Qu Y A T Il De Mauvais Dans Le Plaisir

Nietzsche entend mener à bien dans ce texte ce qu'il a nommé ailleurs la généalogie de la morale : il s'agit d'élucider l'origine et le fondement de nos systèmes moraux, c'est-à-dire de se demander pourquoi tel comportement est valorisé, nommé « bon » et récompensé par le corps social tout entier, tandis que tel autre est jugé « mauvais » et, en tant que tel, châtié ou puni. Pourquoi par exemple disons-nous que l'altruisme est une vertu, et l'égoïsme un vice ? Pourquoi sommes-nous tous convaincus

est d’apprendre à gagner mais aussi à combattre dans l’amour du combat et non pas dans la haine de l’autre. Nous voulons prouver que la compétition au plus haut niveau et les plus grandes performances ne sont pas incompatibles avec une philosophie généreuse. Tout part du désir : il est le moteur, la flamme qui nous anime. Elle est le socle de la motivation. Dans la terre de la création, le temps n’est plus à la réflexion ou à l’analyse, mais à la concentration, aux sensations, à l’engagement total

bien souvent considérée comme une vérité absolue par notre société inscrit dans l'ère du scientisme. ex: l'eau bouille à 100°C. 2) La vérité subjective. Elle s'explique par la différence de point de vue des individus. ex: les murs sont roses, Pierre trouve cette couleur immonde alors que Julie trouve cette couleur gai. 3) La vérité ouverte. Elle peut être discutée et être à l'origine d'une argumentation riche entres personnes possédant différents points de vue. La vérité ouverte est propice

termes du sujet Peut-on « Peut-on » renvoie soit à une possibilité, se poser alors la question de la contradiction entre désirer et ne pas souffrir ; soit à une légitimité, peut-on tout désirer sans souffrance, notamment celle infligée aux autres ? Désirer Ce verbe désigne d’abord le fait d’avoir un manque par rapport à un objet imaginé ou réel, et qui doit être source de satisfaction. Le désir se distingue du besoin dans la mesure où il n’est pas lié à une nécessité vitale. Il peut également désigner

Groupe : 0019Selon Spinoza, la richesse, les honneurs et le plaisir divertissent beaucoup l’esprit alors il est impossible de penser à quelque chose de bien. Pour celui-ci lorsque l’âme humaine fait face au plaisir, celle-ci trouve le repos dans un bien et s’empêche de penser à un autre bien. De plus Spinoza pense que la richesse divertit beaucoup l’esprit surtout lorsque celle-ci est recherchée que pour elle-même, en

donnent à voir ce qu’il ne faut pas faire. Vous discuterez le point de vue de Rousseau en prenant appui sur la fonction traditionnelle des fables et sur les moyens mis en œuvre pour faire passer un message didactique et moral. Introduction : Dans la Préface des Fables, La Fontaine insiste sur la vocation pédagogique de ses fables qu’il destine d’abord aux enfants. De même, Jacqueline de Romilly, dans sa Lettre aux parents sur les choix scolaires, défend la nécessité d’enseigner à l’école les

l’auteur présente le trajet de deux sœurs, dont l’une choisit la voie du mal et de l’assouvissement de ses passions à tout prix, et l’autre veut rester pure et honnête. Contrairement à ce que l’on pourrait attendre, c’est la mé- chante qui triomphe dans la société et la jeune fille innocente, victime répétée d’injustices jamais compensées, connaît une mort misérable. On a donc l’idée d’une contre-morale qui fait triompher le méchant capable de prendre son destin en main, quel que soit le

Dunning-Kunger » (effet de surconfiance)Les gens les moins qualifié dans un domaine (médecine, art…) sont souvent ceux qui sont le plus confiant. A l’inverse, ceux qui sont les plus compétent sont souvent ceux qui sont le moins confiant dans leurs opinions.C’est un paradoxe car pour se rendre compte qu’on est incompétent, il faut être compétent.Paradoxe : para = à coté et doxa = opinion commune/ idée reçu / préjugé), cela veut aussi dire une contradiction.Ex : je ne dis jamais la vérité. (Paradoxe)En générale

humaniste de la Renaissance ; François Rabelais est une figure emblématique du XVIème siècle. L’œuvre de Rabelais publié en 1534, Gargantua a pour but d’instruire les lecteurs qu’il considère comme

‘’ Pour être heureux, faut-il satisfaire tous ses désirs ? ‘’ Analyse du sujet : - Bonheur : propose une règle de conduite pour atteindre le bonheur : satisfaire tous ses désirs. - Présupposé : satisfaire ses désirs, c’est avoir du plaisir. Le plaisir conduit-il toujours au bonheur ? - Par l’expression ‘’être heureux’’, on veut dire être dans un état de bien être durable, dont toute souffrance serait exclue. Il semble que nous aimerions tous être heureux en ce sens, mais comment faire