Pydna

Aemilius Paullus à Pydna. Victoire déterminante car l'armée macédonienne est laminé. Persée n'a plus d'armée et est obligé de se rendre. Toutes les oeuvres d'arts, ce sont les originaux qui font parti du butin. Faire des copies de toutes les statues. Débarquement massif de l'art grec. Le plus gros butin (le butin macédonien). Spectacle de la guerre différé, admiration des armes, et de l'armée relaté dans les textes : plus aucune guerre sur le territoire italique. Les conséquences de Pydna. = La 1e victoire

les cités grecques de cette partie de la côte, Amphipolis y est en concurrence avec Olynthe. En pratique, Philippe dissout la Ligue Chalcidienne et remet la cité d'Amphipolis et son territoire à Olynthe. En 356, Philippe s'empare de Potidée et de Pydna, qui ont été jadis conquises par Athènes, il renvoie les Clérouquies (à la fois colonies et garnisons). Athènes, qui est alors en pleine guerre des alliés ne réagit pas directement, elle tente, sans succès, de créer une coalition entre les rois barbares

d'au-dessus, beau-frère de Persée, troublé par la victoire des Romains, essaya de s'allier à ces derniers, en se rendant à Rome. Le pilier de Paul-Emile est un édifice qui montre la fin du pouvoir macédonien. Selon Plutarque, une bataille eut lieu à Pydna le 22 juin 168 av. J.-C., opposant le roi Persée, fils de Philippe V et dernier monarque macédonien, face aux Romains, dirigés par le général Paul-Emile. Ce dernier remporta cette bataille et fonda dans le sanctuaire de Delphes, à sa gloire, une statue

sur cette question est le grec Polybe (210 – 126 av. JC), qui est originaire d’Arcadie, une cité du nord du Péloponnèse. Il découvre Rome alors que la Grèce, même si elle « captive ses vainqueurs », est tombée sous sa tutelle après la bataille de Pydna de 168. Membre du parti aristocratique qui est favorable à l’indépendance, Polybe est livré comme otage à Rome par les membres du parti démocrate qui sont, eux, favorables à une alliance complète avec Rome. Polybe arrive à Rome à quarante ans et découvre

tenir, soutenir les Romains dont ils sont officiellement les alliés ou opter pour la neutralité et rester à l'écart du conflit (XXVIII, 6). C'est finalement la seconde attitude qui est adoptée, avec cette conséquence qu'après la victoire romaine à Pydna, mille notables achéens, parmi lesquels Polybe, sont déportés en Italie. Pour Polybe, la captivité sera plus que supportable. Il raconte lui-même comment il s'est lié d'amitié avec le fils de Paul-Émile, Scipion Émilien, lequel intervint auprès du

guerres de conquêtes. C’est le roi Philippe II de Macédoine qui entreprend de s’imposer comme le roi des grecs notamment en colonisant certains territoires grecs comme entre 356 et 348 av J-C où les grecs sont chassés de Piérie et Philippe II fait de Pydna et de Méthone des colonies macédoniennes. Cela provoque le mécontentement des cités de Grèce Continentale notamment de Thèbes et d’Athènes qui vont combattre la Macédoine cela va commencer en 340 av J-C où les grecs vont faire reculer les macédoniens

disputent à nouveau. Dans le sillage de son père, Lycortas, Polybe est un des meneurs de la Ligue achéenne - en tant qu’hipparque il est au commandement de la cavalerie de la Ligue - au moment de la défaite du roi Persée de Macédoine face à Paul Émile, à Pydna (168). Il s'efforce, mais en vain, de maintenir la neutralité des Achéens entre Rome et la Macédoine. Il est une des premières victimes grecques des Romains, Rome exigeant de la Ligue, restée neutre, des otages parmi les dirigeants politiques soucieux

est à l’origine de l’appellation chevalier romain. Pour financer le versement de la solde aux guerriers, il fallait prélever des impôts sur les citoyens. Cet impôt qu’on appelle tribut ou stipendium en latin, fut suspendu après la bataille de Pydna. En effet, le butin dont s’est emparée l’armée était tel qu’il a permis de suspendre la perception du tribut. Les effectifs. La légion est la principale unité. Elle comprend 4000 à 5000 soldats. Chaque consul disposait de deux légions

des symboles et des analogies, les Romains les décrivaient plutôt avec exactitude50 . L’art narratif Un des plus anciens exemples de sculpture historique est la frise de Delphes commémorant la victoire de Paul-Emile sur le roi de Macédoine Persée à Pydna en 168 av. J.-C51. Son style porte encore la marque de la tradition grecque probablement car les artistes qui travaillaient alors sur ces oeuvres étaient en majorité grecs, ou de formation grecque. Peu à peu, le style s’en détache car l’aspect physique

Pirée et au contrôle qu’elle parvenait à maintenir sur la route du blé, le passage de l’Hellespont. Vers le milieu du siècle, la puissance maritime d’Athènes commença à être supplantée peu à peu par celle de la Macédoine : en 356, Philippe II conquit Pydna et Potidée, deux possessions athéniennes, puis de nombreuses autres cités soumises à Athènes dans les années suivantes. Vers 350, une flotte macédonienne se constitua peu à peu et entreprit de harceler les navires de commerce athéniens, avant de porter