Pulsions

et enfin pour certains le bonheur serait obtenu grâce au mérite, au travail et à la persévérance. Contrairement à ce que nous pensons le bonheur ne dépend pas de la satisfaction d’un manque. Il existe trois sources au bonheur, à l’idéal : - la pulsion - le désir secret des parents - les normes de la société. C’est en ce sens que nous sommes influencés dans nos comportements, nous sommes « trois en nous ». Pour atteindre le bonheur il faut s’ouvrir aux autres pour découvrir qui l’on est vraiment

Paris et de la vie quotidienne. Ainsi, dans « La bête humaine », il raconte l’histoire de Lantier, un mécanicien sur la ligne de train Le Havre-Paris, qui à l’approche d’une femme séduisante, souffre de pulsions sexuelles et meurtrières. Zola y décrit les désirs et les besoins vitaux d’un homme et nous montre que ses traits de caractères sont dus à l’hérédité. Zola y fait une parfaite description de La gare Saint Lazare et de ses environs Dans « Une page

pas de sexes) latent : scène d’agressivité ouverte confrontant das homme adultes et un ado, en positions contrastées active/passive En contexte œdipien : désir parricide, culpabilité, angoisse de castration et ambivalence vis à vis du père. Autre pulsion : fantasme d'attaque mortifère contre l'objet et angoisse de perte qui en découle PLANCHE 6GF Manifeste : jeune femme assise se retournant vers homme qui se penche vers elle (≠ de génération + des sexes) Latent : relation hétérosexuelle dans opposition

des gens, d'apprendre toujours plus, de vivre. Si on n'avait seulement Eros on ne pourrait pas vivre car on serait tellement enjoués qu'on finirait par mourir de ce trop-plein de soif et de bonheur. Il y a donc de l'autre côté Thanatos, qui est la pulsion de mort et de malheur. Si on n'avait que Thanatos, on ne mangerait pas car on se dirait que ça ne sert à rien puisqu'on a déja mangé la veille, on ne rencontrerait personne car on se dirait "à quoi bon, j'ai déja un ami", bref on se laisserait mourir

|L’agressivité est un phénomène naturel chez l’animal et l’homme, amplifié chez celui-ci par la |Freud : « L’homme n’est pas cet être | | | | |présence d’une pulsion de mort inconsciente et auto-destructrice. L’homme est l’être qui peut |débonnaire… » | | | | |chercher à se détruire, consciemment

mesure de prendre des décisions par l'aide de la psychanalyse, une méthode thérapeutique des troubles psychiques qu'on examine dans l'inconscient du patient. On peut trouver le problème de plusieurs manière, notamment la sublimation, un transfert de pulsions sexuelles en une valorisation sociale, par exemple, un homme manquant l'affection de sa mère peint des femmes nues. Le déplacement déplace une charge affective du sujet vers un autre, par exemple, une femme humiliée aux travail qui refoule sa colère

faut maîtriser et parfois utiliser pour parvenir à ses fins égocentriques. C’est en ce sens que l’homme est un prédateur pour l’homme. L’agressivité est un phénomène naturel chez l’animal et l’homme, amplifié chez celui-ci par la présence d’une pulsion de mort inconsciente et auto-destructrice. L’homme est l’être qui peut chercher à se détruire, consciemment ou non Freud : « L’homme n’est pas cet être débonnaire… » La rivalité et la jalousie en sont des conséquences. Leurs formes sociales sont

l’affrontement violent, sont donc au fondement même des relations interindividuelles et renvoient à une nécessité vitale. - De même Freud a-t-il montré que l’homme est foncièrement agressif et cruel, agressivité qu’il met sur le compte d’une pulsion de mort et du conflit irréductible entre le désir et l’institution, le principe de plaisir et le principe de réalité. Constat que le père de la psychanalyse déplore et qui l’amène à souligner le caractère nécessairement répressif de la civilisation

brève de la question de l’influence du lien social sur le développement de la psyché telle qu’elle a été présentée par S. Freud et par J. Lacan. A ce titre, nous tenterons d’aborder la problématique des sujets en situation d’exclusion du côté de la pulsion scopique au niveau de l’expérience du stade du miroir. Dans un deuxième temps, nous étudierons quelques questionnements, portant sur la destruction corporelle dans le cas de la clinique de la marginalité extrême en essayant d’effectuer un rapprochement

frère aurait été heureux et que ses parents ne se seraient pas séparés. Il met sur sa faute la séparation de ses parents. Léon n’a pas peur de la mort. Contrairement à la caractéristique de la personne cherchant les expériences positives (pas de pulsion de mort), Léon subit les vicissitudes. Il vit sa détresse en se meurtrissant, en se blessant régulièrement. C’est une manière pour lui d’avoir l’attention dont il a besoin. C’est dans ce grand besoin d’attention que son désespoir en la vie dû à ce