de désir. Au sens général les désirs sont des pulsions qui tendent vers la possession, mais qui n’ont pas d’objet fixe. Ces désirs sont innombrables, infinis même et divers. C’est pourquoi la plupart d’entre eux sont refoulés dans notre inconscient, de telle sorte que nous n’en soupçonnons pas l’existence : en effet ces pulsions sont souvent contradictoires, leur application n’est absolument pas envisageable dans la réalité ; elles peuvent

objet ou de cette situation. Enfant = Phobie infantile 2) La seconde topique La seconde topique regroupe 3 instances : le ça, le moi et le surmoi Le ça : Le ça est connue et inconscient. C’est le réservoir des pulsions (= désir). Il est géré par le principe du plaisir. Une pulsion : c’est une quantité d’énergie psychique séparée en représentation (image mentales, pensée) et en affect (expressions émotionnelles) Image mentale : C’est la capacité de se représenter un objet en son absence. Ex :

vaches de race. Il lui donne trois mois pour rayer sa dette. Comme il n’y arrive pas, Séraphin garde les deux vaches. Ils ne sont mariés que depuis un an, mais déjà Séraphin regrette cette union. Il se rend compte que s’il laisse libre cours à ses pulsions, il deviendra en quelque sorte l'« obligé » de Donalda, ce qui pourrait lui coûter cher : « Les troubles de la chair qu'il combattait depuis tant d'années l'envahissaient maintenant ainsi qu'une crue prodigieuse de limon. Mais Séraphin ne se laissa

La socialisation est aussi une sorte de sublimation de nos pulsions agressives. Un apprivoisement de nos désirs profonds en « exposition gracieuse ». La pulsion est souvent refoulée sans être domestiquée. Et pourtant elle s’apprivoise, se gère, s’appréhende, mais se doit de vivre, d’être partagée, d’être comprise, elle est en nous et nous nous devons de ne pas l’ignorer et de la laisser s’exprimer. Il est essentiel de traduire les pulsions par la parole. L’enfant a besoin de ses parents et autres

situerait entre l'auto-érotisme et l'amour d'objet. L'individu en voie de développement rassemble en une unité ses pulsions sexuelles qui, jusque là, agissaient sur le mode autoérotique; afin de conquérir l'objet d'amour, il prend son propre corps pour objet d'amour avant de passer au choix objectal de l'autre personne. Il y a unification des pulsions sexuelles. Au stade des pulsions partielles, il y a satisfaction d'une partie indépendamment des autres ; puis, au stade du narcissisme, le corps