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part des profits est la conséquence du retard d’ajustement des salaires réels au ralentissement des gains de productivité et à la détérioration des termes de l’échange due aux chocs pétroliers. La situation s’inverse à partir de 1982 ; la hausse du chômage (qui freine la croissance du salaire réel) et l’amélioration des termes de l’échange liée au contrechoc pétrolier conduisent à une augmentation de la part des profits. À ces déséquilibres macroéconomiques, s’ajoutent, selon les auteurs, trois facteurs

d’internationalisation ? Chap. 1) L’internationalisation des échanges entre 1945 et les années 70 À la fin de la 2e guerre mondiale il y a suprématie des EU et répond aux immenses besoins des économies belligérantes et est largement favorable à une reprise des échanges.De plus le contexte geo politique va déterminer l’internationalisation des échanges avec la mise en place de la guerre froide nécessitent l’essor d’une complémentarité des échanges entre les EU et l’Europe occidentale puis avec le Japon

mondialisé Mondialisation à multiplication des échanges, explosion des flux. Interdépendances entre états très marquées. Il y a la mise en place d’éléments d’uniformisation éco. et culturelle mais aussi des éléments de fragmentation avec une hiérarchisation marquée de l’espace mondial en perpétuelle évolution. Espaces moteurs: les centres + périphéries +/- bien intégrées. « Mondialisation »: a partir des 80’s malgré l‘augmentation des échanges depuis la fin de la 2e GM. Beaucoup remonte celle-ci

Les échanges internationaux Introduction : (Graph 1) Les échanges internationaux connaissent un échange important depuis la fin de la 2ème GM qui porte sur les bien services ou encore sur les capitaux. Depuis les années 80 le commerce à été multiplié par 7. Ce commerce international représentait 20% du PIB mondial il y a 25 ans et aujourd’hui il est de 35% (1/3). On constate sue les exportations mondiales augmentent plus vite que le PIB mondiale. Depuis 2008 il y a un net ralentissement de la

Doc 8 et 9 page 25 : 1)Synthétiser le doc 8 sous la forme d’un plan : I/ Les deux grandes écoles de la monnaie : A)Les économistes classiques : -La monnaie est un intermédiaire des échanges, un voile. -Sert seulement à acheter des produits. -Pas de spéculation possible et aucun risque de surproduction. -Augmentation de la quantité de monnaie n’a aucune répercussion sur l’activité éco, seulement hausse de prix. B)Les Keynésiens : -La monnaie n’est pas neutre. -+ de circulation

pour une consommation constante de facteurs de production. Elle permet aussi de satisfaire un plus grand nombre de besoins. Paragraphe 2. Ricardo : loi des avantages comparatifs Un pays, ne disposant pas d’avantage absolu, peut-il participer aux échanges internationaux ? OUI pour David Ricardo si : * Tout pays se spécialise dans les productions pour lesquelles il dispose de coûts relatifs les plus bas * Et pour lesquels sa productivité, par comparaison avec les autres pays, est la plus

questions, problématiques, de réflexion. CHAPITRE 1 : LE COMMERCE INTERNATIONAL, DIT ET STRATEGIE INTERNATIONALE DES ENTREPRISES Thème 1 : La mesure des échanges internationaux Approche qualitative et quantitative 1. Les principaux courants d’échange Il s’agit de flux de biens et de services avec des contreparties. 1.1 Les échanges de marchandises Depuis la fin de la WWII (au début des années 50), nous sommes entrés dans la seconde vague de mondialisation. Ce qui est marquant est que

marquée par une dégradation du solde commercial et un accroissement des échanges avec les pays émergents 3.2. 13 % des destructions d’emplois industriels s’expliquent par les échanges selon une approche comptable fondée sur le contenu en emplois industriels des échanges 3.3. Les limites de la méthodologie du contenu en emploi des échanges 3.4. Entre 9 % et 70% des destructions d’emplois industriels sont expliquées par les échanges sur la base d’une méthodologie alternative fondée sur une estimation

Doc.1 : Qu’est ce que le marché : C’est une satisfaction d’un besoin. C’est une concordance des besoins, facilité par la monnaie. C’est un lieu réel ou fictif. Pourquoi échange-t-on ? L’échange est devenu nécessaire afin d’éviter les conflits La spécialisation des individus entraîne la nécessité d’échanges. Quelles sont les dimensions techniques et sociales de l’échange ? L’échange est une solution à l’inégalité technique des compétences et de la productivité entre les agents. Dans

alors une baisse des prix car il y a trop d’offres dans tous les secteurs économiques. Il y a alors un ralentissement de l’activité (Une déflation). Certaines entreprises, se considérant trop nombreuse dans l’activité dans laquelle elles sont, décident alors de quitter le marché. Mécanisme : Chute des échanges internationaux Hausse du chômage. Tout cela est les prémices de la grande crise qui se prépare. Ce qui précède la crise de 1929 : - Surproduction industrielle. - Baisse des prix